mercredi, mai 31, 2017

Insurgez-vous !





Le message fort d'un prêtre insurgé 
qui réveille nos consciences 
(extrait) 


"Les tragédies des guerres, du terrorisme et de la misère jettent des milliers d'hommes, de femmes, d'enfants sur les rives de la Méditerranée, aux portes de l'Europe. Ils arrivent par flots continus, ces frères humains qui deviennent la proie des passeurs et tentent de traverser la mer sur des bateaux de fortune. Quinze mille d'entre eux se sont déjà noyés dans cette Méditerranée, berceau de notre civilisation et lieu de rencontre entre les hommes depuis l'aube des temps. La mer est aujourd'hui devenue sépulcre. L'Europe qui ne veut pas être envahie par les hordes des réfugiés ergote sur le nombre de ceux qu'elle peut accueillir. Il ne s'agit certes pas d'accueillir la misère du monde sans avoir de solutions à lui offrir. Mais au moins s'agit-il de ne pas se tromper sur le premier geste à accomplir : les empêcher de mourir.

Essayons de comprendre comment tout cela est né. L'abbé Pierre disait depuis fort longtemps : Comment voulez-vous empêcher les pauvres du monde de venir alors que les écrans de télévision partout dans les pays les plus pauvres exposent de belles voitures, de belles maisons et de jolies piscines bleues. Eux n'ont rien mais ils voient que cela existe ailleurs. C'est un aimant irrésistible. C'est aussi un orgueil des pays riches et puissants qui cherchent à démontrer au monde leur supériorité. Nous sommes les plus beaux et les meilleurs. Ne nous étonnons pas que tout ceci devienne un mirage pour les pauvres du sud. C'est une motivation pour partir.

Il ne faut jamais perdre de vue que l'Afrique est un continent oublié. Il a été pillé jadis d'un point de vue humain avec la traite, et pas toujours bien traité avec la colonisation. Aujourd'hui il est en passe de devenir un continent oublié de la mondialisation. Comment voulez-vous que les Africains ne se disent pas : « Bon, si chez eux c'est si beau que cela, j'y vais et par tous les moyens ! »

Comment ne pas en vouloir à cet Occident qui a été capable, en un éclair, de sortir l'Europe de ses ruines après la Seconde Guerre mondiale mais pas d'établir un plan Marshall pour relever l'Afrique ? Au lieu de quoi on l'a laissée sombrer dans le chaos. On y a même contribué notamment en traçant des frontières arbitraires issues de la décolonisation, et propices aux guerres ethniques. Aujourd'hui, on reste irrespectueux des modes de vie, des Africains, de leurs traditions, de leur histoire. L'Occident se montre condescendant envers l'Afrique. Le constat est sévère mais il est vrai. On ne ressent pas un discours d'égal à égal vis-à-vis du continent africain.

Il faut en rester à des choses simples. Pour développer l'Afrique, il est quelques principes de base, compte tenu de son immensité et de la pauvreté de ses populations. Il faut d'urgence construire des routes, des chemins de fer, des écoles, des hôpitaux et des dispensaires partout où il n'y en a pas et promouvoir l'accès à l'eau potable dont dépend la santé, sans oublier de favoriser le développement harmonieux de l'urbanisme en lieu et place de son développement anarchique. Si vous ne me croyez pas, allez donc vous promener à Tana, Lagos ou Nairobi et vous comprendrez ! Seulement, toutes ces actions avancent bien trop lentement !

— Peut-être les riches trouvent-ils plus commode de piller que d'aider ?

— Exactement. Et c'est comme au temps des conquistadors d'hier ! Les « néo-pillards » du nord trouvent sur place des complices pour extorquer, dominer, exploiter leurs peuples. Un million de tonnes de bois de rose de Madagascar est exporté illicitement. Et ce sont quelques notables sans scrupule et quelques marchands chinois sans état d'âme qui en tirent profit.

— Comment expliques-tu cette condescendance qui perdure vis-à-vis de l'homme africain ?

— Il faudrait changer l'homme ! L'être humain est ainsi. Par nature, il tend à vouloir dominer. Jusqu'à aujourd'hui, on considérait même que c'était là le moteur du progrès être plus fort que l'autre, dominer l'autre !

— Ainsi l'arrogance de la colonisation n'est pas morte ?

— Pas tout à fait. Mais c'est aujourd'hui davantage une condescendance qu'une arrogance. Certes il y a bien des gens qui viennent travailler ici dans un bon esprit , pour faire le bien, en respectant l'autre, hélas ce ne sont pas les plus nombreux.

— Même dans l'humanitaire ?

— Dans l'humanitaire, c'est comme partout. Certains font cela pour se sentir exister. On les dote de gros moyens. Ces moyens sont nécessaires, à condition de ne pas s'en servir dans un esprit de supériorité. Il y a plus grave encore. La plupart de ces « experts » ne connaissent rien ou peu des traditions et des cultures. Ils causent, ils causent. La seule façon d'avancer, c'est en développant des micro-projets qui rencontrent l'adhésion. L'agriculture, par exemple, est une des grandes chances de l'Afrique et de Madagascar, et les paysans représentent 80 % des habitants. Mais on ne développe pas des micro-projets à grande échelle avec les paysans. Résultat, c'est un zéro pointé. On en reste aux théories et aux discours. Les discours sont la maladie endémique ici en Afrique. On est capable de répéter des centaines de fois les mêmes choses et rien n'avance ! On préférera toujours être l'intellectuel, celui qui pense plutôt que celui qui se retrousse les manches. Pourtant, à notre mesure, à Akamasoa, nous l'avons fait, FAIT ! Routes, évacuations, maisons, cultures, reboisement et même cimetières pour enterrer nos morts. Ce que nous avons fait avec nos petits moyens, beaucoup d'autres pourraient le faire, avec de gros. Il y faut la volonté, le courage et l'âme. La plupart de ceux qui travaillent ici sont des Malgaches et on avance, avec une tonne de problèmes, certes, mais on avance. Attention, la faute n'incombe pas seulement aux pays du nord. Les élites locales aussi, corrompues, égoïstes, refermées sur elles-mêmes."






