samedi, mai 12, 2018

Les «Protocoles des Sages de Sion» ou « Le Manifeste des 72 »


Les "Protocoles des Sages de Sion" 

ou "Le Manifeste des 72" 

(Partie I)



"Qu’est-ce que gouverner le monde… sinon faire croire à des imbéciles qu’ils pensent d’eux-mêmes, ce que nous leur faisons penser."  Jean Anouilh

"Je regarde vraiment avec commisération la grande masse de mes concitoyens qui, lisant les journaux, vivent et meurent dans la croyance qu’ils ont su quelque chose de ce qui s’est passé dans le monde à leur époque."  Thomas Jefferson

par Igor Strychnine



Les Protocoles sont l’un des documents les plus dérangeants du monde. On se doit de l’appréhender comme le déroulé d’une domination mondiale exercée par une fraternité ultra-secrète à l’aide d’une méthodologie implacable et rigoureuse.

Aucun autre document au monde ne fait comprendre plus clairement pourquoi le monde se dirige graduellement vers un Nouvel Ordre Mondial, un gouvernement unique contrôlé par une main soigneusement dissimulée que certains, comme le traditionaliste Jacques Delacroix, dans ses recherches, nomme le "Conseil des Treize".

Pour ceux qui en ont été et en seront encore victimes, les Protocoles se montrent d’un mépris avoué dans leur compréhension profonde de la condition humaine et dans leur esprit ; ils sont également implacables dans les détails de la méthodologie qu’emploieront leurs auteurs contre les profanes et avec la complicité parfaitement ignorante de ceux-ci qui, dans leur grande majorité, ne savent tout simplement pas reconnaître ce vaste complot.

Aussi, peu de textes contemporains peuvent se targuer de susciter, autant que les Protocoles des Sages de Sion, de polémiques enfiévrées et autres philippiques rageuses.

Depuis leurs parutions, au début du XXe siècle, ce pamphlet, au style approximatif, voire à la lecture rébarbative, catalyse et exacerbe les intérêts passionnels et politiques des diverses obédiences idéologiques de la pensée contemporaine qui se disputent autour de leur authenticité (1).

À tel point, qu’un arrêté ministériel du franc-maçon socialiste Pierre Joxe, signé du 25 mai 1990, paru au Journal officiel n°121 p.6253, autorisera la police dans le cadre du « politiquement correct » à rechercher les exemplaires de ce « brûlot » (2).

Ainsi, la distribution, la circulation, et la mise en vente des Protocoles seront interdites en France jusqu’en 2004. Le décret 2004-1044 du 4 octobre 2004 de la Cour Européenne des Droits de l’homme a abrogé l’article 14 de la loi de 1881 ainsi que tout ce qui permettait l’interdiction par le ministère de l’Intérieur, la circulation, la distribution et la mise en vente en France. Toutes les interdictions ministérielles et administratives ont été annulées définitivement au grand dam des organisations juives (3).

Quoi que l’on puisse gloser contre cette restriction de liberté, inacceptable pour certains, justifiée pour la majorité, il faut bien reconnaître que la « charge » passionnelle, investie par ses dévots, est de nature à conduire les esprits pas mal bousculés, vers des dérèglements nettement préjudiciables pour l’ordre public ou du moins ce que l’on considère comme tel.

La tactique est donc la même depuis la parution de ce brûlot : on s’ingénie, d’abord, à faire le silence (la meilleure arme du Mal) sur le livre proscrit ; puis en raison de son succès, on chargera les médias aux ordres de le déconsidérer ; enfin devant l’échec de la méthode et, ayant désormais la possibilité de légiférer (par parlementaires interposés), on le fera interdire !

Pour la grande majorité de nos contemporains, l’inconfort et l’agacement sont au rendez-vous à la lecture de ces vingt-quatre réunions judéo-maçonniques hautement sulfureuses ; reflétant ainsi un indéniable don de prophétie.

