mercredi, décembre 21, 2016

Cadeaux de Noël



L'Occident moderne n'est plus chrétien

« Voici de nouveau la merveilleuse annonce : “CHRISTUS NATUS EST NOBIS !”

Nous ne sommes donc plus abandonnés, nous ne sommes plus seuls, perdus dans un monde possédé du démon. POUR NOUS LE CHRIST EST NÉ, VENEZ ET ADORONS ! Bien sûr, mais pas le “PÈRE NOËL” à base de “panettone et de cadeaux”, mais le Noël de Jésus Christ, vrai “Dieu” et vrai “Homme”, dont les deux natures, divine et humaine, sont unies en une seule Personne, dans la “Deuxième” de la Très Sainte Trinité. Cette union des deux natures en une seule Personne s’appelle “Union Hypostatique”. » 
L'auteur de ces lignes, l'Abbé Luigi Villa (1918-2012), était un infatigable pourfendeur de la franc-maçonnerie. Il dénonçait le plan des loges pour détruire le christianisme. Mais son combat fut vain, l'Occident moderne n'est plus chrétien.

« L'esprit moderne est antichrétien, précise René Guénon, parce qu'il est essentiellement antireligieux ; et il est antireligieux parce que, plus généralement encore, il est antitraditionnel... »



Le bouddhisme est une révolte contre l'esprit traditionnel

René Guénon accuse le bouddhisme de révolte contre l'esprit traditionnel. Et, il constate, « les Hindous, au point de vue de leur propre tradition, ont toujours condamné les bouddhistes... » (« La crise du monde moderne ».)

Dans son livre « Le règne de la quantité », René Guénon précise : « la constitution de la « contre-tradition » et son triomphe apparent et momentané seront proprement le règne de ce que nous avons appelé la « spiritualité à rebours », qui, naturellement, n’est qu’une parodie de la spiritualité... »



Enseignements immoraux et criminels


Le néo-bouddhisme participe à cette parodie de la spiritualité. Il s'est répandu en Occident grâce aux forces politiques qui ont médiatisé et rendu célèbre le dalaï-lama.

Le petit despote du Tibet est un grand menteur. Le bouddhisme qu'il promeut n'est pas fait de compassion. Bien au contraire, les doctrines secrètes enseignées par les lamas tibétains véhiculent une sorte de satanisme oriental.

Les bouddhistes parvenus aux initiations supérieures adoptent une doctrine totalement immorale. Par exemple, la pédophilie est une pratique préconisée par les rites secrets des initiés lamaïstes.



La pédophilie des initiés de Kalachakra

Un lama tibétain, spécialiste des rites de Kalachakra, écrit :

« Le rite commence avec des fillettes de 10 ans. Jusqu'à leur vingtième année, les partenaires sexuelles représentent des vertus positives. Au-delà, elles comptent comme porteuses d'énergie de colère, de haine, etc. et comme femmes-démons. Dans les étapes initiatiques de 8 à 11 du tantra de Kalachakra, l'expérimentation se fait avec une « seule » femme. Pour les étapes de 12 à 15 appelées le Ganashakra, 10 femmes participent au rite aux côtés du maître. L'élève a le devoir d'offrir les femmes comme « présents » à son lama. Les laïcs se faisant initier doivent amener leurs parentes féminines (mères, sœurs, épouse, filles, tantes, etc.). En revanche, les moines ayant reçu la consécration ainsi que les novices peuvent utiliser des femmes de diverses castes qui ne sont pas leurs parentes. Dans le rite secret lui-même, les participants font des expériences avec les semences masculines et féminines (sperme et menstruation) ; les femmes ne sont pour l'initié masculin que des donneuses d'énergie et leur rôle cesse à la fin du rite ».

(Gen Lamrimpa, « Transcending Time, an explanation of the Kalachakra Six-Session », cité par Elisabeth Martens.)



La sorcellerie et le cannibalisme des initiés de Kalachakra


Le kalachakra Tantra, " La Roue du Temps ", est le texte le plus sacré du bouddhisme tibétain. Selon la légende, sa rédaction est attribuée au premier roi du royaume mythique de Shambhala. Ce texte fondamental a été traduit en français, le chapitre six comprend un traité d'alchimie et de démonologie. Par exemple, une recette de sorcellerie peu ragoûtante :

"La consommation de matière fécales et d’urine, de sperme et de sang menstruel, mélangés à la chair humaine, prolonge la vie. Ce sont les cinq ingrédients qui entrent dans la composition des pilules de nectar".

