mardi, juillet 25, 2023

La vilaine (secte) Lulu...ciférienne



"La vilaine Lulu", sinistre BD du grand couturier français Yves Saint-Laurent,
un bréviaire satanique ?



Viols et crimes rituels



« Fin 1999 ou en mars 2003, Elise Lucet présente à une heure tardive dans le cadre d'une émission de la rédaction nationale de France 3 un reportage intitulé « Viols d'enfants : la fin du silence ? ». 

Cette enquête journalistique qui a duré près d'un an et demi dénonce les agissements d'un réseau pédophile d'abus rituels à tendance satanique qui opère en France.

Pourquoi un tel flou sur la date de diffusion ? Parce que France 3, que j'ai contacté à de multiples reprises par mails et par téléphone, ne trouve aucune trace dans ses archives de ce documentaire qui existe pourtant et dont je possède une copie. C'est comme si cette enquête n'avait jamais existé ni même été diffusée. 

Pas moyen non plus d'entrer en contact avec Elise Lucet sur ce sujet. Selon certaines rumeurs, une magistrate qui est intervenue dans l'enquête aurait été limogée et placée dans un placard dès le lendemain de la diffusion de l'émission.

Quels sont les faits dénoncés par cette enquête approfondie ?

Il s'agit du drame vécu par trois enfants, Pierre âgé de 5 ans et Marie, sa sœur âgée de 8 ans, de nationalité française ainsi qu'une petite fille originaire de Suisse, Sylvie, qui ne connaît absolument pas Pierre ou Marie mais qui a été abusée par le même réseau comme le démontrera l'enquête de police.

Les premiers faits concernant Pierre et Marie remontent en 1994. Les enfants, lors de leurs auditions puis devant la journaliste qui les entendra racontent que les abus se déroulaient lorsque leur père exerçait son droit de visite et emmenait ses enfants dans des cérémonies très étranges. Marie évoque avec ses mots d'enfant avoir été emmenée dans les caves d'un grand hôtel parisien et raconte les horreurs qu'elle a vécu en ces termes : « Ils mettaient parfois des aiguilles autour de nos yeux et ils nous attachaient sur une table et ils nous frappaient et nous violaient... Le grand chef, il portait une robe blanche avec des bords dorés avec un triangle et il disait qu'il était un grand mage et qu'il s'appelait Boucnoubour... Ils faisaient des prières puis ils violaient les enfants... Ils nous endormaient aussi avec des espèces de bouillies, ils nous attachaient et nous frappaient et avec les aiguilles, ils voulaient nous nous faire croire qu'ils allaient nous crever les yeux. »

Pierre raconte exactement la même histoire. Selon ces deux témoignages, des enfants de nationalité étrangère sont mis à mort, et les faits se dérouleraient dans une sorte de cave. « Ils tuaient les enfants », affirme Pierre dans un PV à un gendarme qui l'interroge. « C'était des petits enfants qui étaient un peu arabes et des choses comme ça et puis, ils leur coupent la tête. « C'est la vérité, ou cela aurait pu être un film ? » demande l'enquêteur. « Non ? C'était pour de vrai. Après, on s'évanouissait et puis, ils disaient qu'ils allaient nous couper la tête aussi et qu'ils nous mettraient sur la table aussi, dans le sang. On avait très peur et on croyait qu'on était morts. » Les petites victimes racontent que les têtes des enfants tués étaient placées au bout de piques qui ornaient la salle principale des rituels.

Le père des enfants sera placé sur écoute, des écoutes dans lesquelles, à demi-mot, le père reconnaît auprès d'une amie se livrer à des transgressions sexuelles inimaginables. Ces mêmes écoutes permettent de mettre en évidence les membres du réseau. Huit personnes seront ainsi interrogées : un couple de kinés, un pilote de ligne, un conseiller en communication, un enseignant, une décoratrice de cinéma spécialisée dans les effets spéciaux.

En Suisse, l'enquête met en lumière l'existence d'une autre victime, la petite Sylvie, qui raconte les mêmes horreurs, alors qu'elle ne connaît pas Marie et Pierre. Un pédopsychiatre suit les enfants et conclut à la crédibilité de leurs témoignages. »

L'auteur de ces lignes, Alain Gossens alias KarmaOne, cocréateur du site Karmapolis, a mis brusquement fin à ses jours le mercredi 7 juillet 2010.