Qu’on en juge :

Guerres mondiales, révolution prolétaire, haines entre les classes sociales, anéantissement de l’aristocratie, de la monarchie et de l’agriculture, relâchement des mœurs, crise économique par excès de libéralisme, encadrement de la presse et des médias, endoctrinement de la jeunesse, venue de l’Antéchrist, établissement d’un supergouvernement mondial (vieux rêve d’Imperium maçonnique) et d’une Super-Église, universelle, au point de transcender les diverses confessions institutionnalisées.

Tout ceci ne peut que nous rapprocher dangereusement du monde préconisé par le rosicrucien tchèque, très anticatholique, Coménius (1592-1670), dans "Panorthosie ou Traité du Bon Ordre universel"  (4) :

La Panorthosie divise la société en trois castes :

En haut les chefs, les guides, la poignée de l’élite éclairée, constitués de : lettrés («Supérieurs Inconnus»), doctrinaires des vérités métaphysiques et ésotériques, détenteurs de l’Autorité spirituelle.

Les prêtres, propagateurs de théologie et du culte de la Tradition primordiale, puis les hommes politiques, chargés du Temporel.

À la base, les castes inférieures, les peuples, les obéissants et les soumis, qui recevront du sommet les ordres et la « lumière ».

Le monde amendé de la Panorthosie est, il va sans dire, un monde sous contrôle, dans lequel une fois que le « Vrai » sera dit et montré par les trois ordres mythiques de la Société Idéale : Princes, Lettrés et Prêtres, l’on prendra « les mesures requises » pour sa propagation, sa préservation et sa victoire : une Garde, « des gardiens de l’Ordre et de la Loi et des bases éternelles du Salut Public ». « Pour que l’ordre soit préservé, en tous lieux, les uns seront soumis aux autres. »

En cas d’hésitation, l’on pourra recourir à trois instances :

— Le Collège de la Lumière , dans le domaine intellectuel.

— Le Consistoire mondial, pour les affaires religieuses.

— Le Tribunal de la Paix ou (Cours de Paix), à l’échelle planétaire.

Liberticide, c’est un monde où régnera la censure : on choisira des hommes « supérieurs aux autres », les optimates, chargés de veiller, « comme du sommet d’un observatoire, à ce qu’on ne tolère rien qui aille contre la dignité de la réforme : mensonge, impiété ou désordre » ; le « Consistoire » fera en sorte que « rien ne fasse de scandales, ni écrits, ni gravures, ni peintures ; les imprimeurs et éditeurs seront fermement tenus en laisse ; l’ordre moral régnera et même la recherche théologique sera soumise à un contrôle étroit ».

Après cette rapide esquisse du monde idéal vu par ce familier de la communauté marrane d’Amsterdam et de la famille Rakoczi, que nous retrouvons dans l’Ordre du Dragon, revenons vers les Protocoles.

Quoique handicapés par une genèse incertaine et obscure, ils suscitent principalement l’embarras et l’acrimonie des philosémites et des Juifs « sartriens » — selon l’heureuse expression de Victor Malka, les plus nombreux dans le monde, très largement sécularisés —, qui ne se sentent la fibre juive que face à telle ou telle expression subite d’antisémitisme.

Interdits voire irrités, devant l’insolente exactitude de certaines prédictions — aujourd’hui réalisées – et, assurément peu à même de s’interroger sur le sens profond et l’enjeu métaphysique de leur sécularisation.

Ignorant que, pour René Guénon : "dès lors que les juifs se sécularisent, ils deviennent à leur insu le pivot de la subversion antitraditionnelle". C’est pourquoi une certaine « Internationale des Ténèbres » aime à les utiliser et promouvoir pour leurs capacités psychiques. Selon les travaux du professeur américain, Kevin Mac Donald, les Juifs concentrent leur activité et excellence dans les hautes strates de la pyramide de l’énergie humaine. Ils sont les consommateurs vampires de l’énergie produite par les goïm de statut social inférieur. Celà laissant augurer aux goïm antisémites abusés que les Juifs sont les auteurs des Protocoles.