Dans un monde en manque de repères, nostalgique de grandes figures comme l'abbé Pierre, mère Teresa ou sœur Emmanuelle, le père Pedro apparaît comme leur successeur. On connaît le combat qu'il mène depuis près de trente ans contre la pauvreté à Madagascar à travers son association Akamasoa. On connaît sa bonté, sa générosité, son amour mais aussi son caractère volcanique, son franc-parler, ses saintes colères.

Voici un manifeste et un livre de réflexions sur des sujets qui lui tiennent à cœur - l'école pour tous, la question des réfugiés, la guerre sainte et la mort, la décadence des politiques, la place des femmes, la démocratie, etc. -, dans lequel le père Pedro conjugue ses interrogations, ses convictions, ses indignations.


lundi, mai 29, 2017

Damcho Dyson, du lamaïsme au BDSM




Damcho Dyson, s'est lassée de sa vie de nonne bouddhiste soumise durant 10 ans à un gourou lamaïste (maître dans l'art tibétain du bondage mental et aussi grand fornicateur devant le Bouddha éternel). 

Après avoir quitté son monastère, situé dans le sud de la France, elle décide de devenir à son tour maître, ou plus exactement Maîtresse ou Domina, c'est-à-dire une sorte de gourou du BDSM (Bondage, Discipline, Sado-Masochisme). 

Le BDSM serait-il une forme occidentalisée du lamaïsme ?


Pour l'ex-nonne bouddhiste, une tenue en latex est comparable aux vêtements monastiques.

Pour en savoir plus, lire « Fétiche, BDSM et Eveil » dans "Engage, 
The Voice of the Buddhist Precariat" (en anglais) :

Sarkozy, Hollande, Macron et bondage "démocratique", 
les Français sont-ils masochistes ?

mercredi, mai 24, 2017

Le Vénérable W.

Cannes 2017

LE VÉNÉRABLE W
Un documentaire de BARBET SCHROEDER, 
dernière partie de sa trilogie sur le Mal. 


"Le Vénérable W." dresse le portrait de Ashin Wirathu, moine bouddhiste.


"La curiosité intellectuelle de Barbet Schroeder est sans limites. En témoigne une filmographie où le cinéaste s’est intéressé à tous les états extrêmes de l’humain, avec un regard d’anthropologue quand il faisait des fictions, et de cinéaste nourri aux classiques hollywoodiens quand il signait des documentaires. 

Barbet Schroeder a présenté "Le Vénérable W". comme le film le plus fou qu’il ait jamais réalisé. Ce qui met la barre assez haut venant de la part d’un globe-trotter qui a posé sa caméra pour observer à peu près tous les tabous, transgressions, pathologies et violences recensés sur les quatre continents, toujours dans le présent du tournage. 

"Le Vénérable W." n’est rien d’autre que la dernière partie de sa « trilogie sur le Mal », après un documentaire consacré au dictateur ougandais Idi Amin Dada en 1974 et un autre sur Jacques Vergès et plus généralement la question du terrorisme, L’Avocat de la terreur (2007). A chaque fois il s’agit de donner la parole à un homme qui incarne ou diffuse des doctrines de mort et de haine, la négation de l’humanisme. 

"Le Vénérable W." dresse le portrait de Ashin Wirathu, moine bouddhiste qui détourne le message de sa religion pour stigmatiser la communauté musulmane en Birmanie et militer pour un boycott économique et des lois discriminatoires contre les Rohingyas, musulmans venus du Bangladesh et de confession sunnite. 

Lors de prêches à travers le pays, devant des foules galvanisées, ses paroles haineuses exploitent les peurs des birmans, saisissent l’occasion de fait-divers ou de tensions ethniques pour déclencher des explosions de violence, des massacres de populations et la destruction de villages entiers. Islamophobe, raciste, nationaliste, Wirathu injecte avec une morgue terrifiante le poison de la haine et de l’intolérance dans le peuple birman et le bouddhisme. Cette religion sans dieu et profondément pacifique est elle aussi rattrapée par le fanatisme violent qui a contaminé d’autres croyances religieuses à un moment donné de leur histoire. 

Schroeder s’approche d’un monstre, d’un salaud radical et lui donne la parole, avec une technique de mise en confiance dans laquelle il est passé maître. Il le contredit et dévoile ses mensonges et manipulations par la force du montage et de témoignages des moines ou de spécialistes de la région. Barbet Schroeder donne un nouveau visage au Mal, tel qu’il fut incarné par Hitler et d’autres chefs sanguinaires au cours du XXème siècle. 

"Le Vénérable W." est glaçant et salutaire, c’est aussi l’un des nombreux films de ce Festival de Cannes, tous genres confondus, à décrire un état de chaos et un monde au bord de l’apocalypse."

