mercredi, novembre 09, 2011

La mission mondiale du lamaïsme





Au moment où les Français découvrent les dérives sectaires du bouddhisme tibétain, les USA et les amis étasuniens du dalaï-lama demandent la dissolution de la MIVILUDES.

L'éventualité de la disparition de la MIVILUDES réjouira peut-être les responsables de l'Omnium des Libertés, fondé en 1996 par Joël Labruyère pour défendre les individus victimes de discriminations en raison de leurs choix spirituels, religieux ou thérapeutiques. Toutefois, la bienveillance de Joël Labruyère à l'égard des sectes ne s'applique pas aux groupes lamaïstes. Joël Labruyère, auteur de L’État inquisiteur, la spiritualité en danger, est le Torquemada du bouddhisme tibétain.

Joël Labruyère dénonce un plan de conquête mondiale. Selon lui, ce plan passe par le Tibet. Les Tibétains collaborent avec une puissante organisation du Vatican en vue d'établir une théocratie mondiale qui prendrait la forme d'une religion œcuménique.

L'interview d'un mystérieux informateur nommé Bhodyoul permet de comprendre les raisons du combat de Joël Labruyère contre le lamaïsme :

J. Labruyère : Il existe une littérature foisonnante sur les maîtres secrets de la Loge du Tibet. Qui est dans le cercle intérieur de cette Loge orientale ? Et quel en est le but ?

M. Bhodyoul : J'ai découvert ces choses lors de mes recherches en Occident car mes amis tibétains érudits sont aussi ignorants sur leur religion que les chrétiens sur la leur. Je n'ai donc pas été aidé de ce côté mais, avec le recul, il me revient parfois des souvenirs de jeunesse qui éclairent la face cachée de la culture dans laquelle j'ai été élevé.

Je peux dire avec certitude que les légendes sur la « Grande Loge blanche » des initiés d'Orient sont un leurre, car une confrérie secrète qui s'extériorise publiquement, cela n'existe pas ! On peut dire tout au plus qu'elle peut dévoiler son existence avant de muter à un autre niveau. Tous ceux qui prétendent avoir été en contact avec la « Loge des maîtres du Tibet », et qui s'intitulent « disciples des maîtres », ont été leurrés par des intermédiaires. Indéniablement, il existe une fraternité secrète qui veille sur l'humanité mais elle n'est pas de la nature qu'on imagine en fonction de notre conditionnement religieux enfantin. Ses buts secrets ne vont pas dans le sens de notre idéalisme. À propos d'idéalisme, nous verrons comment la prétendue « Grande Loge blanche » utilise notre sentimentalité en nous faisant rêver avec une série d'illusions romantiques déversées dans l'atmosphère à partir du toit du monde.

J'affirme et je peux démontrer que les rites du bouddhisme tibétain sont négativement magiques, et que les répétitions lancinantes d'invocations ont un but précis et, dirai-je, une fonction scientifique. Ce que j'ai découvert a été corroboré par quelques clairvoyants, fort rares au demeurant.

L’organisation du lamaïsme est centralisée et hiérarchisée afin de répondre à des normes de magie collective, les techniques de méditation et de visualisation n'ont pas pour but de libérer l'esprit mais d'émettre des flots d'énergie qui sont soigneusement canalisés et diffusés sur la Terre.
Il s'agit d'une gigantesque centrale de production énergétique employant des dizaines de milliers d'organismes humains parfaitement préparés afin de générer un flux télépathique depuis le toit du monde qui est une situation exceptionnelle pour déverser des ondes vers l'Occident.Cette station émet depuis des siècles sur la fréquence de nos aspirations et de nos idéaux. Je vous expliquerai comment cela fonctionne, car il s'agit d'une science exacte.

J. Labruyère : Vous pouvez y aller. Nous essaierons de suivre, même si cela nécessite un effort. D'après ce que vous m'avez confié, cette science est la clé absolue pour comprendre la fonction d'une hiérarchie sacerdotale.

Bhodyoul : La pureté de l'air des hauteurs de l'Himalaya est particulièrement conductrice pour émettre des signaux télépathiques de qualité. Ces signaux sont pulsés avec force grâce aux rites répétitifs qui se déroulent jour et nuit depuis plusieurs siècles. C'est pourquoi il existe une double hiérarchie : celle des initiés de la « Grande Loge blanche » qui sélectionnent le contenu des messages, et celle des lamas qui dynamisent ces émissions télépathiques par leurs exercices spirituels, sans en connaître le véritable sens.

Les milliers de cités-monastères, qui ont rassemblé jusqu'à 800 000 moines sur les hauts plateaux du Tibet, avaient un autre but que l'étude des sutras et la méditation sur la vacuité. C'est la plus vaste entreprise de propagande de tous les temps, plus puissante que l'Islam ou Rome car le lamaïsme a travaillé dans le secret. Le véritable pouvoir est un pouvoir secret.