La vilaine Lulu


Les récits et illustrations des protagonistes du reportage de FR3 évoquent la sinistre BD du grand couturier français Yves Saint-Laurent intitulée « La vilaine Lulu » (éditée en 1967). Cette BD est une sorte de bréviaire satanique. Lulu est une fille perverse et cruelle initiée aux pratiques diaboliques : torture, meurtre, pédocriminalité, messe noire, esclavage sexuel...

Lulu représente-t-elle une secte luciférienne (lulu...ciférienne) qui aurait infiltré l'Eglise catholique ? Selon la BD, Lulu devenue cardinale parvient à empoisonner le pape et à prendre sa place.

Lulu, comme l'oligarchie politico-financière, utilise le pouvoir de la télévision pour subjuguer les masses et dominer le monde.

En 2003, rappelle le site Archives millénaires mondiales, les éditions ‘Tchou’ rééditent le livre « La vilaine Lulu », signé par le styliste Yves Saint-Laurent. D’après l’éditeur, « La vilaine Lulu » est une « petite fille espiègle » portant un regard « drôle et curieux sur le monde »… Le « style est naïf », presque « enfantin » et « L’ensemble est mordant et drôle »…

Notons que sur Wikipédia, l'analyse, censurée le 14 mai 2013, disait : 


« Cette œuvre, présentée comme une critique grinçante de la société contemporaine, met en scène un grand nombre de maltraitances sur enfants dont l’enlèvement ou le sacrifice humain, de rites sataniques et idéalise la pédophilie en libertinage sexuel des enfants. On y trouve une référence au catharisme et des scènes de violence anticatholiques. » 

Télécharger gratuitement "La vilaine Lulu"


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BONUS


Yves Saint-Laurent, Pierre Bergé et la pédocriminalité



"Maintenant que Pierre Bergé est mort, et que les hordes d’avocats qu’il payait sont au repos, les langues se délient et l’on voit un peu quel est le type d’homme qui dirige la France, en démocratie (ou ploutocratie).

Il est de plus en plus notoire que celui qui fut le « financeur » de la gauche et le propriétaire d’une grande partie de la presse française était non seulement complètement dégénéré moralement (et militant pour que ses mœurs dissolues deviennent la norme en France), sadique au dernier degré, mais aussi un prédateur d’enfants.

Évidemment beaucoup de monde était au courant, mais cela ne dérangeait pas la gauche moralisatrice – toujours à chercher des poux aux patriotes et à l’Eglise – ni la grosse presse du style le Monde.
Elles préfèrent parler de manspreading…

Dans son livre “Saint Laurent et moi : une histoire intime”, paru le 12 octobre, Fabrice Thomas, qui fut l’amant d’Yves Saint-Laurent et de Pierre Bergé, raconte des scènes abjectes..."



de Fabrice Thomas

Yves Saint Laurent, c'est la mode, le luxe, le génie. Mais derrière ce nom se cache un homme tourmenté avec qui Fabrice Thomas a partagé la vie intime. Il nous fait découvrir ici l'univers du couturier et ses coulisses.

Entre 1990 et 1993, Fabrice Thomas a vécu avec Yves Saint Laurent comme compagnon et amant. Séparé dans la vie quotidienne de Pierre Bergé depuis 1976, Yves Saint Laurent sort de cure de désintoxication et souhaite refaire sa vie. En 1990, il a 54 ans, Fabrice Thomas 29.

Salarié de la société YSL depuis 1982 et amant de Pierre Bergé, Fabrice Thomas reçoit pour mission de Pierre Bergé de vivre avec le couturier pour le soutenir afin qu'il puisse continuer à créer.

Ce témoignage est l'histoire d'un homme joueur et en même temps jouet de forces qui le dépassent et qu'il s'imagine contrôler alors que la plupart du temps elles le contrôlent.

Le récit couvre une période de douze ans et s'intéresse plus particulièrement à la vie commune avec Yves Saint Laurent, de 1990 à 1993, mais revient aussi par flash-back sur sa vie d'employé au service de Pierre Bergé, entre 1982 et 1989.



Révélations d'un lama dissident

Le lama tibétain Kelsang Gyatso (1931-2022) était un enseignant important parmi les guélougpa restés fidèles à des pratiques proscrites ...