Olivier PERE


Source :

mardi, mai 23, 2017

Une étrange photo fait le buzz



Après la photo de Macron intronisé « Grand Valet de Mammon » devant la pyramide du Louvre composée de 673 (666 + 7) carreaux de verre, une autre photo interpelle les internautes.

Photo prise lors de l'ouverture du centre anti-extrémisme à Riyad, elle montre le président américain, le roi Salmane et le président égyptien Abdel Fatah al-Sissi les mains sur un globe terrestre.

Un internaute écrit : « La scène rappelle les meilleurs Comics où les méchants préparent la conquête du monde dans un rire bruyant... »



lundi, mai 22, 2017

La CIA a inventé le terme « théorie de la conspiration » en 1967

La CIA a inventé le terme « théorie de la conspiration » en 1967, une « arme de guerre psychologique », et a mis en place des opérations pour discréditer « l'opposition » à la propagande officielle.


Suite au scepticisme public vis-à-vis les conclusions de la CommissionWarren sur l'assassinat du président John F. Kennedy, la CIA a envoyé une directive détaillée à tous ses bureaux, Intitulé " Counter Criticism of the Warren Commission Report ", ce document a joué un rôle définitif en faisant de la «théorie de la conspiration» une arme utilisée contre les individus ou groupes qui remettent en question les programmes et activités clandestins du gouvernement.


La directive " CIA Document 1035-960 ", obtenue via le Freedom of Information Act (FOIA) par le New York Times en 1976, définit une série d'actions et de techniques détaillées pour contrer et discréditer les allégations des "théoriciens du complot", de façon à empêcher la circulation de ces théories dans d'autres pays. Par exemple, s'approcher de "contacts d'élite amicaux" (en particulier les politiciens et les rédacteurs en chef ) pour leur rappeler que l'intégrité et la solidité de la Commission Warren devraient être prioritaires.


Le document suggère la technique du "troll", soit d'utiliser des propagandistes (au sein du corps politique et médiatique) pour générer de fausses informations ou pour créer des polémiques qui visent à discréditer les théories du complot. Il suggère aussi de s'attaquer à la crédibilité du "propagandiste" (témoin) en lui accolant de faux statuts ou de fausses activités (motivé par des ambitions politiques obscures et par des intérêts financiers dans la promotion des "théories de la conspiration").


Aujourd'hui, plus que jamais, les commentateurs politiques et les médias d'actualité occupent des positions puissantes pour manipuler l'opinion publique, utilisant des techniques ressemblant étroitement à celles énoncées dans le document 1035-960 de la CIA.




samedi, mai 20, 2017

Guignols de la désinfo


Un instant d'intoxication médiatique sur France Info


Julien Pain (L'instant détox) et Rudy Reichstadt (Conspiracy-Watch) sévissent dans les rue de Paris :




Message subliminal de Julien Pain : Si vous critiquez l'oligarchie, vous n'êtes qu'un complotiste abruti et de surcroît un vilain antisémite. Mais, attention, ce Pain est toxique !


Julien Pain est le rédacteur en chef de "L'instant détox" une nouvelle forme de propagande d'un prétendu service public nommé "France Info". 


Le but de "L'instant détox" est de neutraliser les informations propagées par les médias alternatifs.


Selon Ingrid Riocreux (auteure de « La Langue des médias ») :

« L’intention de Julien Pain est claire : en commençant par faire réagir les gens à des informations qui se révèlent être des manipulations, il espère leur faire admettre que leurs opinions sont illégitimes, fondées sur des mensonges. »

Lire l'article d'Ingrid Riocreux Franceinfaux”, l’intox dévoilée ? 


Voici une véritable info à savourer :



François Fillon a confié à Philippe de Villiers que le Bilderberg nous gouverne.








jeudi, mai 18, 2017

Les Imbéciles Heureux (Bliss Ninnies)





"Un nouveau mouvement de libre pensée est en marche. Il a plus à voir avec la méditation, le yoga, la fraternité, les bonnes ondes, la célébration communautaire et la quête du divin, qu’avec les substances psychotropes de ses prédécesseurs des années 1960. 



Dans Bliss : Transformational Festivals & the Neo Hippie, Steve Shapiro (83 ans), photographe célèbre pour ses clichés de la première ère hippie à San Francisco et ailleurs, suit son fils dans son chemin vers la lumière, pendant les « festivals transformationnels » qui se déroulent dans tous les Etats-Unis : des festivals de musique à Washington, des rassemblements pour la paix en Oregon, des rencontres sacrées en Californie, des « happenings » d’un weekend ou d’une semaine au Lincoln Park et dans le Désert de Black Rock.


Avec Bliss, Schapiro s’intéresse à une sous-culture de la contre-culture hippie, connue sous le nom « Bliss Ninnies » (« Les Imbéciles Heureux ») – des individus centrés sur la méditation et la danse comme moyen d’atteindre la joie dans la transe. L’ouvrage rassemble des images de festivals dans tout le pays et offre une vision d’ensemble de ce nouveau mode de vie hippie dans l’Amérique d’aujourd’hui.


Avec ces photos fascinantes, Bliss entraîne le spectateur dans une balade visuelle auprès de ces imbéciles heureux extatiques, le regard fixe (forme libératrice de méditation les yeux ouverts), qui dansent et se prélassent dans le divin. Leurs croyances et leur façon de vivre posent la question : « La quête de la joie pure est-elle une quête de Dieu ? » Ces scènes encore jamais montrées sont peut-être une réponse à cette interrogation. Les années 1960 sont toujours là. Il vous suffit de trouver où."


