mardi, août 30, 2022

Ils interdisent les substances initiatiques et utilisent la peur de la mort pour restreindre nos libertés





A Campagnol, le vieux Roger va bientôt mourir. Une substance (interdite) annihile sa peur de la mort :

Violer les corps pour dompter les esprits, avec le vaccin les empires perpétuent leur méthode 


Le trépas, les trois étapes de la mort


Après avoir étudié plus de 20 000 cas de personnes déclarées cliniquement mortes et rappelées à la vie, le Docteur Elisabeth Kubler-Ross expose sa compréhension du processus de la fin de vie :


« Je voudrais vous expliquer très sommairement ce que chaque être va vivre au moment de la mort. Et cette expérience est générale, donc indépendante du fait que vous soyez aborigène d'Australie, hindou, musulman, chrétien ou incroyant ; elle est également indépendante de votre âge ou de votre statut socio-économique. Car il s'agit d'un événement purement humain, comme le processus normal d'une naissance est un événement purement humain.


L'expérience de la mort est presque identique à celle de la naissance. C'est une naissance dans une autre existence qui peut être prouvée d'une façon tout à fait simple. Pendant deux mille ans on vous a invités à « croire » aux choses de l'au-delà. Pour moi ce n'est plus une affaire de croyance mais une affaire de connaissance. [...]


Au moment de la mort il y a trois étapes. Avec le langage que j'utilise pour de très jeunes enfants mourants, je dis que la mort physique de l'homme est identique à l'observation que nous pouvons faire lorsque le papillon quitte le cocon. Le cocon et sa larve sont le corps humain passager. Ils ne sont toutefois pas identiques à vous, n'étant qu'une maison provisoire, si vous pouvez l'imaginer ainsi. Mourir est tout simplement déménager dans une plus belle maison, symboliquement s'entend.


Dès que le cocon est endommagé de façon irréversible, que ce soit par suicide, meurtre, infarctus ou maladie chronique peu importe comment — il va libérer le papillon, c'est-à-dire votre âme. Dans cette deuxième étape, lorsque votre papillon — toujours symboliquement — a quitté son corps, vous vivrez des événements importants que vous devez savoir pour ne plus jamais avoir peur de la mort.


Dans la deuxième étape vous serez approvisionné en énergie psychique, alors que dans la première étape vous l'êtes en énergie physique. Dans cette dernière vous avez besoin d'un cerveau qui fonctionne, c'est-à-dire d'une conscience éveillée, pour pouvoir communiquer avec les autres. Dès que ce cerveau — ou ce cocon — est trop endommagé, vous n'avez évidemment plus de conscience éveillée. Au moment où celle-ci vous manque, c'est-à-dire quand le cocon est endommagé au point que vous ne puissiez plus respirer et que vos pulsations cardiaques et vos ondes cérébrales ne puissent plus être mesurées, le papillon se trouve déjà à l'extérieur du cocon. Ce qui ne veut pas dire que vous êtes déjà mort, mais que le cocon ne fonctionne plus. En quittant ce cocon, vous arrivez dans la deuxième étape de l'énergie psychique. Les énergies psychique et physique sont les deux seules énergies que l'homme puisse manipuler. [...]


Dès que vous êtes un papillon libéré, c'est-à-dire dès que votre âme a quitté le corps, vous vous apercevez tout d'abord que vous voyez tout ce qui se passe sur le lieu de votre mort, dans la chambre de malade, sur le lieu de l'accident ou là où vous avez quitté ce corps. Vous ne percevez plus alors ces événements avec votre conscience mortelle, mais avec une perception nouvelle. Vous enregistrez tout, et ce au moment où vous n'avez plus de tension artérielle, où vous n'avez plus ni pouls ni respiration, parfois même en l'absence d'ondes cérébrales. Vous savez exactement ce que chacun dit et pense et comment il se comporte. Et vous pourrez par la suite dire avec précision qu'on a dégagé le corps de la voiture accidentée avec trois chalumeaux de découpage. Il y a même eu des personnes qui nous ont précisé l'immatriculation de la voiture qui les avait renversées mais qui avait poursuivi sa route. On ne peut expliquer scientifiquement que quelqu'un qui n'a plus d'ondes cérébrales puisse encore lire une immatriculation. Les savants doivent être humbles. Nous devons accepter avec humilité qu'il y ait des millions de choses que nous ne comprenons pas encore. Mais cela ne veut pas dire que ces choses, uniquement parce que nous ne les comprenons pas, n'existent pas ou ne sont pas réalités. » [...]


