vendredi, juillet 14, 2017

En marche... vers la dictature

Macron imposera l'injection de 11 poisons vaccinaux à tous les enfants de France.



« Pourquoi a-t-on triplé le nombre de vaccins que les enfants reçoivent et développent-ils autant de maladies auto-immunes dans le sillage de ces vaccinations ? Les élites ne vaccinent pas leurs enfants et ne mangent pas non plus les OGM ni la nourriture industrielle que l'on trouve à foison dans les supermarchés et que « la crise économique » oblige « les sans dents » à consommer ! » (Claire Séverac)




La Guerre secrète contre les peuples

Conférence de Claire Séverac



Claire Séverac répond aux questions du public





(extrait de la préface de Pierre Hillard)

Le livre de Claire Séverac, « La Guerre Secrète contre les Peuples », appartient à la catégorie des ouvrages qui vous marquent. L'auteur présente et explique, à partir de documents officiels et multiples, qu'une élite financière, scientifique, industrielle et politique s'est engagée dans une voie d'optimisation maximale des richesses à leur profit dans le cadre d'un nouvel ordre mondial en cours d'élaboration.

Manipulations génétiques, épandages (chemtrails), portables, OGM, armes électromagnétiques, projet HAARP, etc sont autant d'éléments permettant la soumission, l'abrutissement mais aussi la destruction de l'humanité à plus ou moins long terme. Pour les survivants ayant échappé à ce rouleau compresseur, leur réduction à l'état de serf au profit d'une oligarchie prédatrice n'est finalement que leur seule ligne d'horizon. Le lecteur peut être choqué par de tels propos. Après tout, il n'entend pas un tel discours dans les médias officiels. Ce lecteur oublie que ces médias sont, eux aussi, étroitement liés à ces élites politico-financières et qu'ils ne délivrent comme messages que ceux conformes à la doxa du système. Ce ne sont sûrement pas eux qui présenteront les origines profondes de l'étrange et révélateur Georgia Guidestones. Cet ensemble de blocs granitiques érigé en 1980 aux États-Unis présente dans de nombreuses langues, mais pas en français, une série de mesures dignes d'un régime dictatorial (limitation de l'humanité à 500 millions d'habitants, unification du genre humain, tribunal mondial... ). Toutes ces menaces recensées par Claire Séverac ne sont pas le fruit d'élucubrations. L'intérêt de ce livre est de dresser une liste très complète des acteurs œuvrant dans l'élaboration de techniques de pointe permettant l'assujettissement de l'humanité.

D'une certaine manière en raisonnant à froid et en faisant abstraction de toute morale, on peut dire que ces actions sont « logiques ». En effet, la volonté d'établir un nouvel ordre mondial oblige à une restructuration complète du monde. Celui-ci obéit à deux étapes. Premièrement, il s'agit de mettre en place des blocs continentaux (Union européenne, Unasur, Union eurasienne, Union africaine, .. . ) constituant une gouvernance mondiale. Cette dernière se doit, pour des raisons d'efficacité, d'être en mesure d'appliquer un modèle commun planétaire diffusé via des unions régionales. Celles-ci, à l'instar des « Administrations régionales » du « Meilleur des mondes » d'Aldous Huxley, répercutent ces mesures afin de les diffuser en profondeur dans leur espace géographique. Ainsi, l'humanité entière, subdivisée en blocs régionaux régis de manière technocratique, peut recevoir sa dose de poison de Monsanto et consorts. Cependant, le projet de gouvernance mondiale lié aux mesures décrites par Claire Séverac va plus loin encore et c'est le deuxième point. La finalité du est d'aboutir à une fusion de ces unions régionales avec mélange complet et indifférencié de tous les peuples de la terre. C'est le principe du « glocal » ou « région-monde »Une surface territoriale réduite (le local) doit représenter l'échantillon planétaire humain. La multiplication de ce « local » sur toute la surface de la terre doit constituer le « global ». L'idéal suprême pour l'oligarchie est d'avoir un simple individu, déraciné, psychologiquement déstructuré et nomade afin de mieux le soumettre, en paraphrasant le général Eisenhower, au complexe militaro-industrialo-pharmaco de la gouvernance mondiale. Pour l'oligarchie et en liaison avec les techniques les plus développées, une humanité réduite à 500 millions d'habitants, comme le prescrit le Georgia Guidestones, représente le profil adéquat de la rentabilité maximale.

L'ironie dans cette histoire est que le système teste déjà les réactions psychologiques des peuples par des films annonçant, par la voie de la science-fiction, un avenir ressemblant furieusement au programme concocté dans les cénacles oligarchiques. C'est le cas du film Elysium sorti en 2013 avec Matt Damon et Jodie Foster. Tandis qu'une humanité mélangée, appauvrie et vivant d'expédients survit péniblement, une minorité oligarchique jouit des meilleures conditions de vie (alimentation, soins médicaux... ) dans un immense vaisseau spatial arrimé à l'orbite terrestre. Vue de terre, cette île spatiale flottante réunissant la crème oligarchique représente un pentagramme renversé, l'emblème par excellence du satanisme. Et c' est aussi l'intérêt du livre de Claire Séverac. Outre la diversité des mesures pour soumettre et avilir l'humanité, on ne peut qu'être frappé du caractère démoniaque de ces politiques touchant tous les secteurs propres au bon développement de la vie. 

Un tel degré de perversité et cette persévérance inouïe pour mener à terme ces projets ne peuvent pas être seulement l'œuvre d'êtres dépravés.

Elysium












mardi, juillet 11, 2017

Sextoy scientologue

La vénération des scientologues pour leur gourou, L. Ron Hubbard (1911-1986), entre dans une nouvelle dimension grâce au RON BUTTPLUG.






"Jenna Miscavige Hill, la nièce du chef actuel de la Scientologie, dévoile, pour la première fois, comment elle a grandi dans la Scientologie et comment elle a réussi à en sortir. Le récent divorce de Tom Cruise et de Katie Holmes a attiré l’attention sur les conditions de vie des enfants dans la Scientologie. Dans son livre, Jenna révèle comment elle a été séparée de ses parents, et comment elle a intégré la Sea organisation qui chapeaute l'ensemble de la Scientologie dans le monde entier. 

Fondée en 1952 par L. Ron Hubbard, la Scientologie suscite dans le monde entier de nombreuses interrogations et controverses. Dans ce livre évènement Jenna Miscavige Hill met en lumière les aspects les plus troubles de l’organisation : des pratiques de récolte d’argent au travail des enfants. Jusqu’à révéler comment la Scientologie recrute des stars pour assurer la promotion de l’organisation."

Scientologues célèbres :

 http://www.20minutes.fr/people/diaporama-296-photo-281846-les-scientologues-celebres




jeudi, juillet 06, 2017

Jésus était-il un moine bouddhiste ?

Un documentaire de la BBC prétend que Jésus était un moine bouddhiste nommé Issa.

Jesus was a Buddhist Monk
BBC Documentary


D'après un article du site Nouvel Ordre Mondial : "les trois rois mages pourraient avoir été des bouddhistes en quête de localiser la réincarnation du dernier Lama (Jésus)".