J. Labruyère : Avant d'aller plus loin, si on parle de similitude de moyens et d'objectifs entre les lamas et les Jésuites, c'est parce qu'ils utilisent les mêmes techniques de visualisation. Cette méthode de projection mentale serait-elle à la base du système de conquête télépathique des occultistes orientaux ?

M. Bhodyoul : C'est exact. Les exercices d'Ignace de Loyola sont calqués sur les techniques du yoga tantrique indien qui fut adapté par les lamas. De plus, le processus d'éveil qu'on prête à Loyola lors de son « illumination » s'est appuyé sur la technique tantrique de sublimation de l'énergie sexuelle. Cela nous indique qu'Ignace de Loyola, le saint vénéré par l'église catholique, est en réalité un initié venu d'Orient pour accomplir une mission à l'intérieur du catholicisme.

Après avoir fondé son ordre à Rome, au 16e siècle, Loyola envoya immédiatement des missionnaires en Inde, au Japon, en Chine et au Tibet pour boucler le circuit. Cela explique pourquoi les Jésuites ont trouvé bon accueil dans les lamaseries, dès le début du 17e siècle. Ils retrouvaient leurs racines en quelque sorte. Il faudrait rechercher si Tsongkahapa, le fondateur des Gelugpa (les bonnets jaunes) dont le Dalaï-Lama est le chef, ne s'est pas incarné dans la personne d'Ignace de Loyola lui-même après avoir solidement établi son système de lamaïsme réformé sur le modèle de la hiérarchie catholique. Loyola est né en Espagne vers 1490, soit 70 ans après la mort de Tsongkhapa (1419), ce qui est un délai acceptable pour la réincarnation d'un tulku. Ajoutons que l'Espagne est la porte d'entrée pour des esprits venus d'autres civilisations lorsqu'ils s'incarnent pour la première fois en Europe. Il est troublant de constater combien la réforme de Tsongkhapa, fondateur du lamaïsme moderne, ressemble à l'ordre ultra-centralisé d'Ignace de Loyola. L'un se réclame de Bouddha et l'autre de Jésus avec un dogmatisme et un désir de domination assez semblables, alors que leurs pratiques respectives ne sont ni bouddhistes ni chrétiennes, mais s'enracinent dans le yoga et le développement des pouvoirs psychiques.

On remarque que ces deux groupes ont travaillé avec des stratégies apparemment opposées, comme s'ils étaient en compétition, ce qui participe certainement d'un plan cohérent à un plus haut niveau. En effet, alors que le Vatican a lancé ses troupes à travers le monde pour faire des conversions par l'épée, à l'opposé, les Tibétains ont travaillé d'une manière statique en se concentrant sur le toit du monde afin de répandre leur influence par télépathie.

Aujourd'hui, ils sont descendus dans la plaine pour parachever leur grand œuvre. Ils ont fondé des centres dans tous les pays du monde. Voilà à quoi peut servir l'exil, à l'image de la diaspora juive qui a étendu un réseau international que les rabbins contrôlent par la Loi mosaïque et le Talmud. Les lamas tibétains sont désormais installés dans tous les pays, alors qu'ils n'étaient encore qu'une poignée de réfugiés sans ressources, il y a cinquante ans. Or, l'argent ne manque pas.

J. Labruyère : D'où vient-il cet argent ? Car il en faut énormément pour entretenir des milliers de moines non-productifs et verser la pension des éminences du lamaïsme qui ont le rang d'évêques, tout en entretenant un gigantesque parc immobilier de monastères et de centres culturels ? Ils ont bénéficié de passe-droits, comme si une organisation fantôme écartait tout obstacle devant eux et signait des chèques en blanc. Aucune religion minoritaire n'est autant privilégiée car, généralement, les communautés sont dénigrées. Les sectes tibétaines ne sont pas inquiétées par les chasseurs de sectes qui préfèrent s'en prendre à des minorités chrétiennes dont les règles sont plus souples. C'est comme si des paysans de Bourgogne, de Dordogne ou de Bretagne se réveillaient un beau matin avec un monastère tibétain au bout de leur champ, et qu'ils se disaient à l'heure de l'apéritif : « Pour notre salut, voilà encore de saints lamas descendus de l'Himalaya nous apporter le précieux joyau dans le Lotus ! » Même chose en Écosse, en Russie ou à la Martinique. Partout ! Il y a là quelque chose de bizarre mais tout le monde trouve cela normal, sauf quelques esprits qui s'interrogent sur la place éminente accordée à ce bouddhisme des neiges dans la fabrication d'une nouvelle religion mondiale. Si on en croit les livres tibétains exposés dans les librairies spiritualistes, on veut nous convertir de force. Même des sympathisants du bouddhisme en éprouvent un malaise comme devant une exhibition impudique. Qui est derrière cette réclame grossière si peu en harmonie avec les principes bouddhiques ?