L’unanimisme, autour de son caractère controuvé, est loin d’être la règle, même au sein de la communauté israélite, comme en témoigne cette confidence de l’écrivain juif, très antisémite (frankiste ?), Arthur Trébitsch, dans son ouvrage "l’Esprit allemand ou le judaïsme" (Vienne, 1921) :

« On ne peut avoir le moindre doute sur l’authenticité du texte du livre “ Les Sages de Sion ”. Celui qui, comme l’auteur [c’est-à-dire, Trebitsch], a su pressentir, dans les buts et les intentions de toute notre vie économique, politique et spirituelle, les idées exposées dans ces documents secrets, peut garantir avec certitude qu’il s’agit bien là de déclarations authentiques portant l’empreinte de l’esprit souple des Juifs qui aspirent à l’hégémonie mondiale ; si authentiques et si vraies que jamais aucun cerveau aryen ― même si la haine antisémitique le poussait à la falsification et à la calomnie ― ne serait capable de concevoir en aucune façon ces méthodes de lutte ces plans, ces ruses et ces duperies.»


« L’intérêt de l’authenticité ou non de ce texte est à notre avis secondaire. Si l’on tend à le rendre « apocryphe », c’est selon nous pour le vider de sa substance subversive et délétère, néanmoins le texte reste, et il n’y a pas de doute, toutes ces sentences sont d’une incroyable actualité…»

Ainsi, en jetant la suspicion sur leur authenticité comme le fait Pierre-André Taguieff, membre du Cercle de l’Oratoire, think tank français, d’obédience néoconservatrice (5), proche du « Project for the New American Century » ou PNAC, ce sioniste espère faire croire à l’opinion publique — qui ne sait en pareil cas quoi en penser — que cette « torpille » sortie des ateliers de l’Okhrana, la police politique tsariste, est une fiction surgie de cerveaux déséquilibrés (6).

La créditer serait assurément la rendre plus efficiente et opérative dans les consciences si peu éclairées des mœurs occidentales et orientales, toujours prêtes, comme il se doit à ressasser les sirènes du complot judéo-maçonnique.

Obsession récurrente d’une certaine droite nationaliste, partout renaissante, relayée en cela par le discours d’un clergé traditionaliste obtus.

Pour ne faire plus longtemps de mystère, nous regardons les "Protocoles des Sages de Sion" comme un évangile sethien ou un manifeste subversif élaboré par les sectateurs du dieu à la tête d’âne !

Nous ne redévelopperons pas ici, la thématique et l’économie des « 72 », magistralement dessinées par le mystagogue Jean Robin, dans ses ouvrages déroutants, pour bien comprendre la mise en place de l’eschatologie promise.

Les "Protocoles des Sages de Sion"  sont à l’usage exclusif, comme leur dénomination l’indique, des « Sages » (les tsaddikim [Justes] de la tradition hébraïque, les afrâd de la tradition musulmane, les “Supérieurs Inconnus” de la tradition maçonnique), de « Sion » (7) (où fut édifié le Temple de Salomon, situé quant à lui à « l’extrémité du Septentrion» [har-tsion yarketai tsaphon], le point le plus élevé du monde où brille l’étoile Polaire de la Tradition primordiale).

Ce manifeste subversif se doit partout de rappeler que pour la « Contre-Initiation », « la subversion du désordre, c’est l’ordre » et qu’il est destiné à aplanir les voies de l’Antéchrist, dont nous commençons à entendre les pas.


Igor Strychnine

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Notes

(1) Le débat sur leur authenticité n’a que peu d’intérêt. Car pour le Maître René Guénon, « aucune organisation vraiment et sérieusement secrète, quelle que soit sa nature, ne laisse derrière elle des documents écrits ». La question, qui au final se révèle judicieuse, est : sont-ils véridiques ? Le document doit être examiné pour les vérités qu’il contient. Et là, pas de doute, les attendus mentionnés dans les Protocoles se sont réalisés à merveille. Hugo Wast pouvait fort justement écrire : « Les Protocoles peuvent être faux, mais ils se réalisent merveilleusement ».

