Cette photo ne provient pas d'une réelle snuff movie
Gilbert
Abas est un ancien officier de police des Renseignements généraux.
Durant ses missions de recherche au sein de groupuscules sataniques
et des sociétés secrètes, il entrevoit une vérité qui semble
tellement extraordinaire et effrayante qu'elle est quasiment
indicible. Mais Gilbert Abas ne se tait pas, il décide de tout
révéler sous une forme romanesque. Il écrit un livre
de 739 pages intitulé
Qui veut encore tuer le Christ ?
La
trame du roman est
loin d'être imaginaire. Gilbert Abas s'inspire de faits réels, des
coulisses de l'histoire, la géographie sacrée, l'arrière-scène du
Vatican, le but ultime des sociétés secrètes, des pratiques
sataniques monstrueuses comme les snuffs
movies...
Dans
Qui
veut encore tuer le Christ ?,
un protagoniste explique :
-
« Les snuffs
movies
sont des films qui mettent en scène des rituels sataniques qui se
terminent par un meurtre réel. Il est accompagné très souvent
d'actes sexuels violents, de scarifications douloureuses, de scènes
sadomasochistes vraies et de pédophilie. Les interprètes sont
souvent des auto-stoppeurs enlevés, des enfants kidnappés, des
personnes qui croient être engagés pour tourner un film porno bien
rémunéré. Ils sont souvent drogués à leur insu et se retrouvent
dans des situations extrêmes où ils subissent des tortures réelles
avant de finir par leur assassinat en direct. Leur mort doit être
filmée ainsi que l'acte qui la provoque. Le visage du mourant
agonisant, doit bien apparaître à l'écran, au moment de la mort.
Les snuffs
movies
sont STRICTEMENT interdits chez nous ! Le FBI
et Interpol
sont continuellement connectés sur Internet et mènent des enquêtes
minutieuses pour identifier les cons qui prennent plaisir à réaliser
ces films. »
Dans
une autre partie du roman, les ambiguïtés de l’Église sont
résumées ainsi :
-
« Le prêtre franciscain, Monseigneur Krunoslav Draganovitch
avait organisé en 1941, pour le Vatican, une filière d'exfiltration
de criminels de guerre et de nazis, vers l'Amérique du sud. L'Eglise
délivrait des documents tamponnés, avec le visa du Vatican, en
faveur des nazis qui voulaient quitter l'Europe. William Dorich a
poursuivi devant les tribunaux l'IOR, la banque du Vatican et l'Ordre
des Franciscains. Sa plainte concerne le financement des ratlines,
ces réseaux qui avaient permis d'exfiltrer d'Europe, les nazis de la
seconde guerre mondiale. La plainte a été déposée dans l'Etat de
Californie. Il accusait ainsi l'IOR et les Franciscains, d'avoir aidé
les membres du régime croate pro-nazi à dissimuler puis à blanchir
des millions de dollars, provenant des pillages systématiques de la
population serbe.
Le
6 août 1945, le père Georges Zabelka, aumônier de la base de
Tinian, avait béni l'équipage américain du bombardier Enola Gay
qui avait pour mission de larguer une bombe atomique sur Hiroshima et
occasionner plus de quatre-vingt mille morts. La bombe, Little Boy
qui a explosé à cinq cent quatre-vingt mètres, à la verticale de
l'hôpital Shima, a libéré une énergie de quinze mille tonnes de
TNT.
En
1968, le pape Paul VI a reçu, en audience privée, un illustre
parrain de la mafia de Chicago, Sam Giancana qui aurait été, selon
certains, l'instigateur des meurtres de John et de Bobby Kennedy. Le
mafioso utilisait des prêtres pour procéder à des transferts de
fonds internationaux illégaux.
En
1974, le cardinal et Académicien Jean Daniélou avait succombé
d'épectase dans la chambre d'une prostituée noire, située rue
Ponceau, dans le quartier chaud de Saint-Denis à Paris.
En
1976, la liste des dignitaires de la loge P2, dirigée par Licio
Gelli, est publiée officiellement. C'était une loge secrète
dissimulée à l'intérieur de la Maçonnerie italienne. Cette liste
de neuf cent vingt-six noms, particulièrement compromettante et où
l'on trouve par ailleurs le nom de Berlusconi, permettait
d'identifier des ministres, des dirigeants de partis politique, des
responsables des services secrets, des journalistes, des officiers de
l'armée et des forces de police et des ecclésiastiques notoirement
connus. A partir de cette époque, vont se succéder une série
d'assassinats et de scandales autour desquels planera l'ombre de l'IOR et de son responsable, le Cardinal Paul Marcinkus. [...]
L'arrivée
de l'Evêque Paul Marcinkus à la tête de l'IOR, ses relations avec
la mafia, la loge maçonnique Propaganda Due (P2), la CIA et le
Gladio, le crash de la banque Ambrosinio gérée par son ami Roberto
Calvi, les répercussions sur la banque IOR, les tractations pour
faire taire ceux qui en savaient trop et la vague d'assassinats et
d'attentats qui ont sévi sur la péninsule. Pour la petite histoire, une trentaine de magistrats ont été tués de 1971 à 1983 !
