mardi, décembre 11, 2012

Qui veut encore tuer le Christ ?



Cette photo ne provient pas d'une réelle snuff movie


Gilbert Abas est un ancien officier de police des Renseignements généraux. Durant ses missions de recherche au sein de groupuscules sataniques et des sociétés secrètes, il entrevoit une vérité qui semble tellement extraordinaire et effrayante qu'elle est quasiment indicible. Mais Gilbert Abas ne se tait pas, il décide de tout révéler sous une forme romanesque. Il écrit un livre de 739 pages intitulé Qui veut encore tuer le Christ ?

La trame du roman est loin d'être imaginaire. Gilbert Abas s'inspire de faits réels, des coulisses de l'histoire, la géographie sacrée, l'arrière-scène du Vatican, le but ultime des sociétés secrètes, des pratiques sataniques monstrueuses comme les snuffs movies...

Dans Qui veut encore tuer le Christ ?, un protagoniste explique :

- « Les snuffs movies sont des films qui mettent en scène des rituels sataniques qui se terminent par un meurtre réel. Il est accompagné très souvent d'actes sexuels violents, de scarifications douloureuses, de scènes sadomasochistes vraies et de pédophilie. Les interprètes sont souvent des auto-stoppeurs enlevés, des enfants kidnappés, des personnes qui croient être engagés pour tourner un film porno bien rémunéré. Ils sont souvent drogués à leur insu et se retrouvent dans des situations extrêmes où ils subissent des tortures réelles avant de finir par leur assassinat en direct. Leur mort doit être filmée ainsi que l'acte qui la provoque. Le visage du mourant agonisant, doit bien apparaître à l'écran, au moment de la mort. Les snuffs movies sont STRICTEMENT interdits chez nous ! Le FBI et Interpol sont continuellement connectés sur Internet et mènent des enquêtes minutieuses pour identifier les cons qui prennent plaisir à réaliser ces films. »

Dans une autre partie du roman, les ambiguïtés de l’Église sont résumées ainsi :

- « Le prêtre franciscain, Monseigneur Krunoslav Draganovitch avait organisé en 1941, pour le Vatican, une filière d'exfiltration de criminels de guerre et de nazis, vers l'Amérique du sud. L'Eglise délivrait des documents tamponnés, avec le visa du Vatican, en faveur des nazis qui voulaient quitter l'Europe. William Dorich a poursuivi devant les tribunaux l'IOR, la banque du Vatican et l'Ordre des Franciscains. Sa plainte concerne le financement des ratlines, ces réseaux qui avaient permis d'exfiltrer d'Europe, les nazis de la seconde guerre mondiale. La plainte a été déposée dans l'Etat de Californie. Il accusait ainsi l'IOR et les Franciscains, d'avoir aidé les membres du régime croate pro-nazi à dissimuler puis à blanchir des millions de dollars, provenant des pillages systématiques de la population serbe.

Le 6 août 1945, le père Georges Zabelka, aumônier de la base de Tinian, avait béni l'équipage américain du bombardier Enola Gay qui avait pour mission de larguer une bombe atomique sur Hiroshima et occasionner plus de quatre-vingt mille morts. La bombe, Little Boy qui a explosé à cinq cent quatre-vingt mètres, à la verticale de l'hôpital Shima, a libéré une énergie de quinze mille tonnes de TNT.

En 1968, le pape Paul VI a reçu, en audience privée, un illustre parrain de la mafia de Chicago, Sam Giancana qui aurait été, selon certains, l'instigateur des meurtres de John et de Bobby Kennedy. Le mafioso utilisait des prêtres pour procéder à des transferts de fonds internationaux illégaux.

En 1974, le cardinal et Académicien Jean Daniélou avait succombé d'épectase dans la chambre d'une prostituée noire, située rue Ponceau, dans le quartier chaud de Saint-Denis à Paris.

En 1976, la liste des dignitaires de la loge P2, dirigée par Licio Gelli, est publiée officiellement. C'était une loge secrète dissimulée à l'intérieur de la Maçonnerie italienne. Cette liste de neuf cent vingt-six noms, particulièrement compromettante et où l'on trouve par ailleurs le nom de Berlusconi, permettait d'identifier des ministres, des dirigeants de partis politique, des responsables des services secrets, des journalistes, des officiers de l'armée et des forces de police et des ecclésiastiques notoirement connus. A partir de cette époque, vont se succéder une série d'assassinats et de scandales autour desquels planera l'ombre de l'IOR et de son responsable, le Cardinal Paul Marcinkus. [...]

L'arrivée de l'Evêque Paul Marcinkus à la tête de l'IOR, ses relations avec la mafia, la loge maçonnique Propaganda Due (P2), la CIA et le Gladio, le crash de la banque Ambrosinio gérée par son ami Roberto Calvi, les répercussions sur la banque IOR, les tractations pour faire taire ceux qui en savaient trop et la vague d'assassinats et d'attentats qui ont sévi sur la péninsule. Pour la petite histoire, une trentaine de magistrats ont été tués de 1971 à 1983 !