Source :

mardi, mai 16, 2017

Tragédie biblique au Zimbabwe


Un pasteur qui a essayé de reproduire l’histoire biblique de Jésus-Christ marchant sur les eaux a été mangé par trois crocodiles ! Peut-être avait-il oublié que ces animaux ne peuplent pas le lac de Tibériade…

Jonathan Mthethwa, pasteur de l'Église de Jésus-Christ des Saints des derniers jours, a tenté de marcher sur les eaux d'une rivière. Malheureusement, il avait mal choisi le lieu de sa tentative de reproduction d'un épisode de la vie de Jésus de Nazareth…

Avant son essai, le prêtre a passé une semaine à prier. Le jour J, Jonathan Mthethwa est entré dans l'eau et a fait plusieurs pas. Tout à coup, au moment où il se décidait à sortir de l'eau, trois crocodiles l'ont attaqué en présence de ses fidèles.

« Nous ne comprenons pas toujours comment cela s'est produit, parce qu'il a jeûné et prié pendant toute la semaine », ont-ils indiqué.

Source 


lundi, mai 15, 2017

Comment se protéger de Macron et de la dictature du pognon



« Un représentant « commercial » envoyé en mission par la Banque Rothschild dirige la France aujourd’hui. On ne peut pas rêver un scénario plus idéal pour exprimer la façon dont le Grand Capital Financier organise son pouvoir absolu sur le monde entier. Ce pouvoir exorbitant montre son visage rayonnant de plaisir : il a gagné, il est le Maître, c’est lui qui décide et qui met en place ses pions disciplinés pour une ère de profits démesurés assurés par des peuples enfin dressés et soumis au dictat de la Loi de l’argent… »
 Jean-Yves Jézéquel.


La solidarité et le partage permettent de s'affranchir de la société de consommation et d'être moins exploité par les riches.
Liste de sites

DONS D'OBJETS et de SERVICES


















REPARATION, BRICOLAGE






ALIMENTATION










VOYAGE BATEAU-STOP




TROC, ECHANGE de SERVICES



COMMUNICATION





LIVRES, FILMS...





LOGEMENT



Le 7 mai 2017, et si c'était un coup d'Etat électoral ?

Le résultat final des « fausses élections présidentielles françaises »


Selon le site du Ministère de l’Intérieur, il y a finalement, contrairement aux chiffres qui avaient été donnés au premier tour, 47. 581. 118,00 inscrits sur les listes électorales. Ce chiffre du Ministère de l’Intérieur n’est jamais le même à chaque publication : il varie constamment et pour le second tour il a été aussi déclaré à 47.568.588,00 d’inscrits.

L’abstention s’élève à 25,44% des inscrits. Ce qui donne : 12.104.636,00 inscrits.

Les votes blanc et nuls s’élèvent à 12% des votants. Ce qui donne : 4.265.171,00 votants.

Les abstentions ajoutées aux votes blancs et nuls, donnent le chiffre de : 16.369.807,00 voix.

Les voix prises en compte dans l’élection s’élèvent donc au nombre de : 31.211.311,00.

Marine Lepen a fait 33,90% des voix exprimées. Ce qui donne : 10.580.634,00 voix exprimées. Le site du Ministère de l’Intérieur donne le chiffre de : 10.644.118,00 voix pour Marine Le Pen. Ce qui veut dire que les inscrits du point de départ ne sont pas le nombre annoncé par le Ministère de l’Intérieur.

Les voix exprimées restantes pour Emmanuel Macron s’élèvent donc au nombre de : 20.630.677,00 voix exprimées. 66,10% de 31.211.311,00 = 20.630.677,00 voix exprimées. Le site du Ministère de l’Intérieur donne le chiffre de : 20.753.798,00 voix pour Emmanuel Macron. Ce qui confirme une imprécision sur les inscrits du départ.

Le nombre de Français inscrits et ayant le droit de vote et qui n’ont pas choisi Macron pour président, s’élève donc à : 27.013.925,00 citoyens.

De nouveau, une large majorité de Français n’a pas voté Emmanuel Macron. La majorité des Français n’a pas voulu qu’il soit placé à la présidence de la République Française !

C’est une minorité de Français qui a imposé ce président à la majorité des citoyens de ce pays ! On retrouve encore logiquement la perversion du système électoral de la 5ème République et l’injustice qu’elle fait régner dans cette parodie de « démocratie »… Une minorité, comme on le voit dans cette élection, peut, en réalité, s’imposer très facilement à une majorité : en résumé, 20 millions de voix l’emportent sur 27 millions de voix !

Comment, dès lors, accorder une légitimité quelconque au nouveau Président élu? Où va-t-il trouver une majorité gouvernementale nécessaire pour conduire le pays, selon la Constitution de la 5ème République, puisqu’il n’a pas le projet de réformer celle-ci ?

Comme nous l’avions commenté dès le début de cette campagne électorale 2017, le scénario Macron avait été soigneusement écrit d’avance, puis exécuté au détail près, mis scrupuleusement en scène, avec les chiffres des sondages eux aussi prévus déjà très largement en avance, sans oublier le dévouement inconditionnel de l’ensemble des médias collabos, tout cela faisant des élections présidentielles françaises 2017, une fausse élection…

Tout s’est bien déroulé sans le moindre écart des prévisions et des diagnostics du monde médiatique, puisque tout était prévu d’avance, pensé d’avance, voulu d’avance, organisé d’avance, et imposé comme convenu sans le moindre doute sur l’issue finale. Des élections pipées, donne une fausse élection présidentielle.

