samedi, février 20, 2016

Le retour d'Adolf Hitler


Miguel Serrano pose entre tangkas tibétains et photos de dignitaires nazis.


Miguel Serrano (1917-2009), était l'un des propagateurs de la doctrine ésotérique qui fait d'Adolf Hitler l'incarnation d'une déité, un Avatar. (Miguel Serrano, « Adolf Hitler, The Ultimate Avatar ».)


Pour Serrano et de nombreux « Lunatic Fringes », Hitler n'est pas mort à Berlin en 1945.


Hitler, grâce à son pacte avec le monde de la violence et de la puissance de Shambhala et moyennant de nombreux sacrifices, aurait échappé à la mort et rejoint une autre dimension, un monde parallèle, à l'instar du maître tantrique Padmasambhava, le bouddha polygame et magicien du Tibet.


Durant la deuxième guerre mondiale, les tueries planifiées dans les camps de la mort étaient-elles des sacrifices humains ? L'odeur de la chair humaine brûlée qui sortait des fours crématoires était-elle la « bonne odeur » exigée par les divinités guerrières de Shambhala. Des commentateurs de la Bible disent que l'odeur de la chair brûlée est une bonne odeur pour le dieu terrible de l'Ancien Testament. « Une bonne odeur, une odeur reposante, montait vers Jéhovah quand on brûlait de la chair des animaux, dont on avait préalablement fait l’aspersion du sang autour de l’autel. »


Hitler a offert le sang de 25 millions de personnes aux déités terribles de Shambhala. Selon Miguel Serrano, il reviendra en tant qu'Ultime Avatar" pour faire la guerre et instaurer le Quatrième Reich mondial.


Pour les lamas tibétains spécialistes de l'eschatologie du Kalachakra Tantra, c'est le dalaï-lama, l'actuel grand hiérophante de l'iniation de Kalachakra, qui se réincarnera à Shambhala dans le corps du vingt-cinquième roi kulika et se nommera Raudra Chakrin. Au 25ème siècle, le roi de Shambhala conduira une guerre impitoyable pour instaurer le lamaïsme planétaire (ou le Quatrième Reich mondial).




Hitler est-il mort à Berlin ?



par Christophe Bourseiller



Hitler est-il réellement mort, le 30 avril 1945, à Berlin, à l'âge de cinquante-six ans ? Chacun connaît la version officielle de sa fin. Qui ne garde pas en tête l'impressionnant film d'Oliver Hirschbiegel, « La Chute », sorti en 2005, dans lequel un Führer suicidaire et dépressif se voit incarné avec talent par Bruno Ganz ?


Bien des mystères entourent pourtant le probable suicide d'Adolf Hitler.


Nous savons qu'il se tue par balle, tandis qu'Eva Braun, son épouse, s'empoisonne. Dans les minutes qui suivent, leurs dépouilles sont déposées à l'extérieur du bunker, aspergées d'essence et incinérées. Les deux corps sont joints à d'autres restes humains qui gisent dans un cratère de bombe.


Le 2 mai 1945, un détachement des troupes d'élite russes dépendant du contre-espionnage (le Smersh) investit ce qui reste de la chancellerie du Reich. Objectif : récupérer le cadavre du leader nazi. Le détachement découvre, à même le sol, deux cadavres « si calcinés qu'ils s'étaient rétrécis et ressemblaient à des marionnettes ». Il pourrait s'agir des époux Goebbels.


Le même jour, le quotidien officiel du parti communiste d'Union soviétique, la Pravda, affirme que l'annonce de la mort d'Hitler n'est qu'une « astuce fasciste ».


Pendant ce temps, les hommes du Smersh poursuivent les fouilles dans les parages du bunker. Le 5 mai, un soldat remarque un bout de couverture grise qui comble un trou d'obus. Dans le cratère sont découverts deux corps calcinés, ainsi que les cadavres d'un berger allemand et d'un chiot. Le lendemain, les deux corps sont transportés à la base du Smersh établie à Buch. La dépouille du Führer est identifiée grâce à ses mâchoires et aux prothèses qu'elles contiennent.


Pourtant, Joseph Staline déclare en mai 1945 au diplomate américain William Averell Harriman qu'Adolf Hitler n'est pas mort. Selon le dirigeant de l'URSS, le leader déchu se cache dans un lieu inconnu, en compagnie de Martin Bormann et du général Hans Krebs. Par la suite, Staline se montre encore plus précis. Hitler se serait enfui en sous-marin. Mais quelle route maritime a-t-il pris ? Les Russes le disent tantôt au Japon, tantôt en Argentine, tantôt en Espagne.


Il existe pourtant des restes humains, qui constituent autant de preuves tangibles. Curieusement, le directeur du KGB, Iouri Andropov, ordonne en 1970 qu'ils soient incinérés. Seuls le crâne et les mâchoires sont conservés par le KGB. Pourquoi une telle intervention ?


Cette incertitude génère de nombreuses théories, parfois hautement fantaisistes. En 1980, l'écrivain négationniste allemand Ernst Christof Friedrich Zündel tente ainsi de monter une expédition aérienne au pôle Sud, où, selon lui, Hitler se cache depuis 1945, en expédiant des soucoupes volantes depuis une base secrète nazie... Zündel publie en 1979 un ouvrage au titre explicite : « Hitler am Südpol » (« Hitler au pôle Sud »).


La chute du mur de Berlin en 1989, puis la dislocation de l'Union soviétique en 1991 modifient la donne et ouvrent certains accès aux archives. En 2000, le crâne ainsi qu'une qu'une photographie des mâchoires sont présentés au public lors d'une exposition organisée à Moscou par les archives de l'État russe. Plusieurs chercheurs étudient les pièces.


Le 27 septembre 2009, un coup de tonnerre éclate. L'hebdomadaire britannique The Observer affirme que le fragment de crâne attribué à Hitler appartient en réalité à une femme d'une vingtaine d'années. Il devient clair que personne n'a retrouvé les cadavres d'Adolf Hitler et d'Eva Braun.



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