Le retour de compagnons de jeu


Selon les témoignages recueillis par la doctoresse, au moment du trépas, il y aurait le « retour » de présences, les compagnons de jeu de l'enfance.


« Dans cette deuxième étape, explique Elisabeth Kubler-Ross, vous vous apercevez également qu'aucun être humain ne peut mourir seul, non seulement parce que le mort est en mesure de rendre visite à n'importe qui, mais également parce que des gens qui sont morts avant vous, et que vous aimiez, vous attendent toujours. Et puisque le temps n'existe pas, quelqu'un qui à vingt ans a perdu un enfant, peut en mourant à quatre-vingt dix-neuf ans retrouver son enfant comme enfant, puisque pour ceux de l'autre côté une minute peut avoir la durée de cent ans de notre temps. Ce que l’Église raconte aux petits enfants à propos de leur ange gardien est basé sur des faits, car il est prouvé que chaque être, de sa naissance à sa mort, est accompagné d'êtres spirituels. Chaque homme a de tels guides, que vous le croyiez ou non, et que vous soyez juif, catholique ou sans religion n'a aucune importance. Car cet amour est inconditionnel, et c'est pourquoi à chaque homme est fait le cadeau d'un guide. Ce sont eux que mes petits enfants appellent « compagnons de jeu ». De tout petits enfants parlent avec leurs « compagnons de jeu » et en sont parfaitement conscients. Mais dès qu'ils entrent à l'école, les parents leur disent : « Maintenant tu es grand. Tu vas à l'école. Il ne faut plus jouer à ces enfantillages ». Ainsi on oublie qu'on a des « compagnons de jeu », jusqu'à ce qu'on se trouve sur son lit de mort. Et soudain une vieille femme qui meurt me dit : « Le voilà à nouveau ». Et sachant de quoi elle parle, je demande à cette femme de partager avec moi ce qu'elle vient de vivre. Et elle m'explique : « Voyez-vous, lorsque j'étais petite, il était toujours avec moi. Mais j'avais complètement oublié qu'il existait. » Et le lendemain elle meurt, heureuse de savoir que quelqu'un qui l'a beaucoup aimée l'attend à nouveau.


En général vous êtes attendu par la personne que vous aimiez le plus. C'est elle que vous rencontrez toujours en premier. Chez les tout petits enfants de deux ou trois ans par exemple, dont les grands-parents et parents ainsi que les autres membres de la famille sont encore en vie, c'est en général leur ange gardien personnel qui les accueille, ou ils sont reçus par Jésus ou un autre personnage religieux. Je n'ai jamais fait l'expérience qu'un enfant protestant ait vu Marie au moment de sa mort, alors qu'elle est aperçue par de nombreux enfants catholiques. Il ne s'agit pas là d'une discrimination, mais ils sont tout simplement attendus de l'autre côté par ceux qui ont eu pour eux le plus d'importance.


