lundi, novembre 22, 2010

666


L'Eglise grecque refuse le chiffre 666 sur les cartes d'identité

L'Eglise orthodoxe grecque exige que le chiffre 666 symbole de l'Antéchrist dans la tradition chrétienne, ne figure pas sur les cartes d'identité informatisées en préparation.

L'Eglise, non séparée de l'Etat, "a le devoir de préserver l'intégrité de la foi, c'est pourquoi la carte du citoyen ne doit inclure en aucun cas, ni de manière visible ni de manière invisible le chiffre 666", a indiqué dans un communiqué le saint synode, son organe collégial de direction.

"Les cadres du gouvernement grec" tenus au courant de la consultation sur ce point menée au sein de l'Eglise "ont exprimé leurs accords avec les remarques" des experts ecclésiastiques, "et indiqué qu'elles seront prises en compte", a ajouté le communiqué.

L'Eglise avait prévenu le gouvernement qu'elle entendait se prononcer sur la question, au nom du respect des libertés personnelles et des prescriptions de la foi orthodoxe, après l'annonce par les autorités de la prochaine émission de documents informatisés, baptisés "cartes du citoyen".

Le projet, qui doit être finalisé début 2011, a aussi été critiqué par des organisations de gauche, qui ont mis en garde contre tout fichage des citoyens.

Souvent accusée d'obscurantisme, la hiérarchie orthodoxe grecque a par le passé combattu farouchement l'entrée du pays dans l'espace Schengen, arguant de l'existence d'un contrôle informatique des entrées et sorties dans cette zone utilisant le chiffre 666.

Ce symbole, le "chiffre de la Bête" apparaît dans le texte biblique de l'Apocalypse, rédigé selon la tradition orthodoxe grecque par l'apôtre Jean en l'an 95 sur l'île de Patmos, dans le sud-est de l'Egée.

L'Eglise grecque avait aussi longtemps bataillé contre la suppression, finalement imposée au début des années 2000 par le précédent gouvernement socialiste, de la mention obligatoire de la religion sur les papiers d'identité grecs.


SIX CENT SOIXANTE SIX

Ce n’est pas pour nous effrayer que de grands clairvoyants et des prophètes ont prédit l’apparition prochaine d’un puissant démon sur notre planète. Une calamité comme il n’y en a jamais eu. D’où les spéculations autour du nombre 666 dont on croit avoir identifié la trace dans les technologies de pointe. S’il ne s’agissait que de cela ! En réalité, apparaît la synthèse du double démon que l’on appelle Diable et Satan - les pôles matériel et subtil des puissances adverses. Cela a commencé depuis le début de ce 21° siècle après l’intense préparation du siècle précédent. Nous devons nous y préparer au lieu de nous voiler la face.
Pourquoi inquiéter l’humanité avec le problème du Mal, se demandent les faux prophètes qui nous anesthésient ? Les bergers des orthodoxies ont continuellement dissimulé la gravité du problème du Mal pour faire croire qu’ils avaient « la situation bien en mains ».
Pourquoi était-il hérétique d’investiguer du côté de la face cachée des choses ? Parce que les autorités planétaires qui nous désinforment sont les représentantes du « Prince de ce monde ». L’histoire officielle est un lavage de cerveau. Donc, en ce qui concerne l’origine et la nature du Mal, circulez, il n’y a rien à voir !