M. Bhodyoul : Cherchez le financeur ! Nous savons que les Américains versent une rente au Dalaï-Lama et que les « sponsors » jésuites aident beaucoup. Cela permet de s'interroger sur la fortune des Jésuites. Ils auraient des banques fondées sur le pillage de l'or des Indiens d'Amérique centrale et de leurs piratages en Asie. Ils se sont également enrichis dans le trafic d'esclaves puisqu'ils étaient dans l'ombre des conquérants, leurs hommes de main servant aux basses œuvres. Mais cela nous éloigne du véritable problème. Quel est le but politique de la hiérarchie tibétaine ? Voilà ce que nous devons comprendre.

J. Labruyère : Vous avez parlé d'une panoplie « d'illusions mentales » qui auraient façonné la culture mondiale actuelle, sous ses aspects politiques, culturels, scientifiques et religieux. Cette analyse semblera incroyable à beaucoup mais, après coup, on se dit qu'il n'y a peut-être pas d'autre explication à la tournure que prend la civilisation planétaire avec ses valeurs factices et faussement généreuses qui nous sont imposées par la contrainte de la propagande.

Comment les grands magiciens du Tibet – peu importe qui ils sont – ont-ils pu nous imposer des comportements et un mode de vie que nous croyons issu de la modernité ?

M. Bhodyoul : Je vais vous répondre aussi clairement que possible, si vous acceptez d'ouvrir votre esprit à des données ésotériques qui ne sont pas admises dans votre culture. Pour nous, Orientaux, la télépathie n'est pas un mystère mais un fait banal. Pendant que vous étiez occupés à conquérir le monde pour bâtir votre empire matériel, nous avons développé d'autres facultés.

Les pouvoirs psychiques d'un yogi n'ont rien de miraculeux, il suffit de se concentrer et de prendre son temps. Certains parviennent à léviter et à produire d'autres facéties aussi spectaculaires que stériles du point de vue spirituel.

Lorsque vous rassemblez des centaines des milliers de yogis au sein d'une organisation centralisée afin de les aligner sur la même fréquence psychique à l'aide de rituels établis dans ce but, vous allez mettre en marche une usine mentale d'une puissance nucléaire. Chaque yogi est sensé obtenir un grand pouvoir de concentration grâce à des techniques de visualisation. Les méthodes vantées comme des systèmes de méditation pour apaiser l'esprit utilisent des images de divinités qu'il faut parvenir à faire vivre par l'imagination.

Le lama qui médite sur l'image d'une déesse, doit finir par la voir comme si elle se tenait en chair et en os devant lui. Puis il doit apprendre à la dissoudre, ce qui n'est pas évident. Vous voyez la portée de ces exercices ? C'est exactement ce que font les Jésuites avec les exercices de saint Ignace qui ont été introduits dans tous les milieux religieux, en parallèle avec le bouddhisme tibétain.

Lorsque vous avez acquis cette maîtrise du mental, vous imaginez sans peine les résultats qu'on peut obtenir en rassemblant des milliers de moines-yogis qui accomplissent un rituel magique à la même heure ! Or le Tibet a fonctionné avec des centaines de milliers de yogis ainsi formatés, certes de niveaux inégaux, mais dont le collectif dégageait une puissance inimaginable.

Ce n'est là que la machine de propulsion – le carburant – car, au-dessus de l'usine, il y a des opérateurs conscients qui savent l'utiliser à des moments propices, en fonction de la course du soleil et des rythmes planétaires.

J. Labruyère : C'est compréhensible, mais dans quel but ? Si c'est pour l'évolution, pourquoi les Tibétains ont-ils soutenu Lénine et Hitler ?

M. Bhodyoul : Ce qui vous trompe, c'est le concept de l'évolution historique. Il y a un progrès de la civilisation mais il est relatif. Les esprits qui dirigent les flux télépathiques jouent sur les registres des idéaux de progrès et d'évolution.
Ils savent envoyer des injonctions que nous prenons pour nos propres aspirations. Cela va de la gamme des utopies politico-sociales jusqu'au messianisme, en passant par les bons sentiments. Si l'on veut maintenir le contrôle, il faut proposer une illusion positive, quitte à lui opposer des horreurs afin de redonner l'espoir en un monde meilleur encore plus désirable.

Vous citez Hitler et il est vrai que des lamas tibétains l'ont appuyé. Des nazis se sont rendus au Tibet pour y être initiés à certains secrets ésotériques. Le choix de la svastika comme emblème du national-socialisme en est le meilleur exemple. Mais les Tibétains ont leurré les rêveurs nazis, et ils ont finalement favorisé leur perte. Quant à Lénine, il fut adepte de la Loge orientale. Cette loge des « maîtres de sagesse » n'en est plus à un génocide près puisque la plupart des horreurs sont sorties de sa pochette surprise, avec en prime le new age et l'idéal du meilleur des mondes.