L'article précise : "Suite à la mort d’un Saint ou d’un grand bouddhiste, on a dit que les rois mages avaient consulté les étoiles et ont ensuite entrepris un long voyage dans l’espoir de trouver le bébé divin qu’ils croyaient être la réincarnation du vrai Dalai Lama. Une fois que cet enfant a atteint l’âge d’être retiré de chez ses parents, il a été élevé et éduqué dans l’esprit du bouddhisme." 

Jésus "réincarnation du vrai Dalaï-lama". Cette déclaration est surprenante quand on sait que l'institution des Dalaï-lamas n'existait pas à l'époque du Christ.


De plus, l'auteur de l'article se réfère à Nicholas Roerich. Or, ce personnage né en 1874 à Saint-Pétersbourg et mort en 1947 en Inde, a fait beaucoup de prosélytisme pour le compte de la Société théosophique de Madame Blavatsky.

Les écrits de Nicholas Roerich sont, n'en doutons pas, inspirés par la contre-initiation qui a contaminé le spiritualisme contemporain.


Un musulman lynché par une foule bouddhiste en Birmanie





Un membre de la minorité musulmane rohingya a été lynché et six autres blessés par une foule bouddhiste en Birmanie, dernier cas de violences religieuses dans ce pays en proie à un bouddhisme radical, a annoncé la police mercredi. L'incident s'est produit mardi alors que sept Rohingyas étaient sous escorte policière pour se rendre du camp où ils vivent vers la capitale régionale de l'Etat Rakhine (ouest).

Plus de 100.000 personnes, essentiellement des Rohingyas, vivent dans ces camps de déplacés de l'Etat Rakhine depuis des violences intereligieuses ayant fait plusieurs centaines de morts en 2012.

Les Rohingyas, considérés comme une des minorités les plus persécutées au monde par l'ONU, ne peuvent sortir de ces camps qu'au compte-gouttes et sur présentation d'autorisations. Un mort et six blessés "Un musulman a été tué et les six autres blessés. Deux sont toujours hospitalisés", a précisé un policier, sous couvert de l'anonymat, à l'AFP. Les violences ont été déclenchées par une discussion animée sur le port de Sittwe entre ce groupe de Rohingyas et un entrepreneur local, au sujet d'un bateau qu'ils souhaitaient acheter.

Dispute "Sur la jetée du port, une dispute a éclaté", écrit le journal officiel Global New Light of Myanmar et "une pierre a été lancée, qui s'est révélée fatale". Le journal ne précise pas que les victimes sont des Rohingyas musulmans, le sujet étant tabou en Birmanie. "Crimes contre l'humanité". Le gouvernement birman, au premier rang duquel l'ex-opposante Aung San Suu Kyi, rejette les accusations de l'ONU de possibles "crimes contre l'humanité" commis par l'armée depuis fin 2016 contre les Rohingyas. Traités comme des étrangers en Birmanie, ils y restent apatrides, privés de tout droit, même si certains vivent dans le pays depuis des générations.


Source :
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/3200748/2017/07/05/Un-musulman-lynche-par-une-foule-bouddhiste-en-Birmanie.dhtml

mardi, juin 27, 2017

La judéophobie d'Alain Soral


"Pour ce qui concerne "Comprendre l’empire" d’Alain Soral, il me semble que la filiation n’est pas aussi nette, même si l’on sent poindre ici ou là quelques références à la pensée traditionnelle (Guénon/Evola)." David Bisson – Propos recueillis par E&R Aquitaine. (David Bisson est l'auteur du livre "René Guénon : Une politique de l'esprit".)


Alain Soral n'hésite pas à boxer le polémiste raciste Daniel Conversano qui envisage de recourir à la violence armée contre les immigrés.

Soral dit à qui veut l'entendre qu'il est « judéophobe, antisioniste, mais pas antisémite ». Et, contrairement aux racistes comme Conversano, il a lu le livre de Julius Evola « Le Mythe du Sang » :

Racisme et antisémitisme
Extrait du "Mythe du Sang"

"Nous avons été confrontés souvent à des idées antisémites. Ces idées, dans les formes contemporaines du racisme, ont pris un caractère toujours plus précis, donnant même lieu à un équivoque : selon certains, le racisme et l'antisémitisme ne feraient qu'un, et il suffirait donc de n'être ni juif ni de couleur pour appartenir à la race « aryenne ». Bien que des formes peu réfléchies de racisme aient entretenu pareille confusion, il faut soutenir que l'antisémitisme, et en particulier l'antijudaïsme, sont des aspects subordonnés à la théorie de la race : ils tirent d'elle leurs principes, mais ne s'identifient certainement pas à elle.

Nous nous proposons ici d'éclaircir les points de vue principaux de la question hébraïque et de la polémique qui lui est relative. Nous nous rapporterons aux opinions de certains antisémites étrangers mais nous ferons valoir les points de vue de l'antijudaïsme italien, surtout du courant de Giovanni Preziosi et de sa revue La Vita italiana, puisque de tels points de vue offrent souvent un caractère complet.

Les Juifs ne constituent pas une race

Faisons d'abord allusion à la question juive d'un point de vue ethnique et à proprement parler racial. Selon le racisme, les Juifs ne constituent pas une race au sens propre, mais un peuple de métis (Fritsch, Günther). Les Sémites auxquels les Juifs appartiennent sont considérés déjà par Gobineau comme des métis dérivés d'un croisement entre la race blanche et la race noire. On tend à y voir un mélange entre la race désertique (ou orientaloïde) et la race levantine (ou arménoïde) : dans le cas précis des Juifs, ce mélange serait compliqué d'autres composants raciaux, variables selon les lignées, de race soit ancienne, soit encore existante (race méditerranéenne et race alpine). Du reste, déjà la Bible parlait des sept peuples qui auraient contribué à la formation du sang et de la « semence » juive, en mettant de coté les influences chamitiques (égyptiennes) et philistines... A l'époque de la Diaspora (dispersion) et du dernier prophétisme, d'autres éléments résiduels de la décadence ethnique et spirituelle méditerranéenne se coagulèrent au judaïsme.

Le Juif a été fabriqué par ses livres et ses rites

Si Israël n'est pas une race mais un mélange de races, on se demandera à quoi il doit son indiscutable unité, comment il a tiré d'un pareil mélange un type clairement reconnaissable, lequel a eu la force de résister à travers les siècles aux conditions les plus défavorables, et chez qui la solidarité et la fidélité au sang sont tellement vives, que le peuple juif se présente comme l'un des peuples les plus racistes de l'histoire.

La raison d'une telle unité ne doit pas être cherchée dans la race au sens strict, mais dans la force formatrice exercée par une idée et une tradition. C'est un Juif, James Darmesteter, qui a écrit « Le Juif a été formé, pour ne pas dire fabriqué, par ses livres et ses rites. Comme Adam est issu de Jéhovah, il est issu des mains de ses rabbins ».

C'est la Loi, la Torah, qui a créé le type juif et l'unité juive : cette loi pour les Juifs se substitue à la patrie, à la terre, à la nation, au sang lui-même ; cette loi a survécu à un mélange racial originel, chaotique et détritique, lui a imposé une forme, a élaboré les instincts et les attitudes d'un type spécial, qui à travers les siècles, allait devenir héréditaire.