Ce n’est pas pour nous faire peur que des prophètes nous ont alerté sur ces démons tapis à l’arrière plan de l’existence ordinaire, et dont nous sommes les médiums inconscients.
Les sages ont-ils voulu nous nuire en nous apportant une connaissance que nous ne pourrions pas assumer ? Au contraire, ils nous ont prévenu par amour, afin de nous préparer à identifier le Mal, à le démasquer et le vaincre à l’aide de notre force d’âme. « La vérité vous affranchira ».
Pourquoi l’être humain devrait-il connaître la nature d’un Mal cosmique qui le dépasse entièrement ? N’avons-nous pas déjà tellement à faire avec notre existence si compliquée, la lutte pour la vie, les soucis, la maladie...? Pourquoi charger notre conscience d’une connaissance aussi affligeante ?
Nous espérons toujours qu’un « sauveur » va mener le combat à notre place, comme des soldats qui abandonnent la première ligne des opérations alors que les renforts sont en vue.
Peu s’interrogent sur le sens de la parole : « Michaël a combattu le Dragon et l’a jeté sur la terre où il erre en grande fureur ».
Si ce Dragon a été jeté sur la terre, l’affaire n’est donc pas réglée, et la bataille ne fait que commencer. Voilà ce qu’il faut comprendre si l’on veut vivre en conscience et devenir fort.
Nous devons connaître la réalité du Mal jusqu’au fond parce que c’est notre devoir en tant qu’humains incarnés dans la matière.
Nous avons une immense responsabilité aux yeux des êtres spirituels vivant sur d’autres dimensions et qui ne peuvent pas voir à travers les zones denses où nous sommes incarnés.
Ils n’ont pas notre faculté de précision mentale que nous procure la condensation matérielle. Ici bas, on vient apprendre la vérité avec la précision que nous procure l’acuité de la douleur. On n’est pas là pour se prélasser dans le « meilleur des mondes » mais pour apprendre les lois de la vie réelle. Nous sommes là pour transmuter la souffrance en conscience, et la conscience en amour.
Celui qui n’apprend pas de l’expérience va souffrir dans l’avenir.
L’économie universelle implique que des règnes vivent au service d’autre règnes. Ainsi, des êtres de nature spirituelle, dieux et anges, ont besoin d’être informés par les humains incarnés dans la matière qui sert à forger la conscience. Certains Dieux ne peuvent connaître le Mal comme nous l’éprouvons dans la chair, et ils guettent notre éveil pour parer aux assauts des puissances démoniaques. L’homme est le partenaire des dieux. De son sort dépend celui de hiérarchies spirituelles qui attendent son redressement spirituel pour se transférer sur un plan d’existence supérieur. Cela explique l’agitation qui règne ici-bas, et pourquoi le Mal cosmique, à travers le relais des sociétés secrètes terrestres mène une guerre totale aux forces de l’Esprit. La terre est le théâtre d’enjeux cosmiques.
L’être humain est au centre de ce conflit car il participe de deux natures : terrestre et spirituelle. (Le Diable signifie « celui qui est double », et Satan est « celui qui s’oppose ») Ces démons ne sont pas des images mythiques, mais des puissances insatiables, des anti dieux qui se sont nourris de nos faiblesses au fur et à mesure de notre descente dans la densité matérielle.
Les plus terrifiants vivent sur les plans sous-humains, là où les hommes de pouvoir puisent leur énergie en rendant un culte aux démons à travers les organisations terrestres – religieuses, politiques, occultes. Tout pouvoir terrestre dépend de la puissance démoniaque, et c’est pourquoi la recherche de la vérité sur le Mal est un sujet tabou. Notre culture oblitère totalement la question du Mal, et il est conseillé de se contenter des maigres explications de la théologie et de la science. Celui qui se risquerait à exposer la terrible vérité est jugé fou ou hérétique. (cathares)
Par sa double nature, l’homme est donc le mieux placé pour connaître les démons et les affronter, car n’est-ce pas lui qui les nourrit par son existence même ?
« Seuls les hommes sont capables de connaître les secrets des démons. C’est par cette offrande des hommes, aux dieux, de secrets arrachés aux démons, que peuvent être détournés les noirs agissements de ces démons, et ainsi, là où avaient dominé les ténèbres, peut à nouveau rayonner la lumière spirituelle. » (R.S. An die Freunde/octobre 1925)
Bien entendu, voir le Mal n’est pas agréable quand nos tendances naturelles nous portent à l’insouciance. Mais que nous le voulions ou non, il arrive un moment dans l’histoire où nous sommes face à la terrifiante réalité. Souvent, c’est à cause de catastrophes historiques qui emportent nos illusions sur leur passage, alors que nous aurions voulu nier la réalité. Certains s’obstinent à nier la vérité, ce qui les mène à se ranger du côté du Mal. Ils en deviennent les serviteurs, par ignorance ou par goût. Ils régressent et doivent être écartés.
C’est pourquoi, il existe des retardataires qui demeurent à l’arrière de l’évolution et qui sont rétrogradés sur des systèmes planétaires plus lents – la lune par exemple.