D'après les lamas, c’est le Bouddha lui-même qui aurait expliqué comment préparer et utiliser ces ingrédients pour rajeunir, supprimer toutes les maladies, mettre fin aux difformités corporelles…



D'autres rites secrets des initiés bouddhistes


La sorcellerie est présente dans d'autres textes religieux tibétains, les tantras dits supérieurs. Le Hevajra Tantra, particulièrement vénéré par les Sakyapa, indique les mantras utilisés pour les principales catégories de rites magiques.

Ces rites ignorent totalement la moralité et la compassion bouddhiques. Il sont utilisés pour ensorceler ; arrêter les actions d'autrui, de les pétrifier ; séparer deux amis, des parents, des amoureux, etc., et de créer de l'animosité entre les gens ; faire tomber en disgrâce, détruire les habitations de personnes détestées ; tuer ou blesser à distance...

Cadeaux salutaires

Sans aucun doute, les initiés des doctrines secrètes du bouddhisme tibétain pratiquent un occultisme profondément immoral et criminel. Il est aussi certain que les artisans du monde contre-traditionnel utilisent la fausse philosophie bouddhique, mais vrai spiritualisme frelaté, pour corrompre et détruire l'Occident.

Le Noël 2016 est comme les autres « à base de panettone et de cadeaux ». Pour protéger nos proches de l'occultisme bouddhique, nous devrions penser à des cadeaux instructifs et salutaires.

7 suggestions :

Elisabeth Martens

Cet essai propose une déconstruction des stéréotypes que nous nous faisons du bouddhisme tibétain, à savoir "une philosophie de vie et pas une religion ou une religion athée, sans dogme et non confessionnelle, prêchant le pacifisme, la tolérance et la compassion, non politisée et sans ambitions économiques".

L'instrumentalisation à des fins politiques de cette philosophie religieuse est un des points central du livre. Des thèmes comme "Grand Tibet", "Tibet historique" ou "Tibet culturel" y sont décortiqués avec beaucoup d'attention. Pour autant, l'étude porte principalement sur les XXe et XXIe siècles. Il y est aussi question de l'attitude versatile du dalaï-lama et de l'avenir incertain du Tibet. L'ouvrage s'ouvre par un chapitre sociologique destiné à faire découvrir un Tibet réellement peu connu du public occidental et souvent ignoré par les médias. 





Histoire du Bouddhisme tibétain 
La Compassion des Puissants


Elisabeth Martens


Cet ouvrage rend au Bouddhisme tibétain son statut de religion qui, comme toute autre religion, a connu une évolution en accord avec son environnement social. Loin de la compassion et de la tolérance qui sont, actuellement, les images de marque du Bouddhisme tibétain, l'enseignement du Bouddha a servi à implanter son autorité morale et spirituelle sur les populations tibétaines et à s'entourer de biens matériels. Le bouddhisme tibétain d'aujourd'hui, aseptisé et modelé à nos demandes, a-t-il encore quelque chose à gagner en séduisant un Occident que l'on prétend en "vide spirituel". 





Marion Dapsance

Une enquête de plusieurs années au cœur des milieux bouddhiques occidentaux qui vient faire vaciller tous nos présupposés. Au fil des rencontres, des expériences racontées, des témoignages recueillis, il devient évident que le bouddhisme n'est rien d'autre qu'une religion. Qui plus est, sa version occidentale connaît de très nombreuses dérives : organisation sectaire, dérives sexuelles, pyramides financières, humiliations hiérarchiques... état des lieux. 






Cécile Campergue 

Quelles sont les modalités de diffusion du bouddhisme tibétain dans le contexte social et culturel de la France, pays d'Europe disposant du plus grand nombre de centres bouddhistes tibétains. Le bouddhisme y jouit d'un statut particulier et bénéficie relativement tôt de reconnaissances institutionnelles. Les enjeux de sa diffusion et sa réception sont loin d'être simplement religieux ou spirituels.

 




Maxime Vivas 

Prix Nobel de la paix, le dalaï-lama, abrité sous sa toge safran, incarne le martyre d'un Tibet soumis au joug chinois. Symbole de sagesse, il rassemble les foules partout dans le monde. Sacralisé, adulé: qui remettrait en cause ce dieu vivant qui prétend porter avec lui l'espoir de liberté de tout un peuple ?