Il a été dit, à travers les siècles, comment les antisémites ont relevé l'erreur de ceux qui croient qu'après l'Ancien Testament et à l'arrivée du christianisme, l'influence de la loi juive ait été, pour ainsi dire, neutralisée et presque arrêtée. C'est l'opposé qui est vrai. L'ancienne loi, la Torah, déjà complétée par la Misnah (répétition, la loi répétée), c'est-à-dire par une tradition diverse, d'abord orale puis, vers le 3ème siècle, fixée par écrit, a trouvé son développement dans la littérature rabbinique recueillie dans le Gemara, qui signifie l'accomplissement et qu'on appelle communément le Talmud, et aussi dans les développements propres à la Kabbale et les formulations du Schulchan Arukh. Tout ceci doit être compris comme un tout, et comme une continuité parfaite à travers les siècles, avant et après le christianisme, jusqu'à nos jours. En outre, les formulations postchrétiennes, talmudiques, de la loi juive, sont celles qui ont le plus renforcé et caractérisé la façon d'être et l'instinct juif, surtout dans leurs rapports avec les non-Juifs.

Action anti-traditionelle

Le front aryen et raciste considère le judaïsme comme une force destructrice pour toute race ou culture. Examinons les éléments qui justifient cette idée et, plus précisément, les voies par lesquelles se manifestent les caractères effectivement destructeurs du judaïsme. Le point de vue prédominant dans l'antisémitisme est que, de même que la force germinative d'une graine ne se développe que quand elle se casse et agit alors sur la matière environnante, ainsi le judaïsme n'aurait commencé à avoir une influence délétère qu'avec la crise de l'ancienne tradition nationale juive, avec l'écroulement politique et la dispersion de par le monde du peuple élu.

Comme premier élément, on doit considérer les influences que devraient exercer les éléments ethniques chaotiques et impurs déjà tirés de la loi, au moment où ils se délient et passent à l'état libre.

Guénon a relevé justement que les rapports entre le Juif et sa tradition diffèrent de ceux observés dans les autres races. Pour le non-Juif qui se détache de sa tradition comme loi religieuse, il existe encore d'autres formes de soutiens : la terre, le sang et la patrie. Mais dans le Judaïsme, la loi tient lieu de tout cela à la fois. Au point que si les Juifs s'en délient, elle devient automatiquement un facteur de dissolution. C'est ainsi que, eux-mêmes sans race, les Juifs deviennent alors l'anti-race ; eux-mêmes sans nation, ils deviennent l'anti-nation. Mommsen écrivait : « Déjà dans le monde antique, le judaïsme fut un ferment de cosmopolitisme et de décomposition nationale ». Substance insaisissable, fuyante et sans patrie à l'intérieur de toute patrie, Wolf voit dans l'élément hébraïque le principe même de l'anti-race, de l'anti-tradition, de l'anticulture : non pas l'antithèse d'une culture particulière, mais l'antithèse de toute culture racialement et nationalement déterminée. Dans le composé juif, la part désertique ou orientaloïde renforce cette influence : par leur esprit nomade, apatride, les Juifs auraient injecté dans différents peuples – en commençant par les Romains – le virus de l'anti-nationalisme, de l'universalisme, de l'internationalisme culturel. Ils exercent une action incessante de corrosion contre tout ce qui est différencié, qualitatif, lié au sang et à la tradition : ceci aboutit, en politique, à l'idéologie maçonnique, judaïsante, avec pour corollaire les mythes humanitaires sociaux et internationalistes.

La dégradation de toute valeur supérieure

Second élément, les influences destructrices du judaïsme tiennent aussi à la part qu'occupe en Israël la race de l'homme levantin et la psychologie décrite par Günther et surtout par Clauss, qui en fait « l'homme de la rédemption ». Cet homme est caractérisé par le dualisme du corps et de l'esprit. Le corps n'est plus que l'expression instrumentalisée de l'esprit, mais entendu comme « chair », comme une matière coupable dont il faut se racheter. Cet élan confus vers la « rédemption » peut échouer : alors l'homme, retombant, se noie dans la matière, il en jouit et se saoule, comme pour oublier sa nature, et ensuite il tend à contaminer tout ce vers quoi il tendait, toutes ces valeurs supérieures qu'il n'a pu rejoindre. Il jouit de toutes les crises où il voit se refléter sa propre crise intérieure. Il prend plaisir partout où s'exprime l'omnipotence de cette matérialité crasse et oblique dans laquelle il est retombé. Il s'en sert comme d'un alibi, comme d'une justification. C'est ainsi que l'élément hébraïque, comme nous le verrons d'un peu plus près, s'est toujours manifesté à travers une action, consciente ou inconsciente, de contamination et de dégradation de toute valeur supérieure.

Tu dévoreras tous les peuples que Yahvé ton Dieu te livrera

On doit considérer, comme troisième point, l'efficience particulière qu'ont eue les causes fondamentales de cette loi sur la formation des instincts et des comportements de base, aboutissant à la forme séculaire, matérialiste et mécanique d'agir de ces instincts chez les Juifs persécutés de la Diaspora. Comme on le sait, le thème central de l'ancienne loi est qu'Israël est le « peuple élu », destiné à dominer tous les hommes, toutes les terres et les richesses du monde, de telle sorte que tous les royaumes devront lui obéir. Ce sont les thèmes du mosaïsme : « Yahvé te mettra à la tête, et non à la queue; tu seras toujours en haut et tu ne seras jamais en bas » (Deutéronome, 28, 13). « Tu dévoreras tous les peuples que Yahvé ton Dieu te livrera; ton œil sera sans pitié pour eux, et tu ne servira point leurs dieux » (Deutéronome, 7, 16). Ce sont aussi des thèmes de la littérature prophétique : « Et le règne, la domination et la grandeur des royaumes qui sont sous tous les cieux seront donnés au peuple des saints du Très Haut : son règne est un règne éternel, et toutes les puissances le serviront et lui obéiront » (Daniel, 7, 27). « Les fils de l'étranger rebâtiront tes murailles, et leurs rois seront tes serviteurs » (Isaïe, 60, 10). « Mais vous, on vous appellera prêtres de Yahvé ; on vous nommera 'ministres de notre Dieu'; vous mangerez les richesses des nations, et vous vous parerez de leur magnificence » (Isaïe, 61, 6).

Qu'on pense aux sentiments que devait fatalement inspirer à Israël cette certitude de la domination universelle au moment où il cessa d'exister comme puissance politique. Qu'on pense à ce peuple qui continua, après le triomphe du christianisme, à se sentir « élu », et fut identifié au dernier des peuples, à une lignée maudite et déicide digne de toutes les persécutions, condamnée à la servitude, par une juste punition. Le potentiel généré par cette idée de la loi devait fatalement se traduire par une haine profonde et sans limite pour tous les non-juifs et se concrétiser par une pratique pour ainsi dire, serpentine. C'est ce que montre le développement ultérieur, talmudique, de l'ancienne loi.

Voici quelques passages talmudiques, rappelés à juste titre par les Preziosi et De Vries de Heekelingen :

« Que signifie Har Sinaï ? Il s'agit du mont à partir duquel a irradié Sina, c'est-à-dire la haine contre les peuples du monde ».