Notre époque est trompeuse car nous pourrions nous croire à l’abri, hors des zones du Mal qui a sévi durant le XX° siècle, où l’atrocité fut à son comble avec le nazisme et le bolchevisme.
Des prophéties apocalyptiques nous annoncent que ces atrocités passées ne sont que les prémisses du Mal à venir. La propagande médiatique nous matraque avec les abominations idéologiques du XX° siècle pour nous faire croire que le pire est derrière nous. Et le new age proclame par mille channels inconscients « le mal est vaincu, l’âge d’or est là ! » On connaît cette propagande de diversion…
Les marchands de faux espoirs sont les ennemis du genre humain. Ce sont des traîtres lorsqu’ils nous proposent comme solution aux fléaux de notre époque de nous adapter en saupoudrant l’horreur moderne de bons sentiments. Cela s’appelle collaborer avec l’ennemi. Le Mal leur fait si peur qu’ils n’osent plus l’évoquer, jugeant toute tentative d’investigation derrière l’aspect caché des choses comme étant du masochisme.
Il nous faut être attentif à la propagande qui tend à dissimuler le vrai visage du Mal car son but, pacifiste et généreux en apparence, est de nous désarmer. On nous livre à l’ogre comme des enfants gavés de sucreries. On nous trahit, on nous vend.
A l’opposé de la spiritualité molle avec sa névrose sécuritaire, l’esprit véritablement positif accepte de voir la situation telle qu’elle est. Il anticipe sereinement l’évolution dramatique des choses. Toutefois, le démasquage du Mal ne peut s’effectuer que progressivement. Il ne faut pas perturber les être trop fragiles qui doivent traverser beaucoup d’expériences avant de réaliser ce qui se joue derrière le décor.
Il y eut dans le passé des fraternités spirituelles qui ont confronté le Mal en pleine conscience. C’est grâce à leur effort héroïque que nous ne sommes pas entièrement submergés. Ces êtres ont foré un couloir de lumière à travers les ténèbres du monde. Ils ont transmuté le Mal en Bien. Si les Manichéens avaient refusé d’aller jusqu’au bout de leur lucidité en ce qui concerne la nature des puissances qui se déchirent sur la terre et au ciel, le Mal serait aujourd’hui encore plus arrogant. Ces chevaliers de la vérité furent cruellement persécutés par les autorités civiles et religieuses de leur temps, car celle-ci n’aiment pas qu’on s’intéresse à leurs secrets.
Il en fut de même pour les Templiers qui s’apprêtaient à arracher le monopole de l’or à la puissance bancaire naissante, ce qui aurait changé radicalement le cours de l’histoire.
C’est parce qu’il y a toujours eu des êtres héroïques jusqu’au sacrifice que nous bénéficions d’une marge de liberté de conscience. Sinon, la puissance mauvaise, ne rencontrant aucun résistance de la part des humains, aurait tout emporté : corps, âme et esprit. Déjà, ayant investi l’âme de l’humanité, elle veut désormais s’emparer du sanctuaire le plus intérieur.
C’est « l’abomination de la désolation dans le Saint des Saints » dont parle le prophète Daniel.
A chaque époque, l’assaut du Mal prend un caractère différent, brutal ou séducteur, et il rivalise de violence ou de charme pour attaquer la citadelle de la conscience.
Car le Mal veut s’approprier l’humain par lequel il espère venir à l’existence - en prenant sa place - et sans lequel il n’aurait aucun pouvoir créateur. Car le Mal ne crée rien.
Il doit d’abord vider l’être de son individualité autonome afin de s’emparer de son corps et de sa conscience. Ceux qui enseignent qu’il n’y a pas d’esprit divin en l’homme, sont en proie à la plus pernicieuse des maladies : l’athéisme. L’athéisme est la conséquence d’un Mal supérieur. Par cet égarement, certains démons se déchaînent en toute liberté, puisque leurs victimes, athées et matérialistes, ne croient pas en l’existence des puissances divines ou démoniaques. C’est pourquoi, d’après l’exemple des totalitarismes majeurs du XX° siècle, le communisme athée a pu séduire le monde plus largement que le nazisme paganiste, car ce dernier croyait en des forces invisibles dont les bolcheviques n’avaient aucune conscience, quoiqu’ils en fussent les serviteurs aveugles.
Nous avons été alors confrontés aux deux pôles du Mal – la puissance luciférienne du passé, d’une part, et de l’autre, la puissance matérielle qui se projette vers le futur.
Mais il survient à notre époque un troisième démon, plus perfide encore car il a appris à se servir de la force des deux démons précédents.
Ce démon moderne a rassemblé les forces diaboliques du dessous et du dessus.
A travers les hommes qui ont déjà succombé à l’illusion de l’idéalisme fumeux ou ceux qui vouent un culte à la matière, il s’incarnera prochainement un esprit encore plus mauvais dont le Livre de l’Apocalypse parle comme du « signe de la Bête 666 ». C’est un « nombre d’homme », ce qui signifie qu’il émergera par l’intérieur de la conscience et non par l’extérieur comme le Diable et le Satan mythiques. C’est donc le démon de la bestialité à « visage humain ».
Ce démon 666 exprime l’immoralité absolue en l’homme. C’est l’homme plongé dans la bestialité et fier de l’être. Sur ce type humain qui émerge, Hitler prophétisa : « J’ai vu l’homme nouveau, il est cruel et intrépide ». On peut en voir les signes annonciateurs à travers certaines perversités contemporaines qui demeurent encore inconnues du public.