Les nombreuses irrégularités du premier tour demeurent bien entendu sans réponses…

Les informations sérieuses, confirmées, documentées, prouvées sur les scandales et la corruption concernant certaines personnes dont un appui politique majeur de Macron, François Bayrou, restent muettes…

Que vont dire aujourd’hui, lundi 8 mai, les escrocs du QG Macron sur le sabotage des élections françaises réalisé par Sputnik et RT ? Si les élections présidentielles françaises ont vraiment été sabotées par les médias Russes, comme le QG Macron l’a sérieusement soutenu dans une violente accusation, cela veut-il donc dire que Emmanuel Macron est le candidat favori de Poutine, puisque c’est lui qui apparemment a largement profité du sabotage russe ?

L’équipe au pouvoir, largement désavouée par les Français, s’est donc arrangée astucieusement pour rester au pouvoir, malgré une impopularité record. Hollande va survivre à lui-même à travers le candidat qu’il a si habilement placé dans la course à l’Elysée. Il triomphe, jubile et va sans doute désormais se taper sur le ventre en traitant les Français « d’enquenellés » ! Même si Macron n’a convaincu qu’une minorité de Français, peu importe, du moment que la perversion du système électoral aidant, lui permettait d’obtenir le dernier mot sur la volonté du peuple bluffé par ce jeu de dupes !

En 2017, la situation de la France et des Français s’est considérablement dégradée. Ce pays est désormais une authentique colonie des USA, puisque son tout jeune président est l’homme converti aux standards nord-américains par excellence. Il avait annoncé la poursuite assidue de cette vassalité, jusque dans la guerre illégale qu’il allait continuer et intensifier aux côtés des USA. Cette guerre il la ferait sans hésiter, « même sans mandat de l’ONU » ! Il va de soi que si un mandat de l’ONU était le dernier de ses soucis, déjà comme candidat, on peut imaginer ce que peut représenter dans son esprit de président élu, l’aval du Parlement, du Sénat et du peuple : une question qui ne se pose même pas !

La leçon de ces élections :


Un représentant « commercial » envoyé en mission par la Banque Rothschild dirige la France aujourd’hui. On ne peut pas rêver un scénario plus idéal pour exprimer la façon dont le Grand Capital Financier organise son pouvoir absolu sur le monde entier. Ce pouvoir exorbitant montre son visage rayonnant de plaisir : il a gagné, il est le Maître, c’est lui qui décide et qui met en place ses pions disciplinés pour une ère de profits démesurés assurés par des peuples enfin dressés et soumis au dictat de la Loi de l’argent…


Jean-Yves Jézéquel

dimanche, mai 14, 2017

La bourse ou la vie ?

Macron est là pour corrompre la jeunesse. Il a dit : « Il faut des jeunes Français qui aient envie de devenir milliardaires ! » C'est dégueulasse !

LE PHILOSOPHE ALAN WATTS NOUS INVITE À IGNORER L'ARGENT



Pour vivre pleinement sa vie, mieux vaut éluder la question de l'argent et commencer par la seule qui vaille vraiment : que désirons-nous ?
Par Axel Leclerc



L’argent est au cœur de notre société et occupe chaque jour un peu plus d’espace dans nos vies. Nos loisirs, notre nourriture, notre logement, nos déplacements, notre santé, notre confort… tout dépend de lui. En fait, l’argent décide de tout, et même de la façon dont on occupe notre temps. Alors, pour retrouver notre liberté et se libérer de cette domination omniprésente, le philosophe Alan Watts nous invite à suivre un précieux conseil : faire comme si l’argent n’existait pas ! Une vidéo iconoclaste, voire utopique, mais très convaincante.

Alan Watts (1915-1973) est considéré comme « l’un des pères de la contre-culture aux États-Unis. » Philosophe et écrivain, il s’est notamment spécialisé dans la quête du bonheur qui, selon lui, est incompatible avec le désir de fortune. Son credo : plutôt que de chercher comment gagner de l’argent, réfléchissez d’abord à ce que vous voulez vraiment faire et, ainsi, vous pourrez vivre pleinement…

Du coup, lorsqu’Alan Watts évoquait avec ses élèves la question de leur orientation professionnelle, il leur donnait toujours le même conseil : faites comme si l’argent n’existait pas. Écoutez-le sur cette bande-son mise en images pour l’occasion. Son raisonnement déborde d’optimisme ET de bon sens…

« Si vous pensez qu’avoir de l’argent est la chose la plus importante, vous vivrez votre vie en perdant votre temps. Vous ferez des choses que vous n’aimez pas pour pouvoir faire des choses que vous n’aimez pas faire. C’est idiot. Mieux vaut avoir une vie courte remplie que de ce que l’on aime qu’une longue vie misérable passée à être malheureux. »

« C’est pour cette raison qu’il faut se poser la question : « qu’est-ce que je désire. » »

Selon Alan Watts, réfléchir à son avenir en faisant comme si l’argent n’existait pas est le plus sûr moyen de viser l’épanouissement personnel, mais aussi de devenir très bon dans son activité et, donc, de ne jamais manquer d’argent…

Source :
http://positivr.fr/alan-watts-monde-sans-argent-vie/



L'homme sans argent 


« L'homme sans argent » de Mark Boyle est le livre culte de la
décroissance.