« Vous, Juifs, vous êtes appelés hommes, alors que les nations du monde ne méritent pas le nom d'hommes, mais de bestiaux ». « La semence d'un goy (non-Juif) est comme la semence d'un animal. »

« Le meilleur parmi les goyim, tu dois le tuer ».

« Fais-le mourir en lui serrant les mâchoires pour qu'il ne crie pas ».

« Qu'est-ce qu'une prostituée ? Toute femme qui n'est pas juive. » Et ainsi de suite.

Les expressions contenues dans une prière, que tout Juif orthodoxe devait réciter journellement, dans le Shemoné Esré, sont : « Que les apostats perdent tout espoir, que les Nazaréens et les chrétiens périssent sous les coups, qu'ils soient rayés du livre de la vie et ne soient pas comptés parmi les justes ».

A l'époque moderne, la justification religieuse de ces sentiments est moins claire, bien que l'efficience en ait survécu en termes d'instinct, d'aptitude innée. Et on peut en dire autant aujourd'hui, de la conviction originelle selon laquelle entre Israël et les autres peuples il n'existe rien de commun. D'où l'absurdité de vouloir adopter les mêmes critères de conduite avec les Juifs et les Gentils, ces derniers étant des êtres inférieurs qui n'ont droit qu'à être exploités comme du bétail. Les préceptes talmudiques sont clairs : ils établissent deux morales, l'une qui s'applique au prochain, c'est-à-dire aux Juifs, et l'autre qui sert dans les rapports avec les goyim, les non-Juifs ; Et toute action délictueuse ou indigne selon la première morale cesse de l'être pour la seconde. C'est ainsi que le Talmud et le Schulchan Arukh autorisent à voler le non-Juif ; du prêt usuraire ils font non seulement un droit, mais presque un devoir ; ils prescrivent de ne pas témoigner ou de faire un faux témoignage lors d'un procès opposant un Juif et un non-Juif; ils considèrent que « le patrimoine et les biens des non-Juifs doivent être considérés sans propriétaire et que le premier arrivé a des droits sur eux » ; ils précisent seulement que si plusieurs Juifs procèdent à une tromperie, ils sont seulement tenus d'en partager équitablement le fruit ; ils exhortent à prêter de l'argent, mais refusent d'en emprunter ; ils ne respectent pas la parole donnée, et ainsi de suite. La polémique antisémite a recueilli toute une série de maximes de ce genre, avec l'indication de leur origine et de leur caractère orthodoxe. D'ailleurs, si on lit aussi dans le Talmud « qu'un goy qui étudie le Talmud et un Juif qui l'aide, doivent être mis à mort » ; s'il est précisé que « communiquer quoi que ce soit de notre loi à un goy, équivaut à un massacre de tous les Juifs, puisque si les goyim savaient ce que nous enseignons à leur égard, ils nous auraient sans aucun doute exterminés »; si on lit de telles phrases, on a la confirmation précise de la pleine conscience que les Juifs avaient de la double morale contenue dans leurs textes orthodoxes.

Mais ici, on objecte d'habitude qu'il s'agit de textes anciens, pratiquement tombés en désuétude. C'est une erreur. Comme nous l'avons dit, pendant des siècles ces idées, ces préceptes ont agi de façon formelle dans l'intimité de la conscience juive : ils ont laissé leur trace indélébile.

De la volonté de domination, de la haine et enfin de la double morale talmudique, on aura perdu la justification première, religieuse et messianique : mais on aura pas perdu l'ensemble des instincts, des comportements qui, sur un plan sécularisé et pratique, se manifestent simplement comme une manière d'être, comme une qualité héréditaire de la race, ayant pour ainsi dire son existence autonome. Voilà pourquoi l'élément religieux ne prend aucune part au problème juif, que pourtant le racisme moderne a voulu lui imposer. Dühring a eu raison d'écrire : « La question juive existerait même si tous les Juifs avaient abandonné leur religion pour rejoindre nos Eglises dominantes ». Telle est bien la vision de l'antisémitisme moderne, concordante avec celle de la plupart des Juifs et discordante, en revanche, avec celle de l'ancien antisémitisme d'origine catholique. « Un Japonais ou un Noir converti ou baptisé reste japonais ou noir. Ainsi un juif baptisé reste juif [...] Convertis de bonne foi ou non, les Juifs baptisés restent juifs, à se sentir juifs et à être considérés comme juifs par leur anciens coreligionnaires » (De Vries de Heekelingen).

Des révolutions à la domination mondiale

Dans un texte talmudique, on lit : « Partout où les Juifs s'établissent, ils doivent devenir les patrons ; et tant qu'ils n'auront pas le pouvoir absolu, ils se considéreront comme des exilés, des prisonniers... tant qu'ils ne dominent pas entièrement, ils ne doivent pas cesser de crier : Quel tourment ! Quelle indignité ! » Il s'agit, là encore, d'un thème de la Loi, dérivé de l'ancienne Promesse qui, une fois oubliée la justification religieuse, devait laisser comme trace un instinct révolutionnaire agissant par lui-même comme ferment d'agitation et de subversion continuelle. C'est ainsi que les Juifs furent largement représentés dans tous les mouvements subversifs révolutionnaires modernes, sans exception, et particulièrement dans le communisme
et le socialisme dont les principaux représentants sont juifs, Karl Marx, Lassalle, Rosa Luxemburg, Kautsky, Trotsky... Quant à la structure de l' Etat à détruire, elle importe peu : « Dans une monarchie, les Juifs sont républicains; dans une république conservatrice, ils seront socialistes ; dans une république socialiste, ils seront communistes. Tout ceci revient au même pourvu qu'ils détruisent l'Etat existant. Ils s'opposeront à la société en place tant qu'elle conservera un reste de base non-juive ».

A nouveau, c'est un instinct qui subsiste comme un héritage, ayant pour origine lointaine et inconsciente l'idée que tout système qui ne remplit pas encore la promesse de domination dévolue au peuple élu est un système injuste, illégitime et usurpé.
 