Mais revenons aux aspects techniques de la centrale télépathique. Il y a sept niveaux d'énergie dans la nature, sept qualités depuis les solides jusqu'à l'éther supérieur. Cet éther supérieur emplit l'espace, et il est d'une qualité si subtile qu'il peut réfléchir les idées. À certains moments propices, des flux de pensées sont envoyés dans l'atmosphère et se gravent dans l'éther.

Dans l'homme, certains centres sont sensibles à cette fréquence vibratoire, par exemple, la glande pinéale que les anciens considéraient comme le siège de l'âme. C'est ainsi que le cerveau photographie les idées qui sont dans l'air. Si l'idée s'harmonise avec votre aspiration personnelle, elle sera retenue par votre conscience qui se l'approprie. Alors, vous y répondrez par une réflexion consciente, et vous réagirez à cette impulsion. Cette réponse mentale va retourner vers la source d'émission et c'est ainsi que les opérateurs vérifient l'effet de leur projection grâce à leur technologie occulte. J'essaie de résumer.

C'est la première phase de test. Une idée est lancée sur le monde et l'on vérifie si elle trouve un écho dans les esprits-cibles qu'on veut influencer. Lorsque le test est positif, on commence à entrevoir son impact à travers ceux qui « s'échauffent » avec cette idée nouvelle. Ce sont les « branchés », ceux qui lancent les modes et les mouvements d'opinion. Alors, on envoie une deuxième émission télépathique qui sera cette fois de nature émotionnelle, en stimulant la qualité d'éther au-dessous de la précédente. On la nomme « éther lumineux ». Je vous passe les termes de la tradition ésotérique et le sanskrit.

Pour cette opération visant notre émotionnel, des rituels magiques à base de musique, de chants, de danse, de gestes sacrés, d'encens et d'autres ingrédients seront utilisés. Le courant sera dirigé vers ceux qui ont reçu la première impulsion et qui ont réagi de manière positive à la cuti.

Il s'agit alors pour les magiciens opérateurs de graver leur message dans notre sang afin d'accorder l'émotion à la pensée. La tête et le cœur sont reliés à l'idée qui devient alors comme notre propre création. On s'enthousiasme pour cette « généreuse idée » et on est prêt à agir pour la réaliser. Je résume un processus très complexe. À ce seuil de préparation, la phase de conditionnement suivante est prise en charge par les écrivains et ceux qui sont les propagandistes de l'idée en vogue. Vous pouvez vérifier ce processus si vous suivez l'évolution de la société à travers le miroir des médias. Mais, la plupart du temps, le fait d'y accorder de l'attention nous y relie à notre détriment.

On ne veut pas rester en dehors du coup. C'est mal vu d'être un ringard qui n'est pas bien informé. C'est mal vu d'être un réactionnaire, etc. Où que l'on aille, quoi qu'on fasse, la propagande s'insinue en nous. Vous verrez qu'il y en a pour tous les goûts et toutes les sensibilités.

Au niveau le plus bas de l'opération d'influence télépathique, nous sommes finalement mobilisés par l'instinct de propagation qui nous pousse à répandre nos idées à cause du désir fondamental de procréation et de survie. Au stade le plus matériel, les opérateurs veillent à ce que notre alimentation soit adaptée au résultat qu’ils veulent obtenir. Réfléchissez à la volonté de nos gouvernants de dénaturer la nourriture. Demandez-vous à présent ce que cachent les manipulations génétiques des produits naturels. Cela indique le seuil de conditionnement qui a été atteint au niveau de nos facultés supérieures. Je vous donne ici la réponse à bien des questions écologiques comme l'augmentation de la radioactivité si indispensable pour amener le système nerveux à un niveau vibratoire négatif.

Ainsi, ce processus morbide finit par nous rendre absolument convaincus de la vérité des idées qu'on nous a injectées de manière subliminale et, au stade terminal, cette opération peut nous transformer en chiens policiers de l'ordre établi. Je pense à ceux qui liront mes explications iconoclastes sur le lamaïsme tibétain et qui en seront choqués ! Je n'ai pas les moyens magiques de la « Grande Loge Blanche » pour les convaincre ! Je parle comme un homme ordinaire, mais ils ne veulent croire que les autorités.

J'espère que ces explications sommaires sont suffisantes car il faudrait un véritable exposé technique, ce qui serait franchement indigeste. Chacun peut y réfléchir par lui-même, et s'il est attentif aux signes des temps, il comprendra ce que je veux dire.

Source :http://crom.be/documents/les-contes-de-fee-du-tibet-2



L’État inquisiteur
La spiritualité en danger



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