(2) La loi Gayssot fut adoptée par l’Assemblée nationale le 30/06/1990. Le texte réprime ceux qui contestent l’existence d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité « tels qu’ils ont été définis par le statut du Tribunal Militaire international de Nuremberg ». Cette loi ne vise que les forfaits accomplis par les forces de l’Axe et ses complices. D’importantes personnalités et organisations juives françaises avaient pris l’initiative de cette loi. Très judéo-centrée, cette loi fut contestée par quelques historiens (quid des Arméniens, des « koulaks » ukrainiens, des Amérindiens, etc.). Ainsi, cette loi mettait-elle à l’abri de toutes poursuites la veuve de Maurice Thorez écrivant dans ses souvenirs qu’elle ne croyait pas aux « millions de morts » en U.R.S.S . Pour Madeleine Rebérioux, ex-présidente de la Ligue des Droits de l’Homme, la loi est de l’ordre du normatif, elle ne peut dire le vrai et « la vérité historique » récuse l’autorité étatique.

La loi Fabius-Gayssot, créée par contrer l’audience grandissante du mouvement révisionniste du professeur Robert Faurisson, donne ainsi la certitude qu’il existe en France une lecture officielle de l’histoire. Elle recèle une dimension antiblasphématoire et sacralisante d’un événement historique (la Shoah). Enfin, elle donne aux juges, l’apparence de gardiens d’un sanctuaire historiographiquement judéo-centré.

Déjà, la loi du franc-maçon Marchandeau (21 avril 1939) qui présida à l’élaboration et à l’adoption de la première loi française contre le racisme et l’antisémitisme fut suggérée par la communauté juive. Ainsi, l’exorde de Bernard Lecache, président de la LICRA d’alors, envers Marchandeau : « Osez, Monsieur Marchandeau, toute la France, vous suivra ! »


(3) l’ ONG Pour les Droits de l’Homme (faux-nez de l’espionnage de l’Empire americano-sioniste) a cherché à obtenir du Parquet de Moscou l’interdiction à la vente des Protocoles ou de le signaler comme faux. Sans succès !

Le parquet russe a motivé sa décision en sa basant sur une expertise de l’Institut de psychologie de l’Académie des sciences selon laquelle Les Protocoles ne contient pas d'éléments appelant à des actions contre les Juifs. (cf : Le Point du 28/03/2011)

Les Russes savent mieux que quiconque de ce qu’il faut penser des Protocoles !


(4) D’après Pierre Mariel, "Les sociétés secrètes mènent le monde", p.38 Éd. Albin Michel : « La Panorthosie ne fut pas le manifeste du seul Coménius , mais plutôt le manifeste de la Rose-Croix, car Coménius fut le porte-parole, le rapporteur d’une commission de Sages dont les membres sont restés volontairement dans l’ombre. La Panorthosie (du grec pas, pantos, tout, universel, et orthos, droit, juste) fut publiée en 1644, elle se veut une synthèse des "Colonies de Jérusalem" de Johann Arndt, de la "Civitas Solis Poetica"  de Tomaso Campanella, de la "Nouvelle Christianopolitaine"  de Valentin Andreae, et de "l’Atlantis Nova" de Francis Bacon. »