Maxime Vivas ose s'attaquer au mythe: et si le dalaï-lama était un théocrate qui remplit d'or les coffres de ses palais tandis que les Tibétains n'étaient que des serfs auxquels on refuse toute éducation ? Et si, en bon opportuniste, il tenait un discours changeant à l'égard des Chinois, tantôt amis, tantôt ennemis ? Et s'il faisait le jeu des Américains et de la CIA davantage que celui des Tibétains qu'il prétend défendre ?

S'appuyant sur les propos mêmes du dalaï-lama, sur les témoignages de prosélytes ainsi que sur son propre voyage au Tibet, l'auteur dresse un portrait au vitriol de « Sa Sainteté » et nous démontre que tout n'est pas si zen au royaume de Bouddha.





Gilles van Grasdorff 

La personnalité charismatique du dalaï-lama, ses actions en faveur de la paix qui lui ont valu le prix Nobel en 1989, son influence morale dans le monde en font un personnage de tout premier plan. Mais paradoxalement, le chef politique du Tibet est entouré de nombreux mystères.

Qui est-il exactement ? Quelle part a pris sa famille dans son accession au pouvoir ? Sa mère est toujours un symbole respecté des Tibétains. Mais son père ? Est-il décédé de mort naturelle ou a-t-il été assassiné ? Quel rôle ont joué les services secrets chinois et la CIA au pays des neiges ? Quels furent leurs agissements, leurs mensonges, leurs ambiguïtés ? Le gouvernement en exil à Dharamsala n'a jamais été reconnu par les autres nations. Pourquoi ? Et que deviendra le Tibet après la disparition de son leader ?

Ce livre, nourri d'informations inédites et d'entretiens avec plusieurs personnalités, notamment le dalaï-lama lui-même, invite à s'interroger sur l'avenir d'une nation et d'une civilisation menacées de disparition. (1ère parution : Plon, 1984) 





Opération Shambhala 
Des SS au pays des dalaï-lamas 



Gilles van Grasdorff 

Le Tibet a toujours fasciné l'Allemagne nazie. Convaincus qu'Adolf Hitler se cacherait dans le royaume mythique de Shambhala, certains néonazis ont même pensé qu'il y conduirait la planète vers le IVe Reich.

1938. SS, ils appartiennent à l'Ahnenerbe, l'institut chargé de trouver ou d'inventer les fondements de l'idéologie nazie.

Ils sont alpinistes, comme Heinrich Harrer, vainqueur de l'Eiger, aventuriers ou scientifiques comme Bruno Beger, chargé de démontrer l'existence des vestiges aryens parmi les populations tibétaines.

Pour Himmler, patron de la SS et de l'Ahnenerbe, ils sont les nouveaux héros de l'aryanisme germain.

Gilles Van Grasdorff révèle le rôle des occultistes nazis de la Société de Thulé ; il raconte les expérimentations sur les Tibétains et Tibétaines, poursuivies à Dachau et à Auschwitz. Il dévoile les liens du SS Heinrich Harrer et de l'actuel dalaï-lama et s'interroge : quelle fut l'influence de Harrer sur le système et les méthodes d'éducation et sur les adoptions des enfants tibétains de l'exil ?





A savoir avant de visiter un centre bouddhiste.


Des tangkas tibétains (peintures religieuses et supports de méditation) sont réalisés sur des peaux humaines. Ce sont des peaux de suppliciés. Quand les lamas capturent un « chef ennemi, ils l'écorchent vif », écrit l'Abbé Desgodins, dont la correspondance et les publications sont beaucoup plus fiables que tous les boniments du dalaï-lama.

En Thaïlande, des moines bouddhistes se livrent à la magie noire. Ils utilisent des fœtus humains et des bébés morts dans leurs rites consacrés aux Kuman Thong.


Vidéo : rite magique de récupération de la graisse d'un bébé par un moine bouddhiste : https://www.youtube.com/watch?v=dh-h7lx_j7E

En Orient, la magie est très répandue, on la trouve dans presque toutes les sectes bouddhistes.




Révélations d'un lama dissident

Le lama tibétain Kelsang Gyatso (1931-2022) était un enseignant important parmi les guélougpa restés fidèles à des pratiques proscrites ...