On parle de crimes odieux commis sur des enfants - la pédophilie par exemple. Le public entend parler de scandales comme l’affaire Dutroux, mais il ne sait rien des réseaux pervers qui touchent les hautes sphères où se pratiquent des rites abominables, étouffés par la loi du silence qui règne parmi l’élite.
Le type 666 est le politicien arrogant qui ment avec effronterie en niant ce qu’il a dit la veille. Toujours avec le sourire, la main sur le cœur, et jurant sur les grands principes de démocratie, paix, justice, liberté…et sur le Christ !
L’humanité est en danger. Le nier revient à se placer du côté des serviteurs du « démon solaire » dont l’ombre avance à travers l’élite au pouvoir sur toute l’étendue du globe.
Bientôt, de nombreux êtres serviront de médium à ce démon qui cherche à pénétrer dans le monde par l’intérieur de l’être humain. L’épreuve de cette confrontation sera sévère mais indispensable car la connaissance du Mal procurera à l’humanité la victoire sur les plans inférieurs et la possibilité d’une élévation.
Pour ce démon, l’enjeu est tout ou rien, car il risque d’être identifié pour ce qu’il est : l’adversaire absolu de l’humanité.
C’est pourquoi, il se déchaînera d’une manière inouïe, afin d’opérer un passage en force, un viol brutal de la conscience humaine, au risque, en cas d’échec, de perdre le fruit de ses efforts séculaires. Cette intrusion a nécessité pour cet esprit 666 une longue préparation, comme il ressort de l’histoire des siècles écoulés.
On peut dire que nous n’avons encore rien vu !
L’humanité va donc être placée devant un choix : accéder à la Conscience ou se soumettre au « prince de ce monde ».
Bien entendu, chacun croit avoir fait le bon choix, mais ce n’est pas aussi évident si on considère lucidement ce à quoi nous nous relions chaque jour - ce que l’on nous oblige à faire et à penser, comment on nous manipule.
Sommes-nous des chevaliers occupés à servir la dame intérieure (l’âme), ou retardons-nous chaque jour la décision de nous engager dans le noble combat pour notre salut spirituel ?
Il est difficile de savoir où nous en sommes. C’est pourquoi, les véritables chevaliers de l’esprit ne suivent pas les doctrines et les croyances qui portent à l’évasion, la dispersion, la compromission, la complaisance, la mollesse…
Nous avons déjà donné des avertissements sur les pièges à éviter. Il est utile de rappeler aux personnes facilement séduites par les révélations du nouvel âge, que dans le domaine spirituel, le Mal utilise la séduction comme arme majeure. Cela explique la propagande qui inonde les circuits spécialisés et qui frappe des êtres en recherche, n’ayant pas d’expérience pour déjouer les pièges flatteurs qu’on leur tend. On joue sur les points faibles : argent, maladie, frustration, névroses diverses…pour nous rendre dépendant de quelque chose d’extérieur. Le « démon » nous rend dépendant d’une autorité extérieure, afin de limiter le champ du libre arbitre individuel, s’interposer et finalement prendre la place de cette autorité en laquelle nous avons cru un moment.
Quant à ceux qui ne recherchent que les « petits bonheurs » de l’existence, ils doivent savoir qu’il ne reste plus de temps pour se décider à devenir sérieux, car depuis 2001, tous les signaux sont allumés. Les jeux sont faits et il ne sert à rien d’essayer de convaincre celui qui n’a pas encore compris.
Le combat contre le Mal à venir ne sera gagné que par ceux qui auront pris soin de préserver leur individualité et de se réunir au sein d’une famille d’êtres conscients.
Les isolés devront être très forts, plus forts que le démon 666 !
L’accélération des processus en cours va sans aucun doute pousser à une décision nombre d’indécis. La plupart iront se jeter les yeux grands ouverts dans la gueule du lion.
Le meilleur moyen pour dynamiser notre aspiration c’est de nous exercer à la lucidité envers ces forces du Mal qui ont commencé leurs grandes manœuvres. Cette lucidité implique de ne pas s’attarder sur les aspects événementiels spectaculaires mais de rechercher la cause derrière l’apparence.
Voir la réalité contemporaine sans se voiler la face, s’informer avec précision sur l’avancée de la guerre que le Démon 666 mène contre notre conscience, c’est notre devoir en ces temps apocalyptiques. Cette attitude a parfaitement été décrite dans la mythologie chevaleresque, et nous connaissons tous les vertus à cultiver et les faiblesses à rejeter.
Alors, lorsqu’il paraîtra de toute sa hauteur sur la scène du monde, nous ne risquerons pas de confondre le démon solaire 666 avec Dieu.
Quant à ceux qui préfèrent aller s’entasser en troupeaux apeurés dans les stades pour invoquer « l’Esprit Saint » et demander une « guérison », il n’est plus temps de les avertir car ils sont déjà pris dans le filet. Toutes les séductions du ciel inférieur et de l’enfer s’abattent sur le monde. C’est le temps de la grande sélection, le temps du « faux prophète qui séduira les élus eux-mêmes, si cela est possible ».