Pendant des millénaires, l'humanité a vécu sans argent. Aujourd'hui, rien ne semble possible sans une carte bancaire et quelques billets de banque. « Et si je passais une année entière sans argent ? » Au départ, c'était un pari un peu fou, qui devait s'arrêter au bout de douze mois. Pour l'ex-homme d'affaires Mark Boyle, c'est devenu un mode de vie durable. Dans L'Homme sans argent, il nous raconte son aventure. Que manger ? Où vivre ? Comment se laver ? Comment avoir une vie amoureuse, des amis, garder contact avec sa famille ? Mark Boyle a appris tout cela à la dure. Son livre nous fait réfléchir à la fois sur la place de l'argent dans notre vie et sur les mille manières de s'en passer. Faire des économies est un défi quotidien. Mark Boyle nous parle de dentifrice de seiche, de nourriture de saison, d'échanges de savoirs et de toilettes à compost, de la manière de passer un Noël sans argent. En suivant les règles strictes qu'il a lui-même mises en place, Mark revient à l'essentiel et trouve des moyens ingénieux pour se débarrasser de ses factures et s'épanouir dans la gratuité.

« Vivre sans argent cela vaut la peine. J'y ai trouvé plus de bonheurs que d'inconvénients. La libération intérieure et la reconnexion avec la nature n'ont pas de prix. » Mark Boyle.



Rien ne reste, rien ne dure
C'est l'oubli et dame nature refleurit.

La bourse ou la vie ?
Je préfère la vie !

Charles Trenet


vendredi, mai 12, 2017

La fin du progressisme


Bérénice Levet appartient à cette nouvelle génération d’intellectuels qui vient bousculer les vieilles badernes du politiquement correct qui hantent encore les plateaux de télévision et les amphis des universités.





Docteur en philosophie et enseignante, spécialiste d’Hannah Arendt, Bérénice Levet vient de publier un ouvrage de combat intitulé « Le Crépuscule des idoles progressistes ».

Elle y analyse les fondements de l’idéologie progressiste, son échec annoncé et ses possibles remèdes. 


L’écrivain indique qu’il est urgent de renouer avec notre héritage, quitte à se rendre suspect dans une époque où celui-ci est vu comme un privilège oppresseur. Il est tout aussi vital d’assumer le droit des peuples à la continuité historique en transmettant une identité civilisationnelle à nos enfants.

Pour ne pas les jeter dans un monde sans repère ni profondeur, il convient de les escorter dans un univers riche de signes, de symboles, de degrés et en faire des hommes libres.

Pour cela, la philosophe considère qu’il est impératif de refondre l’école dont la vocation de transmission structurante et d’édification a été dévoyée pour en faire un outil de déconstruction et de désaffiliation.

Un ouvrage à lire de toute urgence et un entretien accordé à TV Libertés 
à regarder pour détenir les clés d’une lutte efficace contre l’idéologie moderniste incarnée, notamment, par Emmanuel Macron.

Source : TV Libertés



Fin du progressisme et véritable redressement 


« Quelle que doive être l’évolution des choses en son imprévisible complexité, Guénon préconisait impérativement la constitution d’une « élite », seule capable d’opérer un redressement véritable.

L’élite se constituera d’individualités issues de différents milieux dont elles se seront affranchies pour constituer une race mentale différenciée, indépendante des conditions sociologiques et idéologiques de l’heure. Ceux qui n’auront pas les qualifications requises s’excluront d’eux-mêmes, mus par leur « parti pris d’incompréhension » et leur peur d’affronter la « grande solitude ». Les plus éminents universitaires, savants, philosophes, ont peu de chance, en raison de leurs habitudes mentales et de leur « myopie intellectuelle », d’appartenir à cette élite. Ses éléments, éparpillés, apparemment non agissants, sont néanmoins plus nombreux qu’on ne serait tenté de le croire. Le nombre ne fait de toute manière rien à l’affaire pour que l’influence transformante puisse s’exercer de façon effective ; et il doit s’entourer de discrétion. L’élite aura pour principale fonction de préserver et de transmettre le dépôt de la connaissance métaphysique, et de préparer les conditions de la naissance du nouveau cycle : on ne doit pas attendre que la « descente » soit achevée pour préparer la « remontée ».

Mais si l’effort ne débouchait sur rien au plan du macrocosme, il ne serait point perdu au niveau individuel : ceux qui auront pris part au travail – formation doctrinale et pratique spirituelle – en retireront forcément des bienfaits personnels.