Ultralibéralisme et finance internationale

Dans le judaïsme moderne, l'envers de la médaille révolutionnaire est le capitalisme et la finance internationale. On doit se souvenir que le « règne » de la Promesse juive ne fut pas conçu en termes mystiques et surnaturels, mais comme celui qui aura recueilli toutes les richesses de la terre. « Ton Dieu te veut riche » et « tu prêteras de l'argent à de nombreux peuples mais tu n'emprunteras à personne » sont déjà des maximes bibliques ; si l'on y ajoute l'inclination des peuples sémitiques (en particulier ceux du désert) à considérer la richesse comme essentiellement vagabonde, on rendra compte peu à peu, avec le matérialisme et la sécularisation, d'inclinations épousant les formes typiquement juives de capitalisme, pour en arriver à l'omnipotence d'une économie sans esprit et d'une finance sans patrie : dans ces formes actuelles, s'exprime l'ancienne volonté de puissance juive, soit directement, soit en vue de la destruction et de l'avilissement des valeurs que cette omnipotence porte en elle. Des traits pareillement juifs – selon Halfeld – seraient la déification de l'argent, la transformation du temple en banque, la glorification puritaine du succès et du gain, l'impresario un peu prédicateur, l'homme d'affaires et l'usurier n'ayant que le mot Dieu à la bouche, l'idéologie humanitaire et pacifiste au service du matérialisme... On rappellera volontiers l'affirmation de Sombart selon qui l'Amérique est un pays juif jusque dans ses moindres recoins et l'américanisme, un « esprit juif distillé » ; ou celle de Günther, selon qui les représentants de cet esprit sont majoritairement juifs ; ou bien celle de Wolf, pour qui le lien étroit entre Anglo-saxons et Francs-maçons sous l'influence des Juifs expliquerait l'histoire occidentale de ce temps. Du reste, Karl Marx lui-même n'écrivait-il pas : « Quel est le principe terrestre du judaïsme ? Le sens pratique, l'utilité propre. Quel est son dieu terrestre ? L'Argent. Le Juif s'est émancipé hébraïquement en s'appropriant le pouvoir de l'argent, mais aussi en réussissant à faire de l'argent une puissance mondiale. Ainsi, l'esprit utilitaire juif est devenu l'esprit utilitaire des peuples chrétiens. Les Juifs se sont émancipés en judaïsant les chrétiens. Le Dieu des Juifs s'est sécularisé et est devenu le dieu de la terre. Le taux de change est le vrai dieu des Juifs ».

L'intelligence perverse

A la puissance de l'or fait écho, dans l'action du judaïsme contemporain, la puissance de l'intelligence au service de la révolution. Nous faisons ici allusion au ferment de subversion qui ne se limite plus au champ social, mais agit sur le plan spirituel et culturel sous les formes les plus variées, trouvant sa source dans l'inclination de « l'homme de la rédemption » incarné. Il est incontestable que, dans le domaine de la culture, de la littérature, des arts et même de la science, les contributions juives, directes ou indirectes, convergent toujours vers un même effet : falsifier, ridiculiser, montrer sous un jour injuste et illusoire tous les idéaux des peuples aryens, en poussant au premier plan tout ce qui se cache de sensuel, d'inférieur et d'animal dans la nature humaine. Souiller tout ce qui est sacré, faire vaciller les certitudes sur leur socle, inspirer un effroi spirituel de nature à encourager les forces les plus viles, ainsi se manifeste l'action juive, action par ailleurs essentiellement instinctive, naturelle, procédant de l'essence, de la « race interne », comme il est propre au feu de brûler et à l'acide de corroder.

Le relativisme d'Einstein, qui a poussé le profane à croire que la science allait confirmer l'impossibilité de tout point de référence, alors que d'un autre coté il donnait la dernière main à un type concret de découverte physique, y substituant un système purement formel de données mathématiques et algébriques ; Bergson, avec sa théorie qui exalte la vie dans son immédiateté, son irréductibilité aux certitudes intellectuelles, son devenir incoercible, son antithèse par rapport au monde classique de l'être ; Freud, Adler et d'autres psychanalystes juifs, qui ont découvert l'univers trouble de l'inconscient et qui ont voulu démontrer son omnipotence – faite d'instincts ataviques sauvages, de libido primordiale et des fameux « complexes » - sur toute faculté ou inclination du « moi » en veille ; l'école sociologique juive, qui s'est mise à interpréter les religions et les mythologies non plus sur la base d'un élément transcendant, mais seulement comme de pures créations sociales et donc purement humaines ; le Juif Lombroso qui, non content d'établir des relations aberrantes entre le génie et l'anormal, considère le délinquant comme le descendant résiduel et encore pur d'une « race », qui serait exactement la race dont nous serions issus ; Max Nordau, résolu à démasquer « les mensonges conventionnels de notre culture » comme un certain nombre de romanciers juifs, à commencer par Wassermann, qui se sont spécialisés dans la découverte des injustices et des inadaptations des idées-bases de la société moderne; le matérialisme historique de Karl Marx qui nous présente comme seule force créatrice de l'histoire, le processus économique brut, donnant au reste la valeur d'une pure superstructure (d'où ce jugement de Franck : « La doctrine marxiste ne correspond pas à la réalité, mais à l'esprit et au besoin du judaïsme, lequel ne considère que les problèmes de matérialité et d'argent et se moque de tout idéal et de toute forme spirituelle. C'est une forme niveleuse lancée contre toute valeur de race et de sang »).

L'action des soi-disant spécialistes de la question sexuelle, en grande partie juifs, à commencer par le célèbre Magnus Hirschfeld, résolus à faire de l'éros une vraie obsession et à attirer l'attention, au moyen de publications pseudo-scientifiques et de divagations, sur toutes les formes anormales et dégénérées de la sexualité ; la « découverte » de la mentalité des « primitifs » par Levy-Bruhl et Durkheim, à laquelle fait pendant l'action d'une nombreuse troupe de Juifs dans le domaine de l'art moderne, où c'est à nouveau l'informel, le primitivisme, le sensualisme qui ont le dessus – et ainsi de suite, voilà les exemples précis et qu'on pourrait multiplier, d'une action aux mille visages mais ayant un seul effet : dégrader, subvertir, désagréger. C'est la « Schadenfreude » : la jouissance de l'avilissement, du gâchis, de la souillure, du sensualisme, ouvrant la porte à la part souterraine de l'âme humaine, afin qu'elle se déchaîne et soit satisfaite. La Schadenfreude est caractéristique de l'âme judaïco-levantine, l'âme de « l'homme de la rédemption ».

Les antisémites extrémistes tendent à considérer comme volontaire cette convergence d'effets. Le point de vue dominant et plus sage est, cependant, qu'il ne s'agit pas en la matière, d'une intention précise ni d'un plan établi, mais justement d'un instinct, d'une manière d'être naturelle et spontanée. La convergence se réalise par syntonie, par affinité d'instinct et d'inspiration. A l'égard de ces Juifs, on ne peut même pas parler d'une vraie responsabilité : le Juif ne peut s'en empêcher, comme l'acide ne peut faire autrement que de corroder. C'est sa façon d'être, déterminée par les causes ataviques et raciales évoquées. Donc, il faudrait moins le haïr que prendre les mesures pour en limiter et neutraliser l'action – pour qu'il ne puisse pas nuire.

L'antisémitisme voit en outre persister, sous des formes modernisées, l'ancienne solidarité juive cimentée par la double morale, au point que la communauté juive, nous dit Fritsch, a moins les caractéristiques d'une communauté religieuse que ceux d'une conjuration sociale : et les Etats aryens, ignorant cette double morale et ne se défendant pas, concèdent inconsidérément aux Juifs des droits égaux comme s'ils respectaient leur morale, se posent virtuellement en position d'infériorité, remettant leur destin aux mains du peuple qu'ils avaient accueilli, aux mains d'une race étrangère, internationale et antinationale.