Après avoir réalisé dans cette deuxième étape l'intégralité retrouvée du corps et rencontré ceux que l'on aime, on prend conscience que la mort n'est qu'un passage dans une autre forme de vie. On a abandonné les formes physiques terrestres car on n’en a plus besoin. Et avant de quitter son corps pour prendre la forme que l'on aura dans l'éternité, on passe par une phase de transition entièrement empreinte par des facteurs culturels terrestres. Il peut s'agir du passage d'un tunnel ou d'un portail ou de la traversée d’un pont. En tant qu'originaire de la Suisse j'ai pu traverser un col alpin avec des fleurs sauvages. Chacun a le ciel qu'il imagine. Et pour moi, le ciel c'est évidemment la Suisse, avec des montagnes et des fleurs sauvages. J’ai pu vivre cette transition comme un col alpin de toute beauté dont les herbages étaient si colorés de fleurs qu’ils me faisaient l'effet d'un tapis persan.


Et ensuite, dès que vous avez accompli ce passage, une lumière rayonne au bout. Et cette lumière est plus que blanche, elle est d’une clarté absolue. Et au fur et à mesure que vous approchez cette lumière, vous êtes rempli du plus grand amour, indescriptible et inconditionnel, que vous puissiez imaginer. Il n'y a pas de mots pour le décrire.


Lorsque quelqu'un a une expérience du seuil de la mort, il ne peut regarder cette lumière que très brièvement. Et il faut qu'il retourne tout de suite sur terre. Mais lorsque vous mourez — je veux dire mourir définitivement —, ce contact entre le cocon et le papillon que l'on pourrait comparer à un cordon ombilical (« cordon d'argent ») est rompu. Après, il n'est plus possible de retourner dans le corps terrestre. Mais vous ne voulez de toute façon pas y retourner, car lorsqu'on a vu la lumière, personne ne veut plus revenir. Et dans cette lumière vous vous rendez compte pour la première fois de ce que l'homme aurait pu être. Vous y vivez la compréhension sans jugement, vous y vivez un amour inconditionnel, indescriptible. Et dans cette présence que beaucoup appellent Christ ou Dieu, Amour ou Lumière, vous réalisez que toute votre vie ici-bas n'est qu'une école par laquelle vous devez passer, que vous devez apprendre certaines choses et passer certains examens. Quand vous avez terminé le programme et réussi les examens, vous pouvez rentrer. » […]


Le savoir total de la troisième étape


« Dans cette Lumière, poursuit Elisabeth Kubler-Ross, en présence de Dieu, du Christ, ou quel que soit le nom que vous lui donniez, vous devez regarder toute votre vie terrestre, du premier jour jusqu'au jour de la mort. En revoyant votre propre vie, vous êtes dans la troisième étape. Dans cette étape vous ne disposez plus de la conscience de la première étape ou de cette possibilité de perception de la seconde étape. Maintenant vous possédez le savoir. Vous connaissez exactement chaque pensée que vous avez eue à tout moment de votre vie, vous connaissez chaque acte que vous avez accompli et chaque parole que vous avez prononcée. Mais cette possibilité de se souvenir n'est qu'une infime partie de votre savoir total. Car au moment où vous regardez encore une fois toute votre vie, vous réalisez toutes les conséquences qui ont résulté de chacune de vos pensées, de chacun de vos mots et de chacun de vos actes. »


Elisabeth Kubler-Ross, "La mort est un nouveau soleil".



Un voyage fabuleux au-delà du monde sensible. Les expériences scientifiques du docteur Kübler-Ross, reconnues dans le monde entier, permettent de confirmer l'existence d'une vie après la mort. Il s'agit bien du passage à un autre état de conscience dans lequel on continue à sentir, à voir et entendre, à s'épanouir. Les témoignages saisissants livrés ici en sont la preuve. La mort est renaissance et vie. La mort est un nouveau soleil.

E. Kübler-Ross a développé un dispositif d'écoute de malades incurables (...). Elle a notamment mis au jour cinq phases du mourir qui servent aujourd'hui de référence à la pratique des soins palliatifs.





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Papus (docteur Gérard Encausse), fondateur de l'Ordre Martiniste."Il n’y eut jamais de relation administrative entre la franc-m...