Quoique insuffisante au niveau livresque, la formation doctrinale sera le premier degré de la transmutation. Elle consistera à étudier le contenu des « enseignements traditionnels » et des « sciences sacrées » d’Orient et d’Occident, à se donner la mentalité initiatique qu’a détruit l’éducation profane. Il est évident que depuis l’époque où Guénon délivrait son message, d’immenses facilités ont été offertes à ceux qui veulent s’informer de la Philosophia perennis, même si celle-ci continue d’être étouffée par les instances officielles - autant de « compensations » inhérentes à l’époque, relevant pour la plupart d’une saine vulgarisation et contribuant à contrebalancer les pires amalgames de la « contre-initiation ». Ceux qui, sans tomber dans la dispersion mentale, sont parvenus à se donner une doctrine cohérente, ne sauraient plus être atteints par les influences dissolvantes et insidieuses du nihilisme contemporain. « Ceux qui savent qu’il doit en être ainsi ne peuvent, même au milieu de la pire confusion, perdre leur immuable sérénité ». Ces assises doctrinales permettent au contraire de prendre une plus juste mesure de l’époque et de soi-même, à travers les désagréments qu’elle suscite ; et, par là, de s’en mieux préserver. Elles enseignent à éviter l’inutile dialectique, source de confusion sans fin, à rompre avec les systèmes philosophiques qui ne font qu’engendrer la « maladie de l’angoisse » en multipliant les questions sans fournir de réponses. Elles débarrassent à jamais des préjugés et illusions qui, depuis le XVIe siècle au moins, pourvoient l’intelligence occidentale : la « déification » de la raison, la « superstition » de la vie, la primauté de l’action sur la contemplation, le progrès continu de l’humanité... Certes, de tels hommes auront à souffrir plus que les autres par excès de lucidité au sein de l’aveuglement panique ; et même, une hostilité inconsciente du milieu pourra se déclencher à leur endroit. Mais il y a dans toute souffrance un ferment de maturation, et toute connaissance exige rançon. » (Jean Biès)


Un croque-mitaine utile, le FN



Après le débat truqué de la présidentielle 2017 (face à Emmanuel Macron, Marine Le Pen s'envoie au tapis) et le départ de Marion Maréchal Le Pen, l'escroquerie frontiste et le rôle de croque-mitaine assigné au Front National par le système prendront-ils fin ?

L'UPR ne se trompe pas en dénonçant le Front National :

"Le Front National est un élément à part entière du dispositif d'asservissement du peuple français. Le FN n'est pas du tout un mouvement hors système, comme tout le monde – et lui le premier – s'empresse de le qualifier, c'est tout le contraire ! Le FN est un pion parfaitement consentant que l'on pousse médiatiquement aux moments opportuns pour salir et discréditer jusqu'à l'idée même de souveraineté et d'indépendance, avec la fameuse technique des « dérapages »".


L'histoire de Dieu



Dans la deuxième saison de "The Story of God", des documentaires du National Geographic, Morgan Freeman rend visite à une famille d'immigrants tibétains dans le Minnesota. Le seul enfant de cette famille se nomme Jalue Dorjee. A neuf ans, le garçon est lama-tulkou, c'est-à-dire qu'il est reconnu et vénéré comme la réincarnation d'un célèbre maître tibétain.


L'acteur Morgan Freeman, est l'un des monstres sacrés du cinéma américain. Il a incarné, entre autres, Nelson Mandela dans « Invictus » de Clint Eastwood ou encore Ellis Boyd « Red » Redding dans « Les Évadés », film culte de Frank Darabont. Dans la série de documentaires du National Geographic nommée « The Story of God » (L’histoire de Dieu), la « star tient les rôles de narrateur et de compagnon de route. Avec lui, les spectateurs partent en quête de réponses aux grands mystères de la foi, de la Genèse à la fin des temps en passant par les miracles ou encore l'origine du mal. » (Le Monde des Religions) 


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En Birmanie, le mouvement anti-musulman Ma Ba Tha, dirigé par des moines bouddhistes, a critiqué la nomination de Kofi Annan en tant que chef d'un groupe consultatif sur les conflits dans l'État de Rakhine. Les moines ont confondu l'ancien secrétaire général des Nations unies Kofi (Coffee) Annan avec l'acteur hollywoodien Morgan Freeman.

Ma Ba Tha est une association patriotique et bouddhiste pour la protection de la race et de la religion fondée au Myanmar le 15 janvier 2014.


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La vérité sur le calendrier maya et la fin du monde
"The Story of God"




mercredi, mai 10, 2017

La tactique des agents de la gouvernance mondiale


"On croit qu’il n’y a pas de gouvernance mondiale, c’est faux ! 
Il y a une forme de gouvernance mondiale 
sauf qu’elle n’est pas codifiée. 
Elle est empirique ! 
Elle est implicite ! 
Mais elle est décisive !"
Au-dessus de tout soupçon de conspirationnisme,
le très expert Alain Minc, le 26 septembre 2009




La tactique des agents de la gouvernance mondiale


L’ingénierie sociale

Extraits du livre d'Alexandre Lebreton,
"MK Abus rituels et contrôle mental"

Ils misent « au maximum sur l’ingénierie sociale (le contrôle mental des masses) pour corrompre et détourner par tous les moyens les consciences (et le subconscient) afin de tenter de maintenir la société dans une certaine matrice, un ‘‘cocon confortable’’ (bien qu’évidemment de plus en plus instable) qui permet d’infuser tout et n’importe quoi en douceur, sans que les gens ne réagissent. Mais nous constatons également un resserrement des droits et des libertés sous couvert d’une lutte contre le terrorisme ; un moyen idéal pour réprimer toutes les opinions allant à l’encontre de la doxa ambiante entretenue à longueur de temps par les médias mainstream sous contrôle. Des médias qui ensemencent cette ‘‘opinion publique’’ admise d’office et créant ainsi le phénomène de peer pressure (pression sociale), phénomène […] que l’on peut résumer ainsi : ‘‘Les moutons gardent les moutons, celui qui s’égare du troupeau par un esprit trop critique envers ce que l’on nomme la pensée unique, devient un mouton noir aux yeux des autres moutons.’’ Ainsi, cette pression sociale constante fait redouter l’exclusion du groupe.