Conscients de cela, il faut réagir par deux voies : l'une morale, l'autre politique. Il ne faut lier aucun rapport entre les Aryens et une « race privée du sentiment d'honneur et de loyauté », et agissant par deux voies principales : la tromperie et l'argent. Le concept social aryen serait : « L'homme sincère et conscient place son orgueil dans une vie méritoire d'action loyale et de production droite. Il préfère mourir plutôt que d'obtenir des avantages par des actions déshonorantes. L'idée rigoureuse de l'honneur et de la justice sans condition envers les autres hommes constitue le fondement de toute vie héroïque et prend racine dans un élément profond de l'âme : dans le sentiment de honte. Un peuple qui renonce au sentiment d'honneur et de honte est indigne d'une qualification humaine : c'est une soushumanité (Fritsch). Il est donc absurde – conclut-il – de prétendre établir des lois égales pour les Juifs et les Aryens.

Des mesures prophylactiques s'imposent. Donner entière liberté aux Juifs signifierait qu'ils se jouent de nous. Et c'est pour cela que l'idéologie libérale, individualiste et démocratique a eu, à juste titre, les Juifs comme défenseurs fervents ».

D'où le passage à l'action politique et aux mesures que les Etats [nationalistes], acceptant les thèses de l'antijudaïsme, ont adoptées pour écarter les éléments juifs des postes de commande de la vie politique, économique et intellectuelle, accaparés en masse ces derniers temps. La polémique antisémite a permis de mettre en lumière que dans le commerce, le trafic, dans les postes de direction ou indépendants, l'élément juif était effectivement prédominant, alors qu'il diminuait dans les postes subalternes, parmi les ouvriers, les agriculteurs, où le pourcentage de Juifs devenait presque négligeable comparé au nombre de non-Juifs. En tout cela, l'antisémitisme a noté un phénomène de parasitisme non exempt de liens avec l'instinct juif héréditaire les poussant à « sucer le lait des gens, et à téter les mamelles des rois », à « dévorer les peuples que Dieu lui aura livrés », selon les anciennes expressions de la Loi. Les Juifs ne fabriquent pas, ne produisent pas, mais spéculent et trafiquent sur ce que les autres font et s'enrichissent à leurs frais et dominent. Les Juifs visent directement les occupations intellectuelles et les postes de direction, et ainsi haut placés, peuvent exercer une activité souvent suspecte et corruptrice, laissant aux autres, aux Aryens, les formes inférieures de travail.

De là, donc, les mesures politiques tendant à bannir les Juifs des charges publiques et à en limiter la représentation dans chacune des professions. Le Manuel de la question juive, écrit par Fritsch, conclut par ces mots révélateurs : « Les Juifs sont dangereux non seulement économiquement, mais aussi spirituellement et moralement. Par la loi rabbinique, le Juif est lié à un Etat particulier, qui comprend tous les Juifs du monde. Il lui est donc impossible d'être sincèrement membre d'un autre Etat. Chaque peuple qui tient à sa liberté et à son honneur et entend se défendre face à toute tentative d'affaiblissement de son droit et à toute dégénérescence morale, ne pourra à l'avenir tolérer de Juifs en son sein. Où doivent-ils aller, alors ? Ceci les regarde. Certainement pas là où les paysans et les artisans [non-Juifs] seraient obligés d'abandonner leurs biens et leurs maisons. Du reste, ils possèdent assez d'argent pour acquérir une part entière du globe, en Australie ou en Afrique. Là, ils pourront vivre en paix selon leurs coutumes et montrer au monde qu'avec leur force, ils savent créer une culture. A nous, s'impose l'abolition de l'émancipation des Juifs ». Et De Vries de Heekelingen d'ajouter : « Nous ne reprochons pas aux Juifs de travailler pour la grandeur de leur race. Nous admirons même la ténacité avec laquelle ils poursuivent la réalisation de leur but. Nous ne pouvons comprendre, en revanche, l'aveuglement de tant de non-Juifs qui ne montrent pas le même enthousiasme et la même ténacité pour défendre leurs intérêts les plus sacrés ».

Par les considérations ici évoquées, on a mis en lumière le coté essentiellement « racial », outre que politique ou social, du problème juif : racial non pas en référence à une race pure, mais à des instincts devenus, pour ainsi dire, un héritage organique capable d'épouser des formes variées de manifestation, mais ne disparaissant jamais complètement.

Les Protocoles des Sages de Sion

Nous devons maintenant dire quelque chose sur un livre qui a suscité toutes sortes de discussions et a eu une part fondamentale dans la polémique antijudaïque : il s'agit des fameux Protocoles des Sages de Sion. Puisque nous avons déjà traité de ce livre dans l'introduction de sa dernière édition italienne, nous nous limiterons à un aperçu général, car on ne peut évoquer la question juive sans un éclairage à son propos.

Les Protocoles sortirent sous leur forme actuelle en Russie en 1904, édités par un certain Sergueï Nilus qui les présenta comme un document soutiré à une mystérieuse
organisation judéo-maçonnique. En réalité, il a été prouvé qu'une partie de ces textes avaient été divulgués, publiés et Bismarck lui-même en aurait eu connaissance. Les idées centrales des Protocoles sont les suivantes :

1. Les différents événements et les différentes idéologies qui ont conduit l'Europe traditionnelle, aryenne et chrétienne au déclin ne sont pas fortuits, mais obéissent à un plan précis de destruction.

2. Ce plan de destruction émane d'une organisation occulte, qui l'a élaboré dans tous ses détails, étudiant en même temps, sur les bases de la connaissance des lois précises qui lient les causes aux effets, les voies de sa réalisation progressive.

3. Cette organisation agit surtout par l'intermédiaire de gens qui ne se rendent pas compte, souvent, qu'ils en sont les instruments. Son action se développe sur trois plans.

D'abord un plan idéologique : on distille des idéologies auxquelles on ne croit pas, que les Sages de Sion méprisent, mais qui servent leurs desseins machiavéliques, pour faire avancer la subversion, pour désagréger les sociétés et les Etats : libéralisme, rationalisme, internationalisme, démocratie.

En second lieu, on fait en sorte que les principaux centres de fabrication de « l'opinion publique », c'est-à-dire la presse internationale, soient sous contrôle.

En troisième lieu, l'objectif est de contrôler la part maximale des richesses du monde, c'est-à-dire la finance internationale.

Agissant par ces trois instruments, ils poussent partout le ferment de la subversion, déracinent spirituellement et socialement les hommes, en font une bouillie matérialiste, sans patrie ni tradition, sans force intérieure ni personnalité ; vraies révolutions (qui devront avoir comme point de départ la Russie – à noter que les Protocoles furent du domaine public à partir de 1904) et guerres suscitées de manière occulte devront conduire la crise de l'homme occidental jusqu'à un tel degré qu'à la fin il deviendra une chose passive entre les mains de dirigeants invisibles. Alors ceux-ci se révéleront pour assumer le pouvoir universel. A leur tête, un roi de race juive.