(L'arrivée
de Paul Marcinkus au Vatican) Cet Américain a débarqué au Vatican
en 1958. Il a été repéré par le pape Paul VI qui cherchait un
anglophone pour assurer sa protection et ses voyages. Le 21 août
1967, il entrait dans la maçonnerie, la « Grande Loge Vaticane ».
sous le matricule 43/649 et le surnom de « Marpa ». Il
appartenait évidemment à cette fameuse liste des ecclésiastiques
enrôlés dans cette Loge maçonnique, proche de la Loge P2. Ayant
acquis la confiance du vicaire de dieu, l'évêque a été nommé
Directeur de la Banque « Institut pour les Œuvres de Religion
» (IOR). A la mort du pape Paul VI, Monseigneur Paul Casimir
Marcinkus avait fait l'objet d'une enquête de la part du nouveau
Pape, Albino Luciani dit Jean-Paul 1er, Le pontife avait appris
qu'une centaine de ses proches du Vatican apparaissaient sur une
liste qui circulait dans le milieu maçonnique contrôlé par la
terrifiante loge P2, animée par Licio Gelli. La P2 agissait comme
les Illuminati. Elle ne visait pas un coup d'état, mais elle
infiltrait ses hommes dans les parties vitales de l'Etat. Ceux-ci
avaient pour mission de mettre en place le « Plan de Renaissance
Démocratique » dans l'hypothèse d'une insurrection ou d'une
victoire électorale communiste. Pour cela, la P2 était en relation
étroite avec le réseau paramilitaire Gladio, la branche ultra
secrète italienne stay-behind de l'OTAN, contrôlée et financée
par la CIA. Le pape ne pouvait pas supporter que cette secte
maçonnique ait pu pénétrer les murs protégés du Vatican et
qu'elle ait absorbé la plupart de ses hommes qui gravitaient au
sommet de la Curie pontificale. Cette situation était devenue
anathème ! Le pontife avait également décidé de faire mener une
enquête sur la banque du Vatican et notamment sur les méthodes
qu'employait le Cardinal Marcinkus pour gérer cet établissement. L'
IOR offrait à ses clients un avantage inestimable, le secret total.
Elle était devenue un véritable paradis fiscal. Le pape avait été
alerté au mois d'avril 1978 par un rapport de la Banque d'Italie qui
prédisait une faillite imminente de la Banco Ambrosiano, managée
par le directeur Roberto Calvi. Il savait également que Monseigneur
Marcinkus alias le « Gorilla », était aussi Directeur de la «
Ambrosiano Overseas », basée dans le paradis fiscal de Nassau aux
Bahamas et qu'il entretenait par ailleurs des contacts très étroits
avec la loge P2, les services secrets de la CIA et de la Gladio,
ainsi qu'avec la mafia, tous ayant une aversion profonde pour le
communisme qui menaçait Italie. Le lien, entre ces milieux, était
assuré par le pasteur Frank Gigliotti, Franc-maçon et contact de la
CIA, il avait fondé la Loge P2, qu'il avait confié à Licio Gelli
en 1971. Afin de désamorcer cette bombe, qui allait certainement
exploser bientôt, le pape Albino Luciani, dit Jean-Paul 1er, avait
décidé de muter tous les cardinaux qui s'étaient fourvoyés dans
la Grande Loge Maçonnique avec la P2 ainsi qu'avec la mafia. Il
avait décidé de leur confier des postes sans importance et
inoffensifs. Il leur évitait, malgré tout, l'excommunication qui
était monnaie courante pour tous les chrétiens qui adhéraient à
la Franc-maçonnerie. Jean-Paul 1er avait donc préparé une liste
dans laquelle se trouvaient le Banquier de Dieu, Paul Casimir
Marcinkus alias « Marpa », matricule 43/649. Figuraient également
de nombreuses personnalités vivant au Vatican, en Italie et même
aux Etats-Unis.
Au
mois de septembre, Michele Sindona, Roberto Calvi, Jean Villot, Licio
Gelli et Paul Casimir Marcinkus étaient persuadés que le pape avait
repéré les irrégularités bancaires de Sindona et Calvi et que
celles-ci étaient cautionnées par le principal actionnaire
Marcinkus. Ils savaient qu'il allait agir et annoncer son remaniement
avant le mois d'octobre 1978. Ils avaient donc tout intérêt à ce
que le pape meure vite. Le 29 septembre à 4 heures 30, la sœur
Vicenza l'avait
découvert mort,
trente-trois jours après son élection, assis dans son lit. Il
portait ses lunettes et avait des dossiers à la main. Sa chambre
était éclairée. Elle avait appelé Monseigneur Villot qui avait
constaté le décès. Celui-ci avait sollicité non pas son médecin
traitant, Da Ros, mais le docteur Renato Buzzonetti, qui avait
diagnostiqué un infarctus du myocarde aigu. Les pompes funèbres
avaient pratiqué un embaumement urgent, interdisant une éventuelle
autopsie. Les appartements pontificaux avaient été méticuleusement
nettoyés. Pour certains, le pape aurait été empoisonné après
avoir ingurgité une overdose de Digitaline, sensée soigner sa
tension trop faible. Selon l'ambassadeur et auteur de la « Soutane
Rouge », Roger Peyrefitte, un certain Brucciato, membre de la mafia
aurait procédé à l'injection mortelle d'un vasodilatateur,
médicament contre-indiqué pour un sujet ayant une tension aussi
basse. »
Plus
loin, il est expliqué que les Templiers, les Francs-maçons, les
Illuminati et l'Eglise romaine désirent une religion unique et
mondiale. Qui sera le grand pontife, le prêtre-roi, de cette
nouvelle religion ? L'Antéchrist ?
Contacter Gilbert Abas, commander son livre :
2,
place des cerisiers
31850
BEAUPUY
Tél.
Fixe : 05 61 84 21 34
Tél.
Port. : 06 25 70 15 08
Courriel
: gilbertabas@yahoo.fr