Pour constituer une force capable de résister au démon 666, on doit s’unir avec des âmes apparentées, au sein de communautés en dissidence avec l’ordre mondial. L’esprit du Mal qui est actuellement à l’œuvre, veut empêcher ce regroupement d’énergie spirituelle qualitative. La constitution de foyers de résistance est la seule alternative contre l’emprise collective du système 666.
C’est pourquoi, le démon 666 incite les êtres à se réfugier dans leur petit coin et il plonge nombre d’aspirants à la lumière dans les expériences astrales qui les déportent vers les zones éloignées de leur être le plus intérieur.
Toutefois, avec la précipitation des événements, nombre d’êtres vont se réveiller, comme pendant l’alerte d’un bombardement où chacun sait ce qu’il doit faire pour sauver sa vie. Aux abris ! Bienvenue à bord !
N’échappera au Mal que ce qui en nous n’est pas de sa nature, la conscience qui n’a pas été contaminée par l’athéisme, la culture de masse, la politique, la religion jésuite, la science matérielle, la désinformation médiatique, les modes stupides et les mœurs décadentes, les idéalismes de replâtrage, le nouvel âge occulte, etc…
C’est une période stimulante, et sans aucun doute, des événements remarquables se préparent. Qui pourrait s’attrister lorsque le voile de la vérité se déchire et laisse entrevoir une Vie entièrement nouvelle ?
Grâce à la confrontation avec les forces du Mal, nous allons pouvoir développer une force du Bien inconnue jusqu’alors.
Voilà pourquoi, au lieu de nous affliger, nous faisons face et nous nous organisons matériellement et spirituellement.
Le Bien qui naît lorsque le Mal est vaincu en conscience, n’a rien à voir avec la bonté ordinaire qui est souvent un aveu de faiblesse, se manifestant comme une attitude de crainte devant la souffrance de l’existence. Cette bonté humaine est légitime compte tenu des conditions pénibles qui règnent ici-bas, mais ce n’est pas le Bien. Le Bien est la pleine Conscience dominant la puissance inférieure.

Source : Undercover n° 13



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