Le constat est que la masse est plombée par le travail, la dette et la routine quotidienne à laquelle elle est attelée, se laissant aller le soir devant une télévision, l’utilisant principalement – et inconsciemment – comme un outil de relaxation. Panem et circenses (du pain et du cirque/jeux), cette expression de la Rome antique est plus que jamais applicable à notre société de consommation. Une situation dans laquelle il est difficile de faire bouger les choses tant les gens sont asservis et manquent visiblement de volonté pour s’émanciper de la soupe ‘‘journalistique’’ et du divertissement infantilisant et débilitant qu’on leur sert à longueur de temps aux heures de prime time. La jeunesse étant évidemment ciblée avant tout. [...]

En matière d’ingénierie sociale, le cinéma est également un outil incontournable au même titre que la télévision et la musique diffusée en boucle sur les ondes radios et les chaînes TV spécialisées. Le cinéma, la télévision et la musique ont un effet ‘‘d’aliénation’’ en nous dépersonnalisant. Notre image extérieure comme intérieure tend à être le reflet ou la copie des modèles fabriqués par les stars, les acteurs, les idoles et autres sex symbols… Ces scénarios de ‘‘vie’’ qui nous sont exposés à longueur de temps, du cinéma hollywoodien jusqu’à ‘‘la télé-réalité’’ quotidienne, en passant par les séries télévisées addictives et les clips de musique, influencent d’une manière considérable notre look, notre style, nos pensées, nos attitudes, nos comportements, jusqu’à nos émotions et nos sentiments. La toute puissance de l’image vise à nous maintenir dans un état infantilisant et donc plus dociles et manipulables.

Il y aurait également beaucoup à dire sur certains jeux vidéo ultra violents ou baignant dans un profond occultisme. Certaines productions sont de véritables monde alternatifs qui contrairement à un film qui dure une heure ou deux, ici, les scénarios peuvent s’étaler sur des dizaines et des dizaines d’heures durant lesquelles le joueur est acteur de sa propre programmation, l’effet sur le subconscient est donc décuplé.

Il est beaucoup plus facile de diriger une société par le contrôle mental que par la contrainte physique et les méthodes de programmation des masses ne manquent pas. La base du contrôle de la population est d’une part de la maintenir dans l’ignorance des principes fondamentaux du système dans lequel elle baigne et d’autre part de la maintenir dans la confusion, dans la désorganisation et dans la distraction permanente.

Le professeur Noam Chomsky, linguiste et philosophe américain, a décrit quelques stratégies de manipulation des masses.


La stratégie de la diversion 


Elle consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. Cette stratégie empêche la masse de s’intéresser aux connaissances dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, etc., des informations essentielles. Le détournement des activités mentales passe également par des programmes scolaires et des méthodes d’apprentissage de basse qualité qui sabotent l’esprit critique et la créativité. L’école maintient donc les jeunes dans une certaine ignorance concernant les vraies mathématiques, les vraies lois, la vraie histoire, etc. De leur côté, les médias écartent soigneusement le public des véritables problèmes sociaux.



La stratégie du pyromane ou ‘‘problème-réaction-solution’’ 


Elle consiste à créer des problèmes pour offrir des solutions. On crée d’abord une situation prévue pour susciter une certaine réaction du public afin que celui-ci devienne lui-même demandeur des mesures que l’on souhaite lui faire accepter. Par exemple laisser se développer la violence, organiser des attentats sanglants, des agressions, pour obtenir que le public soit lui-même demandeur de lois liberticides et sécuritaires. Dans le même ordre d’idée, organiser une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.


La stratégie du dégradé et du différé 


Elle consiste à faire accepter une mesure, une loi ou des conditions socio-économiques inacceptables. Pour cela il suffit de l’appliquer progressivement, en ‘‘dégradé’’, sur une dizaine d’années. La stratégie du différé consiste à faire accepter une décision impopulaire ‘‘douloureuse mais nécessaire’’, en obtenant l’accord du public pour une application dans le futur. La masse a toujours tendance à espérer naïvement que ‘‘tout ira mieux demain’’ et que le sacrifice demandé pourra être évité. Cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.


La stratégie de l’infantilisation 


Elle consiste à s’adresser au public comme à des enfants en bas âge. La plupart des publicités destinées au grand public, particulièrement radiophoniques, utilisent un discours, des arguments, des personnages et un ton particulièrement infantilisant, voir même débilitant, comme si le téléspectateur était un enfant en bas-âge ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le public, plus on utilisera un ton infantilisant. La propagande de la ‘‘sous-culture’’ ou de ‘‘l’ignorance crasse’’ qui encourage le public à se complaire dans la médiocrité, à trouver ‘‘cool’’ le fait d’être vulgaire, bête et inculte est particulièrement présent dans les programmes de télé-réalité, programmes qui visent une jeunesse très influençable. Ces productions télévisuelles agissent comme une programmation sur des individus préalablement déracinés et sans véritables repères spirituels pouvant leur permettre de remettre en cause ce qu’ils regardent et intègrent chaque jour.

Le contrôle de la majeure partie des médias est évidemment requis pour que tout cela fonctionne. »



Alexandre Lebreton, « MK Abus rituels et contrôle mental ».

 

La guerre contre l’Islam est-elle une phase de la guerre ultime : la Guerre contre le Christ ?

La doctrine de la « démocratie libérale et des droits de l’homme » est une crypto-religion, une forme extrême, hérétique de judaïsme christ...