(L'arrivée de Paul Marcinkus au Vatican) Cet Américain a débarqué au Vatican en 1958. Il a été repéré par le pape Paul VI qui cherchait un anglophone pour assurer sa protection et ses voyages. Le 21 août 1967, il entrait dans la maçonnerie, la « Grande Loge Vaticane ». sous le matricule 43/649 et le surnom de « Marpa ». Il appartenait évidemment à cette fameuse liste des ecclésiastiques enrôlés dans cette Loge maçonnique, proche de la Loge P2. Ayant acquis la confiance du vicaire de dieu, l'évêque a été nommé Directeur de la Banque « Institut pour les Œuvres de Religion » (IOR). A la mort du pape Paul VI, Monseigneur Paul Casimir Marcinkus avait fait l'objet d'une enquête de la part du nouveau Pape, Albino Luciani dit Jean-Paul 1er, Le pontife avait appris qu'une centaine de ses proches du Vatican apparaissaient sur une liste qui circulait dans le milieu maçonnique contrôlé par la terrifiante loge P2, animée par Licio Gelli. La P2 agissait comme les Illuminati. Elle ne visait pas un coup d'état, mais elle infiltrait ses hommes dans les parties vitales de l'Etat. Ceux-ci avaient pour mission de mettre en place le « Plan de Renaissance Démocratique » dans l'hypothèse d'une insurrection ou d'une victoire électorale communiste. Pour cela, la P2 était en relation étroite avec le réseau paramilitaire Gladio, la branche ultra secrète italienne stay-behind de l'OTAN, contrôlée et financée par la CIA. Le pape ne pouvait pas supporter que cette secte maçonnique ait pu pénétrer les murs protégés du Vatican et qu'elle ait absorbé la plupart de ses hommes qui gravitaient au sommet de la Curie pontificale. Cette situation était devenue anathème ! Le pontife avait également décidé de faire mener une enquête sur la banque du Vatican et notamment sur les méthodes qu'employait le Cardinal Marcinkus pour gérer cet établissement. L' IOR offrait à ses clients un avantage inestimable, le secret total. Elle était devenue un véritable paradis fiscal. Le pape avait été alerté au mois d'avril 1978 par un rapport de la Banque d'Italie qui prédisait une faillite imminente de la Banco Ambrosiano, managée par le directeur Roberto Calvi. Il savait également que Monseigneur Marcinkus alias le « Gorilla », était aussi Directeur de la « Ambrosiano Overseas », basée dans le paradis fiscal de Nassau aux Bahamas et qu'il entretenait par ailleurs des contacts très étroits avec la loge P2, les services secrets de la CIA et de la Gladio, ainsi qu'avec la mafia, tous ayant une aversion profonde pour le communisme qui menaçait Italie. Le lien, entre ces milieux, était assuré par le pasteur Frank Gigliotti, Franc-maçon et contact de la CIA, il avait fondé la Loge P2, qu'il avait confié à Licio Gelli en 1971. Afin de désamorcer cette bombe, qui allait certainement exploser bientôt, le pape Albino Luciani, dit Jean-Paul 1er, avait décidé de muter tous les cardinaux qui s'étaient fourvoyés dans la Grande Loge Maçonnique avec la P2 ainsi qu'avec la mafia. Il avait décidé de leur confier des postes sans importance et inoffensifs. Il leur évitait, malgré tout, l'excommunication qui était monnaie courante pour tous les chrétiens qui adhéraient à la Franc-maçonnerie. Jean-Paul 1er avait donc préparé une liste dans laquelle se trouvaient le Banquier de Dieu, Paul Casimir Marcinkus alias « Marpa », matricule 43/649. Figuraient également de nombreuses personnalités vivant au Vatican, en Italie et même aux Etats-Unis.

Au mois de septembre, Michele Sindona, Roberto Calvi, Jean Villot, Licio Gelli et Paul Casimir Marcinkus étaient persuadés que le pape avait repéré les irrégularités bancaires de Sindona et Calvi et que celles-ci étaient cautionnées par le principal actionnaire Marcinkus. Ils savaient qu'il allait agir et annoncer son remaniement avant le mois d'octobre 1978. Ils avaient donc tout intérêt à ce que le pape meure vite. Le 29 septembre à 4 heures 30, la sœur Vicenza l'avait découvert mort, trente-trois jours après son élection, assis dans son lit. Il portait ses lunettes et avait des dossiers à la main. Sa chambre était éclairée. Elle avait appelé Monseigneur Villot qui avait constaté le décès. Celui-ci avait sollicité non pas son médecin traitant, Da Ros, mais le docteur Renato Buzzonetti, qui avait diagnostiqué un infarctus du myocarde aigu. Les pompes funèbres avaient pratiqué un embaumement urgent, interdisant une éventuelle autopsie. Les appartements pontificaux avaient été méticuleusement nettoyés. Pour certains, le pape aurait été empoisonné après avoir ingurgité une overdose de Digitaline, sensée soigner sa tension trop faible. Selon l'ambassadeur et auteur de la « Soutane Rouge », Roger Peyrefitte, un certain Brucciato, membre de la mafia aurait procédé à l'injection mortelle d'un vasodilatateur, médicament contre-indiqué pour un sujet ayant une tension aussi basse. »

Plus loin, il est expliqué que les Templiers, les Francs-maçons, les Illuminati et l'Eglise romaine désirent une religion unique et mondiale. Qui sera le grand pontife, le prêtre-roi, de cette nouvelle religion ? L'Antéchrist ?


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Le plan dirigé contre l’Esprit

La lutte pour la supériorité et les spéculations continuelles dans le monde des affaires créera une société démoralisée, égoïste et sans cœu...