Une fois informé du contenu des Protocoles, on vient à se demander s'ils sont authentiques. Cette question n'a pourtant pas de sens car, comme le relève bien René Guénon, « aucune organisation vraiment et sérieusement secrète, quelle que soit sa nature, ne laisse derrière elle des documents écrits ». Il ne faut donc pas se demander s'ils sont authentiques mais s'ils sont véridiques. Le document doit être examiné pour la vérité qu'il contient au sens des sciences positives, modernes, c'est-à-dire des hypothèses de travail qui servent à orienter le procédé inductif qui les confirme, un ensemble de faits qui, en vertu d'elles, vont révéler une intime connexion et une loi unitaire. D'un tel point de vue, on peut dire que même si les Protocoles n'étaient pas vrais, c'est comme s'ils l'étaient, pour deux raisons :

1. Parce que les faits qui se sont produits après leur publication les confirment. Hugo Wast écrivait : « Les Protocoles peuvent être faux ; mais ils se réalisent merveilleusement » et Henry Ford : « L'unique jugement que je puis émettre sur les Protocoles est qu'ils s'accordent parfaitement avec ce qui advient. Depuis qu'ils ont été écrits, ils correspondent exactement à la situation mondiale et aujourd'hui encore ils indiquent le rythme ».

2. Parce que les idées fondamentales dont ils s'inspirent sont celles du judaïsme international, et donc si les Protocoles ont été inventés, l'auteur a simplement écrit ce que chaque Juif fidèle à sa tradition, à la volonté profonde d'Israël et conscient de ses instincts, aurait pu écrire.

Sur le premier comme sur le deuxième point, l'édition italienne des Protocoles donne une ample et convaincante démonstration. Le problème ainsi posé, la question du « plagiat », qui a provoqué le vieux procès de Berne apparaît, au fond, frivole. Il ne fait aucun doute qu'on trouve dans les Protocoles des éléments tirés d'ouvrages antérieurs, en particulier une plaquette écrite en 1865 par un franc-maçon révolutionnaire, Joly. Mais on ne se situe pas ici dans le domaine de la littérature, où emprunter aux autres jette le discrédit sur l'œuvre. Un stratège peut utiliser des choses exposées par d'autres et en conserver même leur formulation littérale si elle sont susceptibles d'entrer dans son plan, sans que la signification de ce dernier s'en ressente.

Il est plus sérieux et concluant de constater la présence de toute une série d'antécédents des Protocoles, antécédents qui nous ramènent à des temps lointains et qui, de manière plus ou moins romancée ou mythologique, reproduisent le pressentiment obscur de cette double vérité :

- Que tous les principaux événements de l'Histoire ne sont pas fortuits mais ont leur logique et obéissent à une certaine intention.

- Qu'il existe un centre occulte du monde.

La caractéristique des Protocoles réside dans une formulation spéciale de ces deux motifs généraux : ce sont les événements de la subversion moderne qui obéissent à une certaine intention et qui ont une direction – et par conséquent, le centre occulte du monde a un caractère ténébreux, il est le centre de forces maléfiques, dévolues à la destruction de l'Europe traditionnelle. Cette formulation particulière est l'effet d'une espèce de retournement ou de contrefaçon d'une tradition préexistante, en soi ni juive ni maçonnique ; de quoi le lecteur pourra se convaincre en lisant la dernière partie de notre livre "Le Mystère du Graal".

De toute façon, il se demandera si au centre de ce plan destructeur annoncé par les Protocoles et vérifié, souvent avec une exactitude impressionnante par les événements successifs, on trouve vraiment des Juifs. Dans les Protocoles, on se réfère tantôt aux Juifs tantôt aux francs-maçons, ce qui n'est pas tout à fait la même chose... Pour notre part, nous croyons prudent d'utiliser seulement l'expression : dirigeants secrets de la subversion mondiale. Il est indiscutable que de nombreux éléments juifs ont été utilisés par ces chefs anonymes, car à cause de leurs instincts et de la déformation de leurs idées traditionnelles, les Juifs paraissaient être les instruments les plus qualifiés et adaptés. Mais il n'est pas prudent de généraliser au-delà d'une certaine limite.


Il faut, du reste, se rendre compte d'un autre point : que l'on ne peut pas faire des Juifs la cause unique et suffisante de toute subversion mondiale – comme le voudraient certains extrémistes – sauf à reconnaître une humiliante infériorité. Les Juifs auraient donc été plus forts que le monde aryen supposé en ordre et en pleine possession de ses moyens ? C'est un non-sens. L'action juive a été possible seulement parce que dans l'humanité non-juive s'étaient développés des processus de dégénérescence et de désagrégation : l'élément juif s'est greffé à ces processus, avec l'esprit, les instincts et les méthodes qui lui sont propres, il les a accélérés jusqu'à l'exaspération, les conduisant là où, seuls, ils ne seraient pas parvenus aussi rapidement."

Julius EVOLA, "Le Mythe du Sang".



Le combat de Dieudonné et Soral vu par un juif Ashkénaze.





samedi, juin 24, 2017

Salim Laïbi critique le livre de Stéphane Blet




On l’attendait avec impatience l’extraordinaire livre de Monsieur Stéphane Blet. Ce dernier annonçait depuis un long moment déjà la sortie imminente d’un livre sur la franc-maçonnerie qu’il affirmait être révolutionnaire et riche de secrets jamais révélés à ce jour. On allait voir ce que l’on allait voir. Le livre a enfin été publié aux éditions Kontre-Kulture, avec plus ou moins de retard, mais enfin édité. L’objet en lui-même est raté, couleur bleu foncé très sombre, quatrième de couverture illisible, le texte est parsemé de coquilles avec une utilisation très régulière de petites majuscules dans le corps du texte ce qui rend la lecture pénible. Ce qui est encore plus choquant, c’est la petitesse du livre, moins de 120 pages pour un format de 19 par 13 cm. Le tout à 15 € ! Ce livre ne contient pas 150 000 caractères et ils ont eu le culot de le mettre en vente à 15 €. Pour cela, ils ont dû recourir à un titre très racoleur, "Franc-maçonnerie, l’effroyable vérité". Ma foi pourquoi pas, à condition toutefois d’apprendre au moins quelque chose de nouveau.

Disons d’emblée que le livre de Stéphane Blet est nul, on ne compte plus les erreurs… L’une d’elles, venant d’un prof de musique au Conservatoire de Paris, compositeur renommé et interprète internationalement reconnu, nous a fait sursauter : l’histoire bidonnée de l’enterrement, soi-disant « spécial », réservé à Mozart ! En fait, Mozart a eu un enterrement dit de « troisième classe », comme c’était le cas pour tout moyen-bourgeois de son époque. Il a eu une messe d’enterrement puis a été enseveli dans une fosse anonyme contenant 16 corps, En parfaite conformité avec la loi promulguée par l’empereur Joseph II (son ami : Mozart avait le titre de « musicien impérial ») par mesure de salubrité : une épidémie de choléra sévissait alors et il fallait éviter qu’il y ait, dans le cimetière, une affluence qui pouvait être une source de dissémination d’agents pathogènes en ville. Même chose pour le peu de gens qui ont suivi le cortège : l’empereur avait limité les déplacements de foule dans les cimetières. Las but not least, il y eut bien au moins un franc-maçon parmi ceux qui suivirent le convoi funèbre ! Certes, Mozart aurait pu bénéficier d’un grand enterrement, mais il habitait alors à Vienne, une ville où il était détesté pour ses idées, pour ses dettes de jeu, etc. En effet, Mozart était accablé par de très importantes dettes de jeu qui lui valurent l’aversion et l’hostilité de nombre de ses amis. Rappelons qu’il n’était pas autrichien, mais sujet du Saint Empire germanique ! Ses amis y organisèrent néanmoins une semaine après sa mort un grand office religieux où on interpréta son Requiem et il y en eut un autre à Prague, réunissant des milliers d’admirateurs.