(5) Le mouvement néoconservateur américain, qui est généralement perçu comme une droite républicaine extrême (radicale et non pas conservatrice), est en réalité un mouvement intellectuel, né à la fin des années 1960 au sein de la rédaction de la revue mensuelle Commentary, l’organe de presse de l’American Jewish Committee qui a remplacé le Contemporary Jewish Record en 1945. The Forward, le plus ancien quotidien juif américain, écrit dans un article du 6 janvier 2006 signé Gal Beckerman : « S’il y a un mouvement intellectuel en Amérique dont les juifs peuvent revendiquer l’invention, c’est bien le néoconservatisme. Cette pensée horrifiera sans doute la plupart des juifs américains, majoritairement libéraux. Et pourtant c’est un fait qu’en tant que philosophie politique, le néoconservatisme est né parmi les enfants des immigrants juifs et qu’il est actuellement le domaine particulier des petits-enfants de ces immigrants. »

Ce mouvement néoconservateur doit beaucoup à la philosophie de Léo Strauss, grand admirateur de Machiavel qu’il considérait comme un “juif secret”. Prônant un machiavélisme sioniste, s’appuyant sur une doxa agressive et dénuée de scrupule, ce philosophe militait pour un racisme antigoy exigeant, passant par une promotion de l’immigration et le multiculturalisme.

Léo Strauss, philosophe juif allemand, protégé du clan Rockefeller quittera l’Allemagne nazie pour former les futurs cadres de l’ère post-démocratique. Il sera professeur de philosophie politique à l’université de Chicago de 1953 à 1973. Aidé d’Allan Bloom, son disciple, il formera une pléiade de futurs dirigeants néo-conservateurs issus de la mouvance gauchiste et trotskistes reconvertis dans la droite ”dure” : Richard Perle, Paul Wolfowitz, Douglas Feith, Irving & William Kristol, Robert Kagan, Lewis Libby, Hermann Kahn, Norman Podhoretz, David Wurmser, Dov Zakheim, Elliott Abrams, etc.

Le politologue Benjamin Ginsberg expose ainsi le problème :

« Un des facteurs majeurs qui les a attirés inexorablement vers la droite était à la fois leur attachement à Israël et leur frustration grandissante pendant les années 60 où le Parti Démocrate s’est opposé progressivement à l’inflation militaire américaine et embrassait de plus en plus la cause du tiers monde [comme par exemple, celle des droits des Palestiniens]. Au sein de la ligne dure et anticommuniste de la droite reaganienne, prenant le parti de renforcer la puissance militaire américaine et affichant sa volonté de pratiquer l’ingérence politique et militaire dans les affaires des autres nations pour promouvoir les valeurs de la démocratie (ainsi que les intérêts américains), les néo-conservateurs fondèrent un mouvement politique dont l’objectif était de garantir la sécurité d’Israël. »

Staline avait donc raison de dire que les USA, sur le plan planétaire, sont la projection extérieure de la « conspiration trotskiste de l’intérieur ».

(6) La constante rhétorique du discours anticomplotiste consiste à psychiatriser et pathologiser l’adversaire. Dans l’esprit des anticonspirationnistes, la normalité psychiatrique se pense toujours à l’aune du « politiquement correct ». Cependant, le « politiquement correct » est le produit d’une grave déviance. Il se nourrit de trois affres peccamineuses : l’anachronisme, le manichéisme et la vulgarisation. L’anachronisme, l’histoire étant jugé à l’aune des critères politiques, mentaux, moraux et culturels de notre époque. Le manichéisme, l’histoire étant conçue comme la lutte du bien et du mal, mais un bien et un mal définis selon les normes actuellement dominantes. Enfin, la vulgarisation, la complexité et la richesse de la chose historique étudiée disparaissent au profit d’une lecture démocratique, exotérique et donc vulgarisée de celle-ci, faussant ainsi l’appréhension de la réalité.

(7) Sion est l’un des quatre monts contigus de la ville de Jérusalem. C’est là que le roi David fit bâtir son palais et y placer l’Arche d’Alliance pendant 42 ans. C’est aussi au mont Sion que le Christ institua l’Eucharistie. Ce mont peut être considéré comme le berceau symbolique de l’Église. Enfin, pour Eusèbe de Césarée, le site du Golgotha se situait au nord de la montagne de Sion.


A suivre...




LIVRES



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