mardi, avril 28, 2009

Claudie répond au courriel de B.


Claudie, ex-disciple du lamaïsme, complète le précédent post :

La pratique du bouddhisme (méditation) peut être très bénéfique surtout quand cela nous permet de nous sortir d'une situation délicate (déprime, séparation, ...) dans votre cas, si j'ai bien compris, de l'alcoolisme puisque vous dites que vous vous êtes arrêté de "picoler".

MAIS attention aux dérives, allez voir les témoignages dans "bouddhanar". Certaines traditions bouddhistes possèdent des restaurants, des hôtels, des châteaux. Le paiement des enseignements, les recherches de dons, les vente d'objets, les ventes de livres, les heures de bénévolat de leurs élèves leurs permettent de se développer et de s'enrichir de plus en plus. Regarder les témoignages de Clara, l'abolition du servage au Tibet, ...

Aider les autres, il suffit de regarder autour de soi pour se rendre compte que nul besoin d'avoir des châteaux ou des centres bouddhistes pour cela. Si on a des voisins âgés ou malades leur proposer notre aide, leur faire leur course, aider un collègue, ... les restaurants du cœur .

Suivre la voie de "Bouddha" sans tomber dans l'extrême n'est pas chose facile. Les enseignements devraient être gratuits, les appels de dons devraient servir uniquement aux frais quotidiens. Posséder des hôtels des restaurants des châteaux (avec tous les frais que cela entraînent) dans des pays riches est-ce nécessaire.


UN ENDROIT CALME est suffisant pour méditer, et un bon professeur doit nous inviter après quelques séances à méditer chez soi, et nous amener à NE PAS ETRE DEPENDANT.

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Une nonne thaïlandaise de Kanchanaburi pratique une nouvelle forme de méditation : l’aquavipassâna.


Le Saint-Empire Euro-Germanique

"Sous Ursula von der Leyen, l'UE est en train de passer d'une démocratie à une tyrannie."  Cristian Terhes, député europée...