Autre fake news plus grave, car portant sur la doctrine maçonnique qu’il est censée connaître par cœur ! Stéphane Blet croit savoir que LPD a comme signification ultime la formule anti-royaliste « Foule aux pieds les lis ». Ce serait un des grands mystères inconnus de la maçonnerie, un truc totalement caché au public. Manque de bol, si « LPD » existe bien (liberté de passer, liberté de penser, etc.), la traduction qu’en donne Blet ne provient pas des archives maçonniques largement fouillées par Bernard Faÿ sous Vichy et ailleurs, mais d’un roman à succès d’Alexandre Dumas consacré à Cagliostro, « Joseph Balsamo », décliné plus tard sous la forme de téléfilm ! C’est Dumas qui l’a inventée de toutes pièces pour les besoins de son intrigue ! Tu parles d’un « secret ultime » : c’est une invention de romancier, connue de tous les amateurs sérieux depuis le XIXe siècle !


Disons-le tout de go, Blet est vraiment mauvais : tout au long du XVIIIe siècle, la maçonnerie a fonctionné sans les rites de perfection qu’a apportés le REAA (rite écossais ancien et accepté) de Ramsay : il n’y avait alors que les grades d’apprentis, de compagnons, de maître, point final. Ce sont ces grades limités que l’on retrouve aujourd’hui dans le rite français, très pratiqué notamment dans la GLNF (c’est en outre le rite de son grand maître J-P Servel) mais surtout, d’une autre manière, beaucoup plus laïciste, au GODF dont il représente aujourd’hui le rite officiel ! Ce n’est donc pas le REAA qui est le rite officiel du GODF, mais le rite français ! Or dans ce rite on ne trouve pas de Kaddosh, etc., c’est un retour à la période de l’avant-écossisme, quand les loges dites bleues constituaient l’essentiel de la maçonnerie, avec une limitation stricte des loges de perfection (limitées à quatre, en général, et non pas à 30 comme dans le REAA). Comment Blet explique-t-il, si le REAA est « plus épouvantablement juif et menaçant », qu’il ne soit pas celui que met en avant le GODF et qu’au contraire, le retour vers la période pré-écossiste soit en ce moment en vogue ?


Ce que dit Blet est d’ailleurs en totale contradiction avec ce que disait Papus, dont il se réclame avec ferveur, car Papus estimait dans "Ce que doit savoir un maître maçon", que l’écossisme était la vraie base spirituelle de la maçonnerie, tandis que tout le reste ne serait que du maçonnisme de bas étage pour matérialistes, athées et laïcistes, en particulier le rite français !

Le très antisémite Stéphane Blet qui passe son temps sur sa page Facebook à insulter les juifs a pour objectif, dans ce livre, d’ « enjuiver » totalement la franc-maçonnerie, afin de rendre les juifs seuls responsables de toutes les magouilles de cette mafia, dédouanant au passage toutes les autres catégories de maçons. Pourtant, Dieu seul sait que l’on peut citer ici des centaines de francs-maçons catholiques ou musulmans qui n’ont strictement rien à voir avec le judaïsme et qui ont pourtant magouillé et continuent de le faire. Sa stratégie ridicule, son grand secret, son arcane royal, est en fait celui de remplacer les illuminati, la secte d’Adam Weishaupt, tout simplement par le B’naï B’rith ! Il ne s’en cache même pas, le chapitre huit porte bien son nom à la page 55 : "Vous cherchez les illuminati ? Oubliez-les, voici les B’naï B’rith !"

Le reste du livre n’est que remplissage et broderie grossière afin d’essayer d’en faire dépasser les 100 pages et pouvoir le vendre à plus de 12 €. Prenons pour exemple le chapitre "Le terrible jeu des citations" à la page 111. C’est un copier-coller d’un nombre connu de citations que l’on peut retrouver sur Internet très facilement. Quant au chapitre concernant les mots de passe et autres secrets dévoilés, ils sont connus des curieux depuis plusieurs siècles déjà. On le voit également à la fin de cet ouvrage, juste après la table des matières, photographié avec son tablier de maçon en train de faire quelques gestes ridicules. Nous déplorons seulement l’absence de tous ses diplômes occultistes accrochés chez lui sur ses murs et qui prouvent son appartenance aux pires sectes ésotéristes satanistes comme la Golden Dawn, l’OTO… D'ailleurs, il évitera soigneusement de parler de satanisme et de son expertise concernant Aleister Crowley qui se faisait lui-même appeler "The beast", bisexuel, amateur de sorcellerie, de drogues en tous genres, de sacrifices rituels d’enfants et dépravé sexuel notoire assumé ! Par contre, il ose citer Aleister Crowley comme étant un grand penseur de la tradition au même titre que René Guénon ou Julius Evola ! Ce qui est en soi une insulte inqualifiable surtout lorsque l’on sait ce que ces deux grands traditionalistes pensaient de cet escroc et agent double de la couronne britannique qu’est Aleister Crowley (lire le courrier de René Guénon à Julius Evola écrit au Caire le 29 octobre 1949. Cf. nos 4 articles sur la question ici) !

On trouve ici et là dans ce livre quelques preuves de l’appartenance de Monsieur Stéphane Blet à ce monde interlope de l’occultisme maçonnique parisien, notamment quant au fait de différencier Satan de Lucifer ! Concept qu’aucun croyant orthodoxe ne peut comprendre, lui qui se dit catholique (sic).

Bref, tout ceci pour en arriver à cette conclusion. Ne pas tomber dans ce piège grossier fomenté par Soral et ses nouveaux amis. D’autant que Monsieur Stéphane Blet a comme amis un grand nombre de juifs comme Jean-François Kahn… Lui l’ami intime de Pierre Bergé qui nous la joue dissident ! Il est fort probable qu’il joue un rôle, un jeu d’acteur fort médiocre au demeurant et ce livre indigent en est encore une fois une preuve supplémentaire. Rappelons également que son ami Alain Soral a tenté une initiation maçonnique en 2006 selon sa sœur (lire son dernier livre Frangin). Si vous voulez vous instruire sur le sujet de la franc-maçonnerie, nous vous invitons à lire le dernier ouvrage, autrement plus sérieux, de Johan Livernette par exemple, "La franc-maçonnerie, 300 ans d’imposture", un gros pavé, offrant dix fois plus d’informations précieuses. Nous vous invitons également à lire les livres de Monsieur Olivier Roney concernant Gustave Flaubert et la franc-maçonnerie, le GODF en particulier… Surtout ne pas perdre votre temps à lire ce Que sais-je ? médiocre et sans intérêt.

Source : http://www.lelibrepenseur.org/lecture-a-eviter-franc-maconnerie-leffroyable-verite-de-stephane-blet/

Chacun est un éveillé qui s’ignore

Le buffle représente notre nature propre, la nature de l’éveil,  la nature de Buddha, l’Ainsité (et la vacuité) Le Chemin de l